Action du gouvernement
- Gavroche Finacci
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Action du gouvernement
Comme j'ai déjà pu le dire aux responsables de partis, je souhaite que les membres du Gouvernement soient le plus autonomes possibles, contrairement à ce que certains ont fait dans le passé, je ne demande pas à être prévenu avant un débat.
Ceci dit, notre coalition n'aura plus la majorité nécessaire si une seule des trois listes se retire, c'est pourquoi je vous demande d'être particulièrement vigilants en ne lançant pas de débats sur un projet manifestement contraire au programme d'un de vos partenaires de coalition avant d'en avoir discuté ici.
Pour rappel voici les programmes :
Programme du PDF
Programme du RSE
Programme du PSD
Si un ministre a un peu de mal, je suis à sa disposition pour lui indiquer quelques pistes.
Ceci dit, notre coalition n'aura plus la majorité nécessaire si une seule des trois listes se retire, c'est pourquoi je vous demande d'être particulièrement vigilants en ne lançant pas de débats sur un projet manifestement contraire au programme d'un de vos partenaires de coalition avant d'en avoir discuté ici.
Pour rappel voici les programmes :
Programme du PDF
Programme du RSE
Programme du PSD
Si un ministre a un peu de mal, je suis à sa disposition pour lui indiquer quelques pistes.
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Re: Action du gouvernement
Bonsoir à tous,
Je compte mettre en place ce programme concernant le ministère de la Culture et des Sports :
-Création d'un Comité National du Sport
-Création d'un Code du Sport (Ceci n'est qu'un large projet et est encore à réfléchir amplement)
-Création de Centres Sportifs Urbains dans les zones résidentielles d'une certaine taille, comprenant le matériel nécessaire à la pratique des sports les plus courants et placés sous la surveillance d'au moins un gardien, le tout en étroite collaboration avec les établissements scolaires
-Création d'une Confédération des Équipes Sportives des Organisations Privées et Publiques (CESO2P)
-Augmenter le nombre de chaînes de la TNF
-Mise en place de Manifestations culturelles (Fête de la musique,...)
-Autorisation de la Publicité sur le Service Public
Qu'en pensez-vous ?
Merci d'avance pour votre aide.
Je compte mettre en place ce programme concernant le ministère de la Culture et des Sports :
-Création d'un Comité National du Sport
-Création d'un Code du Sport (Ceci n'est qu'un large projet et est encore à réfléchir amplement)
-Création de Centres Sportifs Urbains dans les zones résidentielles d'une certaine taille, comprenant le matériel nécessaire à la pratique des sports les plus courants et placés sous la surveillance d'au moins un gardien, le tout en étroite collaboration avec les établissements scolaires
-Création d'une Confédération des Équipes Sportives des Organisations Privées et Publiques (CESO2P)
-Augmenter le nombre de chaînes de la TNF
-Mise en place de Manifestations culturelles (Fête de la musique,...)
-Autorisation de la Publicité sur le Service Public
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Ancien Président de la République
Ancien Ministre (Economie, Finances & Travail / Intérieur & Défense / Environnement, Energie & Transports / Culture et sports)
Ancien Représentant Parlementaire
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- Gavroche Finacci
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Re: Action du gouvernement
Le programme me convient. Fais attention à ne pas trop en faire d'un coup, ça finit par dégoûter.
- Luca Pappa
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Re: Action du gouvernement
C'est une bonne question, Monsieur Pappa. La réponse est non, le CNS s'occupera uniquement des clubs de sports et des fédérations de sport, le CESO2P sera en fait un comité permettant de valoriser le sport d'entreprise. J'ai sans doute mal conçu le nom de cette instance, qui de toute façon est provisoire.
Ancien Président de la République
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- Luca Pappa
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Re: Action du gouvernement
Il serait en effet préférable de ne pas reprendre les quasi memes dénominations.
- Thomas Rolland
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Re: Action du gouvernement
Bonsoir à tous,
Vous savez que l'éducation est quelque chose qui dans la pratique donne beaucoup de difficulté. On connait les problèmes mais au fil des années et des réformes, celle-ci semble irréformable. Il faut dépasser ce paradoxe d'une lucidité et d'une incapacité constante, par un nouveau paradigme. Je pense que les reformes qui ont été faites sont des réformes que quantitative. On ne règle pas l'éducation par de nouvelles filières ou de nouveaux horaires, surtout que la spécialisation est contraire à l'esprit de l'éducation et de l'université. Il faut des reformes qualitatives. Qu'est-ce que je veux dire par là : il faut savoir où l'on va (une bonne éducation est une éducation qui accomplie sa finalité), et réformé le contenu éducatif plus que la forme. Tel est mon paradigme, qui au niveau pratique, vous l'aurez compris pose plusieurs questions.
La première est évidente : quelle est la fin de l'éducation ? Qu'est-ce qu'une éducation bonne ? Platon disait qu'entre le faux et le vrai, il y a l'opinion ; en d'autre terme entre ce qui est et ce qui n'est pas il y a ce qu'on dit qu'il est. L'opinion n'est pas une fausse piste. Ainsi, si l'on prend en compte l'opinion, voilà ce qu'on entend : il faut que l'école aboutisse à un travail. Voilà une finalité. Mais l'on sait que l'éducation n'est pas qu'une instruction, c'est aussi une formation (on instruit quelque chose à quelqu'un ; on forme quelqu'un à quelque chose) : le savoir est une chose difficile ; l'école doit être une formation de l'esprit au savoir et à la vérité. Ainsi nous avons deux finalités : un métier, et une formation des esprits.
Il faut aussi, car nous sommes dans la pratique politique, faire preuve de méthode : on peut savoir où l'on va, encore faut-il savoir comment l'atteindre. Les réformes doivent être architectonique car l'école fonctionne ainsi. L'acquisition d'un savoir en CM1 présuppose d'avoir acquit ceux du CE2. C'est affaire de bon sens, ainsi les réformes doivent non seulement commencer par celle du primaire ; et ce n'est pas la tache la plus facile, surtout qu'on sait que les problèmes acquis dès la base contamine le reste du parcourt scolaire. Voilà pour ma méthode, le cheminement que je vais prendre.
Maintenant, soyons concret. L'école ne consiste pas en une division du savoir mais en une acquisition de celle-ci en tenant compte des attributs des enfants. J'ai remarqué qu'en CP, il y avait de l'histoire, de la géo, des sciences,... Et on sait que beaucoup d'élève du CP, passent en CE1 sans savoir lire ni écrire. Je pense que cela ne sert à rien de diviser le savoir, il faut le concentrer : en CP c'est "lire, écrire, compter". C'est la base de la pensée.
Pour l'ensemble du primaire : les programmes sont trop durs à boucler, il faut les alléger et se concentrer sur l'essentiel en fonction des besoins naturels de l'enfant. Ceci est une affaire d'expert qu'il faudra convier.
Pour le collège : on parle souvent de problème de respect... Ceci, messieurs est perdu, ou en tout cas, selon moi, ne peut se retrouver par une autorité imposé, une autorité politique. L'autorité c'est le respect des anciens, ça dépend du sujet et de l'image du passé. C'est une question de mœurs. Nous, nous devons nous occuper des gamins.
L'un des problèmes qui se pose au collège, et qui se pose aussi au lycée et à l'université, c'est l'orientation... Il y a eu beaucoup de chose là-dessus (création de conseiller d'orientation,...) ; dans l'esprit de la méthode que j'ai indiqué plus haut, voilà ce que je propose : de la meilleur information par des forums des métiers par exemple, des options de travaux manuels et de productions, des informations sur les filières économiques d'avenir, des stages d'un jour au lieu de un seul stage de 7 jours et vers des métiers qui intéressent et du coup le soutien des écoles à trouver des stages. Il ne s'agit pas de plus, mais de mieux. Et bien sûr l'effort doit être plus concentré sur les élèves qui sont susceptibles d'aller vers les filières types CAP, BEP. Il faut des cours professionnalisant qui apprennent la rédaction de CV et lettres de motivations, ainsi que des réunions inter-métiers.
L'orientation est un problème qui se pose : on peut avoir une réussite au BCES très élevé (90%), n'empêche qu'en première année post-bac, la réussite n'est que de 40%. L'Etat peut être aussi à l'origine de nouvelles orientations par la créations de filières d'avenirs si celles-ci sont stimulés par un grand pôle publique de recherche. Ca créé de nouveaux diplômes et de nouveaux métiers qui demanderont de la main d'œuvre intellectuel ou manuel formé.
Dans l'immédiat, voilà les pistes qui m'occupent même si ça ne fait pas tout. Ca demande de la réflexion (on a toujours le problème de la méritocratie, inégalité des chances,...) Je m'occupe pour l'instant de l'aspect le plus matériel : un métier après l'école.
Dans le moins-immédiat, j'aimerais créer une sorte de commission publique à la question éducative, non basé sur le théorique mais sur le pratique : ca sera une salle de travail ouvert à tous, pour l'émergence non de débat sans fin et idéologique, mais de réforme dont le seul juge sera le bon sens.
Merci de m'avoir lu.
Vous savez que l'éducation est quelque chose qui dans la pratique donne beaucoup de difficulté. On connait les problèmes mais au fil des années et des réformes, celle-ci semble irréformable. Il faut dépasser ce paradoxe d'une lucidité et d'une incapacité constante, par un nouveau paradigme. Je pense que les reformes qui ont été faites sont des réformes que quantitative. On ne règle pas l'éducation par de nouvelles filières ou de nouveaux horaires, surtout que la spécialisation est contraire à l'esprit de l'éducation et de l'université. Il faut des reformes qualitatives. Qu'est-ce que je veux dire par là : il faut savoir où l'on va (une bonne éducation est une éducation qui accomplie sa finalité), et réformé le contenu éducatif plus que la forme. Tel est mon paradigme, qui au niveau pratique, vous l'aurez compris pose plusieurs questions.
La première est évidente : quelle est la fin de l'éducation ? Qu'est-ce qu'une éducation bonne ? Platon disait qu'entre le faux et le vrai, il y a l'opinion ; en d'autre terme entre ce qui est et ce qui n'est pas il y a ce qu'on dit qu'il est. L'opinion n'est pas une fausse piste. Ainsi, si l'on prend en compte l'opinion, voilà ce qu'on entend : il faut que l'école aboutisse à un travail. Voilà une finalité. Mais l'on sait que l'éducation n'est pas qu'une instruction, c'est aussi une formation (on instruit quelque chose à quelqu'un ; on forme quelqu'un à quelque chose) : le savoir est une chose difficile ; l'école doit être une formation de l'esprit au savoir et à la vérité. Ainsi nous avons deux finalités : un métier, et une formation des esprits.
Il faut aussi, car nous sommes dans la pratique politique, faire preuve de méthode : on peut savoir où l'on va, encore faut-il savoir comment l'atteindre. Les réformes doivent être architectonique car l'école fonctionne ainsi. L'acquisition d'un savoir en CM1 présuppose d'avoir acquit ceux du CE2. C'est affaire de bon sens, ainsi les réformes doivent non seulement commencer par celle du primaire ; et ce n'est pas la tache la plus facile, surtout qu'on sait que les problèmes acquis dès la base contamine le reste du parcourt scolaire. Voilà pour ma méthode, le cheminement que je vais prendre.
Maintenant, soyons concret. L'école ne consiste pas en une division du savoir mais en une acquisition de celle-ci en tenant compte des attributs des enfants. J'ai remarqué qu'en CP, il y avait de l'histoire, de la géo, des sciences,... Et on sait que beaucoup d'élève du CP, passent en CE1 sans savoir lire ni écrire. Je pense que cela ne sert à rien de diviser le savoir, il faut le concentrer : en CP c'est "lire, écrire, compter". C'est la base de la pensée.
Pour l'ensemble du primaire : les programmes sont trop durs à boucler, il faut les alléger et se concentrer sur l'essentiel en fonction des besoins naturels de l'enfant. Ceci est une affaire d'expert qu'il faudra convier.
Pour le collège : on parle souvent de problème de respect... Ceci, messieurs est perdu, ou en tout cas, selon moi, ne peut se retrouver par une autorité imposé, une autorité politique. L'autorité c'est le respect des anciens, ça dépend du sujet et de l'image du passé. C'est une question de mœurs. Nous, nous devons nous occuper des gamins.
L'un des problèmes qui se pose au collège, et qui se pose aussi au lycée et à l'université, c'est l'orientation... Il y a eu beaucoup de chose là-dessus (création de conseiller d'orientation,...) ; dans l'esprit de la méthode que j'ai indiqué plus haut, voilà ce que je propose : de la meilleur information par des forums des métiers par exemple, des options de travaux manuels et de productions, des informations sur les filières économiques d'avenir, des stages d'un jour au lieu de un seul stage de 7 jours et vers des métiers qui intéressent et du coup le soutien des écoles à trouver des stages. Il ne s'agit pas de plus, mais de mieux. Et bien sûr l'effort doit être plus concentré sur les élèves qui sont susceptibles d'aller vers les filières types CAP, BEP. Il faut des cours professionnalisant qui apprennent la rédaction de CV et lettres de motivations, ainsi que des réunions inter-métiers.
L'orientation est un problème qui se pose : on peut avoir une réussite au BCES très élevé (90%), n'empêche qu'en première année post-bac, la réussite n'est que de 40%. L'Etat peut être aussi à l'origine de nouvelles orientations par la créations de filières d'avenirs si celles-ci sont stimulés par un grand pôle publique de recherche. Ca créé de nouveaux diplômes et de nouveaux métiers qui demanderont de la main d'œuvre intellectuel ou manuel formé.
Dans l'immédiat, voilà les pistes qui m'occupent même si ça ne fait pas tout. Ca demande de la réflexion (on a toujours le problème de la méritocratie, inégalité des chances,...) Je m'occupe pour l'instant de l'aspect le plus matériel : un métier après l'école.
Dans le moins-immédiat, j'aimerais créer une sorte de commission publique à la question éducative, non basé sur le théorique mais sur le pratique : ca sera une salle de travail ouvert à tous, pour l'émergence non de débat sans fin et idéologique, mais de réforme dont le seul juge sera le bon sens.
Merci de m'avoir lu.
Ministre de l’Education, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
Représentant parlementaire
20 députés
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Porte-Parole du Rassemblement Socialiste et Ecologiste
« Homo sum, et humani nihil a me alienum puto. » Térence
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Re: Action du gouvernement
Cher collègue,
Bien entendu, comme vous l'avez habilement fait remarquer, l'un des objectifs, si ce n'est l'objectif principal, de l'école est de trouver par la suite un métier. Mais je pense que ceci est d'avantage du ressort de l'Enseignement Supérieur, qui n'est que très peu formalisé et régulé en Frôce. Les universités et Lycées proposant des filières supérieures marchent "roues libres", avec une organisation archaïque, des frais très élevés. Concrètement, il y a seulement une classe sociale qui peut se permettre de faire des études : les riches, qui ont la possibilité de payer des universités en Frôce ou qui peuvent trouver un logement en France.
Pour les classes moyennes, cela est très compliqué. Ne parlons même pas des classes les plus défavorisées.
Monsieur Rolland, je vous souhaite bonne chance quant à votre nouvelle mission et je vous fait pour ma part entièrement confiance à ce sujet.
Bien entendu, comme vous l'avez habilement fait remarquer, l'un des objectifs, si ce n'est l'objectif principal, de l'école est de trouver par la suite un métier. Mais je pense que ceci est d'avantage du ressort de l'Enseignement Supérieur, qui n'est que très peu formalisé et régulé en Frôce. Les universités et Lycées proposant des filières supérieures marchent "roues libres", avec une organisation archaïque, des frais très élevés. Concrètement, il y a seulement une classe sociale qui peut se permettre de faire des études : les riches, qui ont la possibilité de payer des universités en Frôce ou qui peuvent trouver un logement en France.
Pour les classes moyennes, cela est très compliqué. Ne parlons même pas des classes les plus défavorisées.
Monsieur Rolland, je vous souhaite bonne chance quant à votre nouvelle mission et je vous fait pour ma part entièrement confiance à ce sujet.
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- Luca Pappa
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- Thomas Rolland
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Re: Action du gouvernement
C'est le bac froceux non ?Luca Pappa a écrit :Qu'est-ce que le BCES ?
Je me permet de vous répondre monsieur St Imberb. Je vais organiser une visite à Aspen dans la semaine pour constater de l'état de nos universités. Je crois qu'il n'y a qu'un seul pôle universitaire dans tout le pays. C'est peu, alors qu'il y a des domaines à investir , ce qu'un pôle publique de recherche peut lancer, par exemple pour ce qui est du domaine maritime. Ce qui permettra d'encadrer justement le financement des universités, sans que ce soit le privée qui le fasse. Comme j'ai pu le dire précédement, il y a un problème d'orientation et de débouché, il n'y a qu'à voir les chiffres : près de 90% de réussite au BAC contre 40% en première année de licence. Si on ne peut revaloriser les diplômes, on peut en faire émerger de nouveaux dans des domaines d'innovations et de recherches ; ce qui aboutira in fine à une nouvelle industrie.
Après, je suis moi aussi conscient du problème des inégalités des chances, qui méritent beaucoup de réflexion. Je publierai un rapport là-dessus la semaine prochaine avec des pistes envisageables.
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