Historique de la pondération

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Asuka Finacci
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Historique de la pondération

Message par Asuka Finacci »

Historique de la pondération :

Pour mieux comprendre la pondération et ses objectifs, en faire l'historique me parait nécessaire. Cette partie est peut être la moins utile directement mais elle peut, en plus d'en apprendre un peu aux nouveaux sur l'âge d'or de la Frôce, donner quelques indications sur la philosophie recherchée par les MJ au moment de la notation.

Juillet 2007 - Février 2009 : La vie sans pondération

A l'époque les élections étaient simples, il n'y avait ni pondération, ni demochoice.

Comme vous pouvez le voir, les premiers bureaux de vote étaient rustiques (pour précision à l'époque les noms complets n'étaient pas encore utilisés, ils ne sont d'ailleurs devenus obligatoires qu'avec le changement de forum en juin 2010), puisqu'il s'agissait d'un sondage fait directement sur le forum :

Présidentielle de septembre 2007 (archive, seule la première page est disponible comme sur tous les autres documents antérieurs à juin 2010)

Seul ce sondage comptait, mais ça n'empêchait pas une campagne active comme il y avait quelques indécis à retourner (bien plus que maintenant), même si les standards de qualité étaient bien plus faibles qu'actuellement (surtout pour les meetings), pour l'exemple je vous donne un meeting de chacun des 4 candidats et le programme des deux finalistes (pour indication au début le jeu était plus une parodie de la France qu'un pays différent, d'où les noms ridicules des villes et les noms de partis qui faisaient copier/coller) :

Meeting d'Olibrius (Hugo Solerne)
Meeting de Potorange (Paul Arancio)
Meeting de tommy (Thomas Rolland)
Meeting de Nup393 (Paolo Nupe)
Programme d'Olibirus (Hugo Solerne)
Programme de Potorange (Paul Arancio)

En janvier 2008, le Conseil de la République fut fondé pour que le jeu soit géré par des personnages neutres et pour disposer d'une scénarisation propre à la Frôce.

En avril 2008, pour plus de suspens il a été décidé d'ouvrir un bureau de vote par région (il y en avait 6) avec interdiction de se communiquer les résultats d'une région à une autre, mais la campagne ne comptait toujours pas, pour illustrer voilà a quoi ressemblait un bureau de l'époque :

Bureau de vote pour la présidentielle d'août 2008 dans la région Coeur de Frôce

Le problème était que l'enthousiasme du début de jeu retombant, les meetings devenaient souvent de plus en plus mauvais, comme le témoignent les exemples de la campagne en question :
Meeting de gavroche (Gavroche Finacci) pour Dark Jin (Max Mattinen), qui n'a même pas fait campagne lui-même :siffleg:
Meeting de Daniel Gallon
Meeting de Nicolas De Bratt

Puis ce qui devait arriver arriva, les campagnes se faisaient de plus en plus moroses et en février 2009, Laurent Terbace fut élu dès le premier tour en ne faisant presque pas campagne, alors que ses rivaux ont beaucoup travaillé pour essayer de retourner quelques indécis, même si la qualité restait relativement faible par rapport à celle de maintenant :

Meeting de Kyoshiro Sapporo
Meeting de Jean-Baptiste Marshall

Suite à cette campagne, le projet de pondération qui trottinait dans les esprits des membres du CR fut accéléré et fut introduit pour les présidentielles suivantes, en mai 2009.
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Message par Asuka Finacci »

Mai 2009 - Septembre 2009 : L'ère des excès

En mai 2009, deux réformes majeures sont menées pour donner plus de suspens et plus de chances de gagner pour les candidats les moins bien dotés en voix. La première fut l'adoption du système demochoice qui est toujours utilisé, mais à l'époque il n'y avait qu'un identifiant par électeur (les PNJ étaient très rares) et nous utilisions les serveurs de demochoice, alors que le système est désormais sur l'hébergement du forum. Ce système a l'avantage de masquer le résultat aux votants jusqu'à la dernière seconde, plus de combine possible pour se passer les résultats.

La plus conséquente fut la première introduction de la pondération, avec le barème suivant :
50 % pour le vote des membres
13 % pour les notes des meetings
12 % pour la côte de popularité du candidat (une sorte de contrôle continu sur les réactions AIF et les projets et propositions de loi déposés)
10 % pour le programme
9 % sur le développement de trois thèmes tirés au sort que les candidats ne connaissaient pas
6 % pour le hasard pur

L'un des principaux problèmes fut la gestion du calcul de la côte de popularité, les membres faisant une pause au CR étaient lourdement pénalisés et les personnes présentes dans le Gouvernement sortant étaient avantagées de par leurs possibilités médiatiques plus fortes. Celle-ci sera retirée de la pondération dès le mois de juin.

Mais l'essentiel était là, la qualité des discours était plus grande, et les membres s'impliquaient de plus en plus dans la campagne, pour une plus ample démonstration, voici les 3 meilleurs meetings et 2 des 3 meilleurs programmes (celui de Jules Rémond a été publié sur deux pages du forum, ce qui n'est pas pratique pour ce résumé) :

Meeting de Lucas Lhardi pour Jules Rémond (note : 88/100)
Meeting d'Alex Crawford avec la participation de Paolo Nupe et Steven Callet (note : 85/100)
Meeting d'Alex Crawford avec la participation de Paolo Nupe (note : 82,5/100)
Programme d'Alex Crawford
Programme de Juliette Solerne-Peletier

Le dispositif est reconduit pour l'élection suivante qui fut une élection générale mêlant présidentielle et législatives. Le problème est qu'à l'époque tous les meetings se valaient et que les notes étaient assez proches (le jury osait moins saquer un meeting faible ou s'enflammer sur un grand moment), donc beaucoup connaissant désormais le système décidèrent de faire des meetings en rafale, le record absolu est atteint au cours de cette campagne avec 107 meetings (30 pour les législatives, 37 pour le premier tour de la présidentielle, 40 pour le second tour de la présidentielle).

En plus d'être un cauchemar à noter, cette campagne fut éprouvante pour certains candidats, avec plusieurs meetings en une journée, provoquant quelques départs temporaires sans oublier que l'intérêt de la Frôce c'est d'être un jeu et non une corvée. Néanmoins, cette abondance a produit quelques très belles prestations, comme le montrent les trois meetings les mieux notés de la campagne et le meeting le plus original de l'Histoire :

Meeting de Steven Callet avec Paolo Nupe, Alexis Ozdemir et Alex Crawford (note : 91,9/100)
Meeting de Gavroche Finacci, Paul Arancio et Luis Alves pour la liste législative RDT (note : 85/100)
Meeting de Steven Callet avec Alex Crawford (note : 83,7/100)
Meeting d'Alexis Ozdemir, Zénodore du Plessis, Sébastien Delmas, Paul Arancio, Nick Spender, Brian Napoléon et Max Mattinen contre Max Mattinen (note : 25/100) :mrorange:

Bien sûr, le dernier meeting s'accompagne du programme qui va avec :

Programme de Max Mattinen pour la présidentielle de septembre 2009
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Message par Asuka Finacci »

Décembre 2009 - Mars 2010 : Le déclin de l'ancien forum :

Suite aux excès de la campagne aux 107 meetings, plusieurs décisions sont prises, le tarif de location des salles est augmenté, le nombre de meetings limité et un formulaire est désormais à remplir avant chaque meeting. Mais certaines autres mesures ont été prises "naturellement", les partis faisant en sorte que la présidentielle se joue sur un seul tour pour ne pas épuiser leurs troupes.

La raréfaction n'est pourtant pas accompagnée d'une hausse de la qualité, signe du début du déclin de l'ancien forum, principalement par manque de combattants. Il demeurera tout de même quelques belles performances :

Meeting d'Ellion Kayerd avec Luis Alves et Alex Crawford (note : 80/100)
Meeting de Luis Alves et Alex Crawford pour Ellion Kayerd (note : 79,5/100

La communication est pour la première fois prise en compte, à la fois pour plus de réalisme et comme elle est plus facile à noter par les jurys, pour indication, voici les bannières des trois candidats déclarés en décembre 2009 :

Image (77,5/100)
Image (58/100)
Image (déposée hors délais)

L’élément de communication le mieux noté sera cette affiche (84,5/100)

Suite à cette campagne décevante, une décision (stupide comme ça arrive parfois après un évènement troublant) est prise en assouplissant de nouveau le nombre de meetings autorisés, ce qui mène l'ultime campagne présidentielle de l'ancien forum à une relative pauvreté, aucun meeting ne dépassant la note de 75/100, il n'y avait que deux candidats pour cette dernière élection, dont voici les meilleurs meetings :

Meeting d'Alex Crawford pour Paolo Nupe (note : 74,1/100)
Meeting d'Isis Nephtys et Christopher McLean pour Thibaud Arthuis (note : 73,8/100)

En revanche cette campagne fut plutôt réussie en termes de communication, comme le témoignent les quatre meilleurs éléments.

Vidéo de campagne de Paolo Nupe (note : 83,8/100)
Affiche pour Thibaud Arthuis (note : 82,9/100)
Carnet de campagne de Thibaud Arthuis (note : 81,7/100)
Affiche pour Paolo Nupe (note : 80/100)
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Message par Asuka Finacci »

Juillet 2010 : Première expérience sur le nouveau forum

Ce coup-ci la double leçon de septembre 2009 et mars 2010 a été retenue, la fin des meetings sans limite est actée pour la création du nouveau forum. A la limite fixe se substitue le concept du plafond de dépenses aujourd'hui en vigueur, le but est de permettre à ceux qui ne possèdent pas de graphistes de talent de faire plus de meetings pour compenser et inversement.

Les discours sont de qualité légèrement supérieure à mars 2010, mais subsiste l'angoisse d'un 2e tour où tout est à refaire, et l'élection semble rapidement jouée pour Louis Lacroix. Mais l'enthousiasme lié au nouveau forum nous offre quelques belles prestations, en témoignent les cinq meilleurs meetings de la campagne :

Meeting de Louis Lacroix avec Vincent Valbonesi (note : 83,5/100)
Meeting de Louis Lacroix avec Vincent Valbonesi (note : 81,5/100)
Meeting de Louis Lacroix avec Christian Valmont et Charles de la Tour (note : 80/100)
Meeting de Louis Lacroix avec Charles de la Tour et Alberto Calvaho (note : 79/100)
Meeting de May Maxson avec Marie Cossac (note : 76/100)

La campagne fut en revanche un peu moins réussie que la précédente sur le plan graphique, seul la liste législative du ML parviendra à publier une affiche évaluée à plus de 75/100.

Affiche de la liste du Mouvement Libéral (note : 75,7/100)

Malgré quelques beaux meetings, cette campagne marqua toutefois les difficultés du nouveau système, encore une fois le nombre de meetings était crucial étant donné qu'ils avaient tous la même valeur, et un des candidats se retrouva à bâcler un meeting qu'il n'avait pas vraiment envie de faire et dont la qualité fut désastreuse.

Meeting de May Maxson (note : 31,5/100)
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Message par Asuka Finacci »

Avril 2011 - Mai 2012 : Les débats changent la donne

Les MJ en exercice jugeant le système de juillet 2010 trop chronophage à la fois pour eux et pour les membres, la pondération est purement et simplement abolie entre septembre 2010 et avril 2011, les espoirs d'un retour aux sources tourneront vite court, provoquant les campagnes les plus ternes de l'Histoire de Frôce.

Dès le début 2011, le retour d'une pondération simplifiée pour les MJ est mise à l'étude, le format de débats sur chaque thème majeur de la campagne est retenu. Ainsi en janvier 2011, des débats "à blanc" sont organisés à l'occasion de l'élection présidentielle, les débats rencontrèrent un succès relatif, comme souvent les échanges les plus vifs eurent lieu sur le thème de l'économie :

Débat sur l'économie de la présidentielle de janvier 2011

Le format est retenu pour la présidentielle d'avril 2011 qui bénéficie d'une modification de marque, avec l'arrivée du vote alternatif qui permet de tenir le scrutin sur un seul tour quel que soit le nombre de candidats tout en assurant les transferts de voix. Malgré sa légère domination dans des débats très animés, Vincent Valbonesi est battu par Mays Madarjeen, un autre membre du PRF grâce aux particularités du système de vote alternatif.

Résultats détaillés de la présidentielle d'avril 2011
Débat sur les affaires sociales
Débat sur l'économie
Débat sur la santé et les sports
Débat sur la justice et les institutions

Mais le format s'essouffle aux élections suivantes par manque d'orateurs, conséquence de l'extrême difficulté pour les petits partis à trouver des sièges. Ce coup-ci ce n'est pas la pondération qui change, hormis une retouche séparant la note de débat et la note de programme, mais les règles électorales, le parlement détient désormais de plus larges pouvoirs, le seuil d'admission est abaissé à 5 % et le système à la finlandaise forçant l'électeur à voter pour un seul candidat au sein d'un groupe est adopté.

Une fois n'est pas coutume, les effets ne se font ressentir qu'à la deuxième élection suivant le changement, en décembre 2011, peut être grâce au réveil de la droite, laminée deux mois plus tôt. Si les débats sont agités, les modifications sont la plupart du temps minimes, le REC ne gagne que 3 points par rapport au vote des membres malgré une large première place sur les programmes et les débats.

Répartition globale de la pondération aux élections de décembre 2011
Détail de l'attribution des points à la pondération de décembre 2011
Débat sur les affaires sociales
Débat sur la justice
Débat sur la sécurité
Débat sur l'écologie
Débat sur l'économie
Débat sur l'éducation

L'élection suivante, en mars 2012, est marquée par un changement de format, il n'y a plus que 4 débats au lieu de 6 pour resserrer l'activité et favoriser l'activité des MJ. La part du vote des membres tombe à 35 % pour favoriser l'activité.

Si l'activité des débats reste bonne, un nouveau point de rupture semble atteint avec la multiplication des petits partis, qui en plus de compliquer la constitution de majorités à l'Assemblée Nationale, pousse plusieurs candidats à mener leur campagne seul ou presque, le tout pour un effet déformateur quasi nul.

Détail de l'attribution des points à la pondération de mars 2012
Débat sur l'éducation et les affaires sociales
Débat sur la santé et l'environnement
Débat sur la sécurité et la justice
Débat sur l'économie

Au vu de ces problèmes, un système de prime majoritaire par coalition et de seuil à 7 % est temporairement appliqué pour les législatives de mai 2012, en attendant la mise en place d'un système plus évolué.

Si l'explosion partisane semble freinée, l'élan des débats l'est également, atteignant un niveau d'inactivité record, probablement peu aidés par le triomphe annoncé de la gauche.

Tableau de répartition globale de la pondération pour mai 2012
Débat sur l'éducation et les affaires sociales
Débat sur l'économie
Débat sur la sécurité et la justice
Débat sur la santé et l'environnement
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Message par Asuka Finacci »

Juillet 2012 - : Un menu copieux

Après 2 ans d'absence, les meetings et la communication font leur grand retour, à la demande de nombreux membres désireux d'adopter d'autres formules que le débat. Par ailleurs, les débats sont ramenés à leur vocation première en demandant des interventions plus courtes aux candidats.

Des nouveautés sont testées, les interviews, longtemps envisagées sur l'ancien forum sont enfin au rendez-vous. Deux aspects purement financiers sont ajoutés avec les tractages et la corruption. Cette seconde sera toutefois temporairement supprimée pour l'élection suivante au vu du peu d'intérêt qui lui fut portée lors du vote de juillet 2012.

Pour permettre une telle abondance de possibilités, il a été décidé d'allonger la campagne à 13 jours pour mieux étaler les efforts des candidats et des MJ, et d'imposer un budget maximal plutôt bas (80 000 plz en juillet 2012, 100 000 plz deux mois plus tard), d'étaler les débats tout le long de la campagne pour ne rien rater, de répartir les meetings en catégorie pour laisser le choix aux joueurs de s'investir à plein sur un grand meeting ou de moins forcer son talent en se focalisant régulièrement sur de petits meetings.

Le PSD remportera cette élection en grande partie grâce au vote des membres, distançant le PPL de près de 13 points et le RPR de 15 points. Ce dernier parti fut le plus efficace en meeting, s'offrant les 4 seuls meetings au dessus de 80/100 de moyenne, le seul à se rapprocher de cette performance est le candidat indépendantiste Enzo Barras, auteur d'un meeting final déroutant, celui-ci sera d'ailleurs le plus riche en points car déclaré de niveau 4.

Meeting de François Bertrand pour la liste RPR (note : 88,3/100, niveau 1)
Meeting de Vincent Valbonesi pour la liste RPR (note : 86,7/100, niveau 1)
Meeting de Vincent Valbonesi pour la liste RPR (note : 83,8/100, niveau 3)
Meeting de Vincent Valbonesi pour la liste RPR (note : 82,5/100, niveau 1)
Meeting d'Enzo Barras pour la liste MIAC (note : 78,3/100, niveau 4)

En ce qui concerne la communication, ce fut une campagne assez faible, peu d'éléments trouvant grâce aux yeux du jury, c'est la vidéo du PSD qui fit basculer cette partie de la pondération, également marquée par une très belle performance du MIAC.

Vidéo de campagne du PSD (note : 84,4/100, points doublés par le bonus vidéo)
Affiche du MIAC (note : 70/100)
Affiche du PPL (note : 66,4/100)

Les débats ont fait mieux que survivre à cette nouvelle formule, ajoutant une dimension différente à la pondération. Le RSE, peu côté dans les autres aspects de la pondération s'en tire à bon compte grâce aux aptitudes d'Alessandra Gasparini sur les formules courtes. Une fois n'est pas coutume, le débat le plus prolifique fut celui sur l'environnement.

Débat sur l'environnement

Pour la grande première de l'interview, Vincent Valbonesi écrasa la concurrence en obtenant un score exceptionnel de 92,5/100, ne lésinant pas sur les détails pour répondre à chaque question proposée par l'AIF. Son plus proche concurrent, Maxime Dellas obtint 66,7/100.

L'interview de Vincent Valbonesi :
Vincent Valbonesi a écrit :Quel bilan tirez-vous de l’action du gouvernement sortant ? Y a-t-il des mesures positives, négatives ?

Lors de mon passage à l’Hôtel Belley, le gouvernement dont j’étais le Premier ministre, s’est vu qualifié de tout, y compris d’incompétent et d’inactif. Cependant, quand je constate l’activité de ce gouvernement-là, je n’ai pas vraiment le sentiment qu’un quelconque travail ait été fourni par la majorité parlementaire sortante RSE-PSD. Les données de l’Assemblée Nationale sont là : sous mon gouvernement, 25 projets de lois ont été soumis aux votes des parlementaires contre seulement 8 sous le gouvernement Salinovitch. Le gouvernement dont j’ai eu la charge, qui était décrié comme jamais par l’opposition socialiste et communiste comme étant absent, a produit trois fois plus de projets de lois que le gouvernement sortant de M. Salinovitch. Et je ne compte pas les initiatives des parlementaires dans ce rapide calcul. Donc effectivement, face à si peu d’activité, face à si peu d’intérêt pour la Frôce, que retenir de positif dans un bilan qui est d’office négatif ? Il n’y a eu aucune mesure concrète contre l’inflation, il n’y a eu aucune mesure concrète contre le chômage, il n’y a rien eu. C’est donc sur un échec cuisant que le gouvernement sortant quittera le pouvoir le 5 juillet au soir. Les frôceux ne sont pas dupes vous savez.

Quelles sont vos motivations lors de ces élections ?

Notre campagne est axée autour d’un seul et unique objectif : le développement de notre pays. Que ce soit un développement économique, un développement social, un développement culturel et un développement international. Nous souffrons depuis des années d’un manque d’intérêt de la part des hommes et femmes politiques qui se succèdent au pouvoir, notamment de gauche, qui n’agissent pas pour le prestige et l’honneur de notre Nation mais uniquement pour satisfaire un électorat certain dont on connait les attentes. L’objectif qui est celui du Rassemblement Pour la République est de porter haut et fort les valeurs communes qui unissent les frôceux en ces temps troubles. Comme j’ai pu à titre personnel le faire lors de mon action en tant que Premier ministre, ou auparavant, en tant que ministre de l’Economie, je souhaite que la Frôce connaisse une période de prospérité nouvelle comme elle peut en connaitre si elle se dote d’une politique économique et sociale non plus de réaction mais d’anticipation comme nous le proposons. Chacun des frôceux attend des réponses à des problèmes que l’on connait parfaitement : l’insécurité, le chômage, la crise environnementale etc. Chacun dispose de préoccupations qui lui sont propres et il convient d’y apporter des réponses sincères et concrètes, c’est pourquoi nous sommes candidats à l’échelle nationale pour faire des attentes des frôceuses et des frôceux des réalités une fois élus.

La position géographique de la Frôce, amène de nombreux spécialistes à penser que maintenant que le pays est considéré comme stable et démocratique, une augmentation de l'immigration est à prévoir. Comment comptez-vous gérer cette immigration ?

Tout d’abord, je comprends votre raccourci concernant la démocratie frôceuse, mais je vous rappelle quand même que nous ne connaissons la démocratie que depuis quelques années et qu’il est fortement déconseillé de s’asseoir sur ses acquis sous peine de voir ressurgir, dont ne sait où les relents d’une Frôce xénophobe. C’est aussi aux partis politiques que de travailler, main dans la main pour garantir ce haut niveau de démocratie et de respect des principes et des valeurs de la République. Certains partis candidats pour ces élections mettent cruellement en danger cette cohésion nationale en soulevant des faux problèmes et en apportant des solutions totalement irréalistes, oui, c’est du populisme et c’est une menace qui plane sur toutes les démocraties où la liberté totale règne.
Pour vous répondre plus précisément, oui, il est probable qu’une vague d’immigration toujours plus importante pointe le bout de son nez dans les années à venir. L’étranger n’est pas une tare, l’étranger n’est pas un problème quand on met en place une politique adaptée. Le contexte international et national fait qu’à l’heure actuelle, on ne peut pas dire que la situation économique soit merveilleuse : un chômage fort, une croissance en péril en Frôce et une récession à l’échelle européenne. Il devient difficile d’accueillir convenablement les immigrés quand les citoyens frôceux et européens rencontrent eux-mêmes des difficultés. Il nous faut donc préserver aussi bien les frôceux que les immigrés, qui, souvent par désespoir de cause, tentent le diable en essayant, par tous les moyens, de rejoindre nos côtes, au péril de leur vie. Mais comme dirait un célèbre Premier ministre français, nous ne pouvons pas accueillir toute la misère du monde sur notre territoire. Par conséquent, nous maintenons nos propositions visant à réguler activement les flux migratoires sur notre pays, notamment via un partenariat avec les pays membres de l’Union Européenne qui connaissent les mêmes difficultés que la Frôce. Nous prévoyons la construction de plusieurs centres de rétention afin de palier à l’augmentation des arrivées sur nos plages à travers des embarcations de fortunes illégales. Nous n’augmenterons pas le nombre de régularisation, nous sommes a actuellement environ 1 500 à 2 000 régularisations par an, le Rassemblement Pour la République n’augmentera pas ce niveau-là, tout d’abord parce que nous n’avons plus les moyens d’accueillir ces individus et ensuite parce qu’il est essentiel de ne pas créer un appel d’air. Il n’y aura en revanche aucune régularisation totale des sans-papiers comme le propose des partis, inconscients, de la gauche et extrême gauche frôceuse.

Le pays connait une importante inflation depuis plusieurs mois suite à l’augmentation considérable et très rapide des salaires avec la loi sur le Salaire Horaire Garanti. Diverses mesures ont permis de réduire l’impact de l’inflation sur l’économie. Quelles sont vos solutions face à ce défi économique qui paralyse la diminution du chômage et la baisse des prix ?

La loi sur le Salaire Horaire Garanti était une erreur économique majeure pour quiconque dispose d’un minimum de connaissances en matière économique. Alors oui, je comprends tout à fait que chacun puisse se dire que c’est mieux de gagner cette somme-là plutôt que deux pluzins de moins par heure. Cependant, quand le pays n’est pas prêt pour une telle augmentation, que les entreprises ne sont pas du tout au fait de ces réalités-là, cette augmentation qui parait merveilleuse pour les bas salaires dans notre pays se révèle être une arnaque monstrueuse pour les travailleurs. Certes votre salaire augmente, mais au final, les prix augmentent de 16,6%, où voyez-vous un gain pour l’ouvrier qui travaille dans une usine ? Le gain, il est inexistant. Et sur la durée, quiconque fait un peu d’économie le sait, le travailleur qui était heureux de l’augmentation irraisonnée du salaire minimum est perdant puisque la tendance inflationniste restera plus élevée que son augmentation salariale à lui. Cela, la gauche ne le dit pas quand elle le propose, cela, le travailleur ne l’imagine pas ou ne le sait pas, et ce n’est pas sa faute, lorsqu’il soutient une telle idée. C’est pourquoi, il faut ramener le niveau du salaire minimum à un seuil convenable et raisonnable pour notre pays, soit 6 pluzins de l’heure, et non plus 7 pluzins comme c’est le cas aujourd’hui. Croire que j’entends à mon extrême gauche, au RSE, chez les amis de M. Salinovitch, qu’ils monteront le niveau du SHG à 8 pluzins de l’heure, en sachant que l’on vit avec 8% d’inflation annuelle, il faut être niais et communiste pour penser que cela aurait un quelconque effet bénéfique pour le pays et les travailleurs. Le Rassemblement Pour la République que je représente sait parfaitement quelles sont les réalités et les attentes des travailleurs qui ne demandent qu’une chose : vivre mieux. Croyez-vous qu’augmenter encore plus un salaire qui ne doit pas être aussi élevé soit une solution ? Non, évidemment. Sa diminution permettra deux conséquences positives pour l’économie : la baisse de l’inflation parce que le coût du travail sera en rapport avec la valeur productive des travailleurs frôceux, et d’autre part, l’embauche sera aidée pour les entreprises car le coût du travail redeviendra rentable et viable pour elles, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui, après un gouvernement socialo-communiste inactif et incompétent.

Le conflit en Syrie devient de plus en plus violent. Le régime de Damas n’hésite plus à commettre des massacres réguliers malgré la présence d’observateurs de l’ONU dans le pays. La Russie et la Chine paralysent toutes les tentatives occidentales au Conseil de sécurité à New-York. Quel doit être selon vous la position de la Frôce ? Quelle est l’issue la plus souhaitable ?

La Frôce doit être présente dans ces discussions au même titre que l’ONU ou l’UE. Nous sommes un acteur de la Méditerranée, nous sommes voisins du Proche Orient, nous sommes donc totalement impliqués dans ces affaires-là. Je trouve, à titre personnel, inadmissible que la Frôce soit absente des réunions du groupe des amis de la Syrie qui réunit pourtant les plus grandes puissances que le monde connait en 2012. Cette absence est directement imputable au gouvernement et au Président de la République, socialiste, inactif sur cette question syrienne. La Frôce doit condamner les actes commis par le Président syrien Bachar El-Assad contre son propre peuple. Personne n’est naïf, on sait qu’il joue la montre et qu’il fomente, avec ses alliés, les prémices d’une guerre civile entre les différentes ethnies qui composent la Syrie d’aujourd’hui. Au plus l’ONU attend pour agir, au plus la situation intérieure dans ce pays deviendra incontrôlable. Le départ de Bachar El-Assad est l’hypothèse que je soutiendrais à titre personnel si j’étais représentant de la Frôce à l’ONU. Nous devons comprendre le refus de la Russie et de la Chine de céder rapidement aux exigences, légitimes, des occidentaux, quand on sait comment s’est déroulé une opération du même type il y a maintenant plusieurs mois de cela en Syrie. Mais c’est à la communauté internationale de faire pression sur la Russie et sur la Chine pour qu’ils acceptent l’idée selon laquelle Bachar El-Assad doit quitter le pouvoir, lui et son clan afin de laisser le champ à une transition politique, et démocratique, entre les différents acteurs majeurs du pays. L’accord de Genève qui se négocie actuellement en Suisse est en bonne voie pour aboutir sur une issue positive dans ce conflit, surtout s’il permet le départ d’El-Assad. Si nous sommes élus, alors nous soutiendrons cette solution là pour la crise syrienne.

Ne trouvez-vous pas les critiques sur le nucléaire excessives, au vu de sa faible part en Frôce, du caractère polluant des énergies fossiles et du bas coût de cette énergie ?

Tout est question de contexte pour un sujet aussi passionnant que le nucléaire civil. En parler avant Fukushima, c’est être plus confiant et plus favorable à ce type de production énergétique que d’en parler après. C’est évident. Mais il ne faut pas réagir en fonction des faits, je me refuse à cela. La question est de savoir quelle politique énergétique voulons-nous pour demain ? Parce que c’est maintenant que l’on enclenche les grands projets pour nos enfants et nos petits-enfants. Ce débat-là mérite mieux que de s’arrêter sur un évènement malheureux qui ne représente en rien la réalité de ce qu’il apporte à notre pays comme à d’autres. Le nucléaire civil est effectivement l’énergie la moins chère et la plus propre que nous connaissons et que nous maitrisons aujourd’hui en 2012 et qui soit capable de produire suffisamment pour répondre aux besoins toujours plus importants de notre économie et de notre mode de vie tout simplement. L’idée qu’un tremblement de terre important vienne secouer une de nos centrales est hautement improbable, tout comme l’idée qu’un tsunami avec une vague de six mètres de haut vienne aussi submerger une de nos centrales est tout aussi improbable. Les critiques sur cette énergie sont donc totalement excessives et certainement pas en rapport avec le fait que cette énergie est la moins chère parmi toutes celles que nous connaissons aujourd’hui et qu’elle est relativement peu utilisée dans notre mix énergétique, moins de 30% de notre production nationale. Il n’y a donc pas lieu d’en faire une polémique aussi scabreuse que chez nos amis français chez qui le nucléaire civil représente près de 75% du mix énergétique. Les enjeux ne sont pas les mêmes et je trouve inopportun de transférer les problèmes des français ici en Frôce alors que la situation est radicalement différente.

Pensez-vous qu'il est opportun de dépénaliser ou légaliser la consommation de cannabis ?

Sur cette question, ma position et celle du Rassemblement Pour la République est très claire : nous sommes pour une régulation publique du cannabis. C'est-à-dire pour une production régulée et gérée par l’Etat et une vente ainsi qu’une consommation gérée par l’Etat dans des lieux créés spécialement pour un tel usage. Il est grand temps de sortir de l’hypocrisie qui règne en maitre sur beaucoup de places européennes quant à l’absolue nécessité de lutter contre la consommation de cannabis : une majorité des jeunes en consomment au cours de l’année et la plupart des adultes en ont déjà consommés au moins une fois. Donc une bonne fois pour toute, cessons cette hypocrisie et agissons réellement dans un impératif de santé publique. Nous en avons assez de dépenser des sommes incalculables dans la lutte contre le cannabis alors qu’aux Pays-Bas, il est légalisé et ce pays n’en souffre pas pour autant. Une telle régulation publique permettra également aux autorités sanitaires de mener réellement une campagne de prévention et de lutte car ces centres permettront de mieux cerner les consommateurs. Nous éviterons ainsi des morts dans les rues de nos grandes villes par intoxication ou overdose. L’Etat est là pour protéger ses concitoyens, en l’occurrence, je ne pense pas que l’Etat protège quoi que ce soit et qui que ce soit en permettant la consommation illégale et frauduleuse, dans des conditions d’hygiènes horribles, de cannabis. Le cannabis est une drogue douce qui peut avoir des bienfaits en médecine, il n’est pas prouvé qu’elle soit plus dangereuse qu’une drogue de synthèse, par conséquent, légalisons le cannabis et laissons à l’Etat le soin de faire entrer des sous dans les caisses car ne nous leurrons pas : le contribuable frôceux ne payera plus un seul centime pour la politique sanitaire en la matière étant donné que c’est la régulation publique via la vente et la consommation sur place qui assurera des rentrées d’argent importantes. L’argent de la drogue, y compris du cannabis ne doit pas profiter à un commerce souterrain qui ne dit pas son nom et qui envahit, chaque jour un peu plus, les endroits les plus fragiles de notre pays. Cette solution entrainera la destruction automatique de l’économie souterraine qui tourne autour de ce commerce qui est illégal, notamment via des prix plus bas que sur le marché afin de dissuader d’éventuels acheteurs d’aller encore sur le marché noir pour payer plus un produit d’une qualité égale ou médiocre par rapport aux produits que l’on trouvera dans les centres de régulation publique de cannabis.

La Frôce a connu de nombreuses variations dans son système scolaire, passant du contrôle terminal au contrôle continu puis à l'inverse, lequel de ces systèmes a votre préférence ?

Ma scolarité, je l’ai effectuée en France, donc je suis un pur produit du contrôle terminal, que ce soit au lycée avec le baccalauréat ou lors de mes études supérieures avec des examens terminaux à chaque fois, que ce soit pour mes études universitaires, pour mon diplôme d’avocat notamment. Je n’ai connu que ce mode d’évaluation, comme des millions d’élèves et je ne trouve fondamentalement rien à redire sur ce système. Il doit être question à un moment donné d’évaluer réellement les compétences d’un étudiant sur une matière donnée à un moment donné. Cela permet de constater, ou pas, ses capacités intellectuelles de compréhension et d’analyse, ce que le contrôle terminal ne permet pas puisqu’il permet à des élèves irréguliers d’obtenir des qualifications qu’ils ne méritent peut être pas, ce que le contrôle terminal permet d’éviter. Puis c’est aussi une question de culture, le contrôle terminal c’est une tradition de l’école de la République, c’est un mythe, une légende qui se transmet de père en fils depuis des générations, c’est souvent le signe d’une réussite sociale et scolaire avant tout, c’est un signe de fierté pour le père qui voit son enfant obtenir ce que lui n’a pas pu obtenir. C’est un sésame pour la réussite qui consacre l’égalité de tous devant l’éducation. Je suis donc résolument favorable à l’instauration durable du contrôle terminal avec une dose de contrôle continu pour certaines matières, comme le sport ou des options artistiques par exemple. Mais les matières du tronc commun ou fondamentales, doivent faire l’objet d’un contrôle terminal, comme le français, les mathématiques, la biologie, l’histoire etc. Il est bon, pour maintenir la cohésion des individus et les liens entre les générations de ne pas chambouler toute une institution comme l’école à chaque changement de gouvernement, je souhaite donc inscrire la pratique du contrôle terminal dans la durée.
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Paul Rogin
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Re: Historique de la pondération

Message par Paul Rogin »

Très intéressant pour moi et les nouveaux pour apprendre plus en profondeur l'évolution du RP.

Fera tu un petit récapitulatif de l'élection de Septembre 2012?
Paul Rogin
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Et comment reconnaît-on un anti-communiste ? C'est quelqu'un qui a compris Marx et Lénine".
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Asuka Finacci
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Re: Historique de la pondération

Message par Asuka Finacci »

Oui, le récapitulatif de septembre 2012 servira de base aux explications sur les notes.
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Re: Historique de la pondération

Message par Paul Rogin »

Ok :ok:
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Thomas Rolland
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Re: Historique de la pondération

Message par Thomas Rolland »

De vieux souvenir :D

C'est vrai que les premières campagnes étaient complètement anarchique ^^
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