Une vraie économie virtuelle

[Gustavo Riga]

Chers concitoyens,.

Du temps de l'ancienne Frôce, j'avais déjà eu l'occasion de faire cette proposition, mais de façon peu élaborée. Je la réitère aujourd'hui :
- Je ne considère pas que la politique soit une affaire d'élections, de ministères et de textes de lois. Tout cela n'est qu'un épiphénomène. La politique, c'est avant tout un conflit au coeur d'une société vivante. Et ce qui fait vivre cette société, c'est son organisation économique.
- Il n'existe pas en Frôce d'économie virtuelle véritable, ou bien de façon très limitée. Aujourd'hui la seule façon de gagner de l'argent dans le privé, c'est de se faire subventionner par le public. C'est le monde à l'envers !
- Dès lors, il faudrait renverser tout ça et faire en sorte que les ressources de l'Etat soient tirées de l'économie réelle, c'est-à-dire des entreprises en activité. On pourrait enfin voir apparaître de vraies choses comme du lobbying, des grèves, un droit du travail, etc.
- Tout cela demanderait de donner beaucoup de pouvoir aux maîtres du jeu. Je pense que leur pouvoir est trop limité.
- Il manque aussi un vrai ministère de la guerre et une police efficace. C'est symptomatique de la maladie qui règne ici : il y a des tribunaux, mais pas de police. Les ministères (intérieur, défense) ne s'occupent que d'élaborer des lois. Ils feraient mieux de faire fonctionner la machine.

[Laurent de Montredon]

Encore faut il avoir les moyens de faire fonctionner la machine.
Même si je veux mettre en branle les forces de police, je ne peux le faire qu'à travers une loi et à travers des déplacements sur le terrain.
Je ne peux pas sur un logiciel (ou comme dans un jeu) déplacer mes pions, fixer mes effectifs etc ...
C'est sûr c'est restrictif et frustrant mais, le jeu ne permet pas plus pour le moment.

[Gustavo Riga]

Pour ce qui est des effectifs, je pense que c'est aux maîtres du jeu de les fixer en fonction du budget. Mais il faudrait effectivement disposer de forces de police employables à tout moment, par exemple si des troubles éclataient à Cofonoria.

[Laurent de Montredon]

Ou à Salusa