Requêtes adressées au Président de la République

[Vincent Valbonesi]

Madame le Président de la République,

Voici les résultats du vote de confiance :

Pour : 71
Contre : 179

Le Gouvernement Makhno I n'obtient pas la confiance de l'Assemblée Nationale.

[Gavroche Finacci]

Monsieur le Président,

Je sollicite un entretien avec vous concernant une question importante de politique internationale.

[Daniel Faraday]

Monsieur Daniel FARADAY,
Député et Maire de Symphorien
23, Rue Rousseau,
Symphorien, Coeur de Frôce

Monsieur Mays MADARJEEN,
Président de la République
Palais d'Anthelme,
Aspen, Coeur de Frôce

A Symphorien, le 7 Septembre 2011.

Monsieur le Président,

Je sais que vous venez d'être réélu et que la situation actuelle est assez délicate, mais je veux vous parler d'une chose qui peut paraître anodine mais qui prouve que le système actuel est mal organisé. En effet, je suis Maire de Symphorien depuis le 06 août et je m'attendais à recevoir mon salaire à la fin du mois comme le précise l'Article 2204 du Code Economique mais rien de tout cela. De plus nous sommes le 06 et je pense que j'ai assez attendu c'est pourquoi j'ai entamer la rédaction de cette lettre pour faire bouger un peu les choses !

J'espère que vous ferez tout ce qui est en votre pouvoir pour régler ce problème rapidement car je pense qu'il est de votre devoir d'aider les citoyens et en particulier les mairies car ces institutions sont en train de s'effondrer !

Merci !

[Mays Madarjeen]

Mays éclata de rire en lisant la lettre de Daniel Faraday, et la raconta au personnel qui était présent dans son bureau à ce moment-là, ce qui provoqua l'hilarité générale.
Il se promit de remercier Daniel Faraday pour ce joyeux fou rire si jamais il le croisait un jour, même s'il est fort probable qu'il aura oublié son existence d'ici à ce que ce jour puisse survenir.

Puis il froissa la lettre et la jeta dans la corbeille, pour se consacrer à quelque chose de plus intéressant.

[Arthur Perry]

Monsieur le Président,

Je viens par la présente vous remettre ma décision de Ministre de l'Intérieur, de la Défense et des Affaires Etrangères. Ayant des soucis depuis quelques semaines, les médecins m'ont conseillés de prendre du recul avec mes fonctions ministèrielles. C'est donc avec regret que je remets ma démission, mais la santé passe avant le reste.

Je vous remercie

Arthur Perry

[Arthur de Milon]

Monsieur le Président, j'aimerais m'entretenir avec vous le plus rapidement possible. Pouvons-nous convenir d'une date ?

[Henri Quineault]

Henri sursauta en entendant le signal sonore de son téléphone.

- hein.. quoi... du whisky.. où ça ?... ah non, c'est un message.... heu.... de Milon, qu'est ce qu'il me veut celui là... bon ok je lui répond :

"Venez quand vous voulez M. le Ministre".

Henri envoya le message, regarda sa montre et continua sa sieste tranquillement.

[Joseph Vossen]

Lettre adressée au président de la République

Monsieur le président de la République,

En ma qualité de président de l'Assemblée Nationale, je dois vous faire part que la promulgation de Loi Organique, que vous trouverez en annexe, est invalide.

L'article 48 de la Constitution exige qu'une Loi Organique doit être transmise à la Cour Suprême avant sa promulgation.

Par conséquent, j'ai transmis, sur demande de Mme. Nério, directrice de l'AND, la dite Loi Organique auprès de la Cour Suprême.

Veuillez agréer, Monsieur le président de la République, mes salutations les plus distinguées.

Annexe: LO-2012-03-02 : Modification du Règlement de l'AN

[Joseph Vossen]

Monsieur le président de la République,

Suite à la destitution du président de la Cour Suprême, Monsieur Sébastien Capell et conformément aux articles 44 et 45 de la Constitution, je vous invite à désigner le successeur de ce dernier.

Afin de pouvoir assurer une transisition rapide, je vous suggèrerais de désigner un des juges en fonctions.

Vous trouverez en annexe le communiqué concernant la destitution de Monsieur Capell.

Sincèrement,


Annexe: Communiqué concernant la destitution de Monsieur Capell

[George Montgomery]

Monsieur le Président de la République,

Suite à l’adoption par le peuple de Frôce de la Constitution de la Vème République, la Cour Suprême évolue. Celle-ci se dote de deux membres supplémentaires. Par conséquent, en vertu de la promulgation imminente du nouveau texte constitutionnel et afin d’éviter le plus possible d’être en délicatesse avec ses stipulations, je vous demande de mettre en place les consultations nécessaires pour la nomination de deux Juges à la Cour Suprême dès la promulgation du nouveau texte constitutionnel afin de permettre la continuité de nos institutions.

Cordialement,

M. George Montgomery, Président de la Cour Suprême.