Frôce - Archives V2

Une remarque doit tout de même être formulée. En 3 invasions de mairies, ces manifestants ont réussi à introduire la question cofonorianne dans l'agenda médiatique frôceux. Tout d'un coup tout le monde (même MM. Bertrand, Marshall et Montredon) reconnaissent qu'un débat peut être tenu et que le statu quo n'est plus un horizon indépassable.

Alors, même si je désapprouve la forme de leur engagement, je ne peux que remercier ces militants de leurs efforts. Ils ont réussi en quelques jours à créer une agitation qui transcende et complète ce qu'Enzo Barras et le MIAC avaient pu susciter.

Il est important de rappeler que la République Frôceuse est une et indivisible et qu’il n’est pas question de remettre en cause cet état de fait. M. Bertrand est libre de faire de la récupération politique malsaine s’il le souhaite, pour ma part, c’est très clair : cette question n’a même pas à être dans l’agenda médiatique de l’exécutif, si ce n’est pour rétablir l’ordre dans les municipalités de l’Archipel.

Le rôle de l'Exécutif Frôceux est de maintenir l'ordre public et la stabilité sur le territoire de la République.
Si les Cofonariens demandent une discussion sur l'autonomie de leur Région, la République se devra d'engager une discussion cadre sur la décentralisation de toutes les Régions Frôceuses.

Dans un entretien accordé à un journal régional cofonarien, Jean-Baptiste a exposé sa solution au problème cofonarien.

A mon sens, le problème cofonarien peut trouver une issue positive pour tous si l'Etat frôceux adopte la forme fédérale. Ainsi, l'Archipel Cofonoria, tout comme la Province des Prigors et l'Île de l'Agrume, disposeraient de leur propre gouvernement et de leur propre Constitution. Il faut d'avantage de décentralisation et d'avantage d'autonomie pour les régions.
C'est une position que j'ai toujours défendue et qui s'avérerait - je pense - tout à fait efficace si elle était mise en place.