N'est ce pas notre fonction première que de défendre le bien-être de nos Concitoyens? ou du moins de se plier à sa volonté?François Martinez a écrit :"Contenter la population"... Oui en effet, la démagogie des propos de M. Estrade reste quant a elle intacte.John Estrade a écrit :Estrade rigolat
Monsieur Borja à une drôle de façon de contenter la population...la majorité du peuple est pour des fêtes religieuses férié, et lui propose de les supprimer afin de ne pas diviser le peuple et au nom de la laïcité...
AFP 17/11 - Sondages : Une Frôce divisée
Re: AFP 17/11 - Sondages : Une Frôce divisée
Re: AFP 17/11 - Sondages : Une Frôce divisée
Alors vous n'avez rien compris de la politique.John Estrade a écrit :N'est ce pas notre fonction première que de défendre le bien-être de nos Concitoyens? ou du moins de se plier à sa volonté?François Martinez a écrit :"Contenter la population"... Oui en effet, la démagogie des propos de M. Estrade reste quant a elle intacte.John Estrade a écrit :Estrade rigolat
Monsieur Borja à une drôle de façon de contenter la population...la majorité du peuple est pour des fêtes religieuses férié, et lui propose de les supprimer afin de ne pas diviser le peuple et au nom de la laïcité...
La chose publique concerne avant tout les citoyens d'une même communauté qui décident a eux seuls de l'orientation des décisions importantes.
Il ne faut voir les détenteurs de l’autorité publique que comme des membres de la représentation nationale dont le pouvoir a été délégué par la nation.
En effet, le pouvoir est impersonnel et personne n'en est propriétaire pour ses concitoyens.
Seuls les Rois se revendiquaient détenteurs et comme vous le dites, pour le bien-être de ses sujets, en réalité le sien et Son Bon Plaisir.
- Mays Madarjeen
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Re: AFP 17/11 - Sondages : Une Frôce divisée
Alors qu'il quittait la mairie de Lônes après une première dure journée de travail, Mays Madarjeen fut interrogé par des journalistes de la presse locale pour réagir aux propos de François Martinez.
Monsieur Martinez pourrait avoir un peu de pudeur, quand même. S'adonner à une telle masturbation intellectuelle en public manque de décence, d'autant que des enfants pourraient l'entendre.
Si l'on fait une addition simple, l'on constate que les trois quarts des Frôceux souhaitent conserver des jours fériés religieux. À partir de cette base-là, la solution de supprimer tous les jours religieux est objectivement inadaptée et antidémocratique, et affirmer ceci n'a rien de démagogique.
Le procès d'intention que fait monsieur Martinez à l'encontre de John Estrade est également honteux, car ce dernier ne s'est jamais revendiqué propriétaire d'un quelconque pouvoir ou d'une quelconque autorité.
Monsieur Martinez, dans son irrésistible désir de prouver son inoxydable érudition, récite maladroitement quelques lignes d'un cours de sciences politiques auquel il a dû assister lorsqu'il était petit, et ne fait que démontrer au final une fatuité qui n'a d'égale que la superfétation de ses diatribes abracadabrantes.
Sur ces mots, il rentra dans son minuscule appartement et se reposa pour estomper l'épuisement intellectuel qu'il venait de s'infliger.
Monsieur Martinez pourrait avoir un peu de pudeur, quand même. S'adonner à une telle masturbation intellectuelle en public manque de décence, d'autant que des enfants pourraient l'entendre.
Si l'on fait une addition simple, l'on constate que les trois quarts des Frôceux souhaitent conserver des jours fériés religieux. À partir de cette base-là, la solution de supprimer tous les jours religieux est objectivement inadaptée et antidémocratique, et affirmer ceci n'a rien de démagogique.
Le procès d'intention que fait monsieur Martinez à l'encontre de John Estrade est également honteux, car ce dernier ne s'est jamais revendiqué propriétaire d'un quelconque pouvoir ou d'une quelconque autorité.
Monsieur Martinez, dans son irrésistible désir de prouver son inoxydable érudition, récite maladroitement quelques lignes d'un cours de sciences politiques auquel il a dû assister lorsqu'il était petit, et ne fait que démontrer au final une fatuité qui n'a d'égale que la superfétation de ses diatribes abracadabrantes.
Sur ces mots, il rentra dans son minuscule appartement et se reposa pour estomper l'épuisement intellectuel qu'il venait de s'infliger.
Re: AFP 17/11 - Sondages : Une Frôce divisée
Apres avoir rit de la joute verbale que Mays avait déclenché, François joua le jeu en répondant a l'attaqueMays Madarjeen a écrit :Alors qu'il quittait la mairie de Lônes après une première dure journée de travail, Mays Madarjeen fut interrogé par des journalistes de la presse locale pour réagir aux propos de François Martinez.
Monsieur Martinez pourrait avoir un peu de pudeur, quand même. S'adonner à une telle masturbation intellectuelle en public manque de décence, d'autant que des enfants pourraient l'entendre.
Si l'on fait une addition simple, l'on constate que les trois quarts des Frôceux souhaitent conserver des jours fériés religieux. À partir de cette base-là, la solution de supprimer tous les jours religieux est objectivement inadaptée et antidémocratique, et affirmer ceci n'a rien de démagogique.
Le procès d'intention que fait monsieur Martinez à l'encontre de John Estrade est également honteux, car ce dernier ne s'est jamais revendiqué propriétaire d'un quelconque pouvoir ou d'une quelconque autorité.
Monsieur Martinez, dans son irrésistible désir de prouver son inoxydable érudition, récite maladroitement quelques lignes d'un cours de sciences politiques auquel il a dû assister lorsqu'il était petit, et ne fait que démontrer au final une fatuité qui n'a d'égale que la superfétation de ses diatribes abracadabrantes.
Sur ces mots, il rentra dans son minuscule appartement et se reposa pour estomper l'épuisement intellectuel qu'il venait de s'infliger.
- C'est le propre même des nationalistes-conservateurs d'abrutir l'abruti ''peuple'' afin de pouvoir disposer pleinement des pouvoirs publics.
Ainsi donc Mays s'adonne t-il a l'abrutissement total de ses auditeurs en contournant avec ruse et subtilité mes propos, tout en n'omettant pas de me reprocher l'approche ''intellectuelle'' de mon argumentation.
Car quoi ? Il faut maintenant en démocratie Madarjeenoise, débattre avec humour et bêtise ? Evidemment les nationalistes qui s'arrogent les droits de la pensée juste et souveraine écrasant toutes les autres comme de vulgaires insectes font tout pour que la vérité et la lumière de nos philosophes soient corrompues.
En effet, je n'accusais pas John Estrade de prétendre la propriété du pouvoir suprême, ce n’était qu'une anecdote comme une autre pour qu'il sache, lui de la Cour Suprême, que les détenteurs du pouvoirs ne sont pas les roitelets oisifs qui répondent une a une aux requêtes roturières mais que dans notre démocratie libérale et moderne, c'est le roturier lui même qui est souverain, avec ses concitoyens.
Monsieur Madarjeen semble bien instruit et n'oublie pas ses cours de Science-Po, encore eut-il fallu qu'il admette que le fonctionnement de notre pays est régit par les notes qu'il a prises a l’hémicycle et que les rappeler ne fait que peu de mal si ce n'est a ses oreilles si fragiles.
S'il pense que je fais preuve d'une redondance exagérée, je me vois obligé de lui rappeler que nul n'est censé ignorer la Loi.
Ses propos lui permettent ainsi de facto de prendre la carte de la Ligue Patriotique et ainsi être promu au rang social patriotique des intellos dur-a-cuire, si bien sur ces ambitions ne pouvaient le retenir au modeste PRF prétendument républicain.
- Mays Madarjeen
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Re: AFP 17/11 - Sondages : Une Frôce divisée
Alors qu'il roupillait tranquillement, Mays Madarjeen fut réveillé par ce même journaliste qui l'avait interpelé à la sortie de la mairie. Celui-ci lui tendit un micro après lui avoir énoncé la réponse de François Martinez, et le tout nouveau maire, pas tout à fait réveillé, consentit à poursuivre la discussion par médias interposés.
J'en viens à me demander si monsieur Martinez et moi-même avons bien assisté au même débat, tant certaines de ses remarques me semblent hors de propos.
En réalité, j'ai plutôt du mal à comprendre quel affront infâme je commets en affirmant que l'expression du peuple – en ce qu'elle nous est transmise par le biais d'un sondage – doit guider notre réflexion et notre action politiques, et plus particulièrement celles de nos dirigeants ; et en constatant, comme l'avait fait John Estrade avant moi, que prendre à contre-pied l'opinion n'était pas une attitude cohérente avec la qualité démocratique de notre échiquier.
De même que je ne saisis guère l'utilité de répéter en des termes plus pompeux que les nôtres que le peuple est effectivement le seul et unique souverain de notre pays en notre temps, puisqu'il s'agit ni plus ni moins de la base de l'argumentation des républicains qui se sont succédés dans la presse pour s'exprimer, et ce depuis la toute première intervention de John Estrade, avant même qu'Antonio Borja n'émette sa surprenante proposition, sur laquelle repose d'ailleurs cet échange passionnant.
Quant à ce qu'il s'agirait, de ma part, de mépriser l'intelligence et de refuser d'en reconnaitre une once en nos concitoyens, je me dois de corriger un incompris en étayant ma pensée.
J'ai un profond respect pour l'intelligence. J'ai une immense estime pour la culture. Mais je pense également savoir faire la nette distinction entre parler intelligemment et faire montre d'onanisme intellectuel, car c'était justement le fondement de mon sarcasme.
Car l'intervention de monsieur Martinez, en plus d'être hors-sujet à mon sens, me donnait la cruelle impression de ne pas viser à faire avancer le débat, mais à étaler de manière immodeste une objective qualité de réflexion. En clair, monsieur Martinez cherchait sans doute plus à convaincre de ce qu'il était que de ce qu'il disait.
Car il s'agit peut-être là de la plus marquante différence entre monsieur Martinez et moi-même. Là où il m'accusera de démagogie, je le renverrai à sa pédanterie.
Il ne s'agit pas là d'un fanatisme populiste de ma part, mais j'estime que lorsque je m'exprime en public, je dois être compris par le plus grand nombre de personnes, car c'est là le rôle du politique. Un homme qui n'est pas capable de rendre son discours limpide ne peut prétendre à gérer la cité.
Il est à mon avis tout à fait possible de s'exprimer intelligemment sans dériver dans l'idiotie intellectuelle.
Pour parler de manière un peu plus abrupte, je vais formuler mon idée comme ceci : c'est bien d'avoir de l'intelligence, encore faut-il savoir quoi en faire. Sinon, c'est comme avoir des gros bras mais ne rien savoir faire d'autre que soulever de la fonte : c'est beau, mais ça sert à rien.
Enfin, pour répondre à l'interrogation de monsieur Martinez quant à l'usage de l'humour dans le débat, je conclurai par une citation : « L'humour est la politesse du désespoir. »
Fatigué, il envoya son oreiller dans la figure du journaliste et lui tourna le dos pour se rendormir.
J'en viens à me demander si monsieur Martinez et moi-même avons bien assisté au même débat, tant certaines de ses remarques me semblent hors de propos.
En réalité, j'ai plutôt du mal à comprendre quel affront infâme je commets en affirmant que l'expression du peuple – en ce qu'elle nous est transmise par le biais d'un sondage – doit guider notre réflexion et notre action politiques, et plus particulièrement celles de nos dirigeants ; et en constatant, comme l'avait fait John Estrade avant moi, que prendre à contre-pied l'opinion n'était pas une attitude cohérente avec la qualité démocratique de notre échiquier.
De même que je ne saisis guère l'utilité de répéter en des termes plus pompeux que les nôtres que le peuple est effectivement le seul et unique souverain de notre pays en notre temps, puisqu'il s'agit ni plus ni moins de la base de l'argumentation des républicains qui se sont succédés dans la presse pour s'exprimer, et ce depuis la toute première intervention de John Estrade, avant même qu'Antonio Borja n'émette sa surprenante proposition, sur laquelle repose d'ailleurs cet échange passionnant.
Quant à ce qu'il s'agirait, de ma part, de mépriser l'intelligence et de refuser d'en reconnaitre une once en nos concitoyens, je me dois de corriger un incompris en étayant ma pensée.
J'ai un profond respect pour l'intelligence. J'ai une immense estime pour la culture. Mais je pense également savoir faire la nette distinction entre parler intelligemment et faire montre d'onanisme intellectuel, car c'était justement le fondement de mon sarcasme.
Car l'intervention de monsieur Martinez, en plus d'être hors-sujet à mon sens, me donnait la cruelle impression de ne pas viser à faire avancer le débat, mais à étaler de manière immodeste une objective qualité de réflexion. En clair, monsieur Martinez cherchait sans doute plus à convaincre de ce qu'il était que de ce qu'il disait.
Car il s'agit peut-être là de la plus marquante différence entre monsieur Martinez et moi-même. Là où il m'accusera de démagogie, je le renverrai à sa pédanterie.
Il ne s'agit pas là d'un fanatisme populiste de ma part, mais j'estime que lorsque je m'exprime en public, je dois être compris par le plus grand nombre de personnes, car c'est là le rôle du politique. Un homme qui n'est pas capable de rendre son discours limpide ne peut prétendre à gérer la cité.
Il est à mon avis tout à fait possible de s'exprimer intelligemment sans dériver dans l'idiotie intellectuelle.
Pour parler de manière un peu plus abrupte, je vais formuler mon idée comme ceci : c'est bien d'avoir de l'intelligence, encore faut-il savoir quoi en faire. Sinon, c'est comme avoir des gros bras mais ne rien savoir faire d'autre que soulever de la fonte : c'est beau, mais ça sert à rien.
Enfin, pour répondre à l'interrogation de monsieur Martinez quant à l'usage de l'humour dans le débat, je conclurai par une citation : « L'humour est la politesse du désespoir. »
Fatigué, il envoya son oreiller dans la figure du journaliste et lui tourna le dos pour se rendormir.
- Sébastien Capell
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Re: AFP 17/11 - Sondages : Une Frôce divisée
Interpellé par un journaliste, Sébastien Capell, fit un commentaire
M. Martinez semble bien connaître son sujet. Mais il devrait relire la composition actuelle des institutions de notre pays. John Estrade n'est pas membre de la Cour Suprême, il est Président de la Cour de Justice. Pour un ancien Procureur de la République, cette erreur est assez étonnante.
M. Martinez semble bien connaître son sujet. Mais il devrait relire la composition actuelle des institutions de notre pays. John Estrade n'est pas membre de la Cour Suprême, il est Président de la Cour de Justice. Pour un ancien Procureur de la République, cette erreur est assez étonnante.
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Re: AFP 17/11 - Sondages : Une Frôce divisée
Yevi passait à côté quand il entendu M. Capell ouvrir sa bouche. Il rit, et marmonna:Sébastien Capell a écrit :Interpellé par un journaliste, Sébastien Capell, fit un commentaire
M. Martinez semble bien connaître son sujet. Mais il devrait relire la composition actuelle des institutions de notre pays. John Estrade n'est pas membre de la Cour Suprême, il est Président de la Cour de Justice. Pour un ancien Procureur de la République, cette erreur est assez étonnante.
Ca, c'est petit, très petit.
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Re: AFP 17/11 - Sondages : Une Frôce divisée
Pour une fois que deux politiciens s'écharpent en alignant plus de trois mots, tous les journalistes sont en ébullition. Bientôt l'affrontement Martinez/Madarjeen est de toutes les conversations...
Dans la cour du Ministère de l'Intérieur et de la défense, attend une grosse berline noire, ainsi qu'une poignée de journalistes. Il fait froid et Zélie Saint-Déodat est toujours en retard... Mais cette dernière finit par apparaitre. Dans sa grande bonté, et pour remercier les serviteurs de l'information d'avoir poireauter dans ce froid sibérien, elle décide de leur accorder quelques minutes de son inestimable temps.
"Messieurs, à vos questions. Chacun votre tour."
"Alibert Constant, pour Radio Aspen. Avez-vous un commentaire sur la joute verbale entre Martinez et Madarjeen."
Froncement de sourcils. Martinez et Madarjeen? Diantre... Est-ce un groupe de musique? Deux footballeurs? Zélie l'ignore totalement. Heureusement, un second journaliste complète la question en citant quelques phrases du Maire de Lônes puis les réponses du Procureur.
Les sourcils se Zélie s'abaissent plus encore en entendant des mots comme "fatuité", "redondance", "de facto", "pédenterie", "onanisme" (ouais, vu comment elle est bonne, Zélie n'a pas de mal à trouver un mâle susceptible de remplacer une séance d'onanisme, donc, elle ne connait pas...).
"Euh... Oui..."
Bordel, mais qu'est-ce que ces deux glands veulent dire? Zélie regarde sa montre. Elle sue à grosses gouttes. Question à la con...
"En fait non... Aucun commentaire. Je laisse nos amis de Droite s'estropier entre eux. Moi, j'ai un avion à prendre. Désolé. Aurevoir mes lapins."
Note interne : acheter un dictionnaire.
Dans la cour du Ministère de l'Intérieur et de la défense, attend une grosse berline noire, ainsi qu'une poignée de journalistes. Il fait froid et Zélie Saint-Déodat est toujours en retard... Mais cette dernière finit par apparaitre. Dans sa grande bonté, et pour remercier les serviteurs de l'information d'avoir poireauter dans ce froid sibérien, elle décide de leur accorder quelques minutes de son inestimable temps.
"Messieurs, à vos questions. Chacun votre tour."
"Alibert Constant, pour Radio Aspen. Avez-vous un commentaire sur la joute verbale entre Martinez et Madarjeen."
Froncement de sourcils. Martinez et Madarjeen? Diantre... Est-ce un groupe de musique? Deux footballeurs? Zélie l'ignore totalement. Heureusement, un second journaliste complète la question en citant quelques phrases du Maire de Lônes puis les réponses du Procureur.
Les sourcils se Zélie s'abaissent plus encore en entendant des mots comme "fatuité", "redondance", "de facto", "pédenterie", "onanisme" (ouais, vu comment elle est bonne, Zélie n'a pas de mal à trouver un mâle susceptible de remplacer une séance d'onanisme, donc, elle ne connait pas...).
"Euh... Oui..."
Bordel, mais qu'est-ce que ces deux glands veulent dire? Zélie regarde sa montre. Elle sue à grosses gouttes. Question à la con...
"En fait non... Aucun commentaire. Je laisse nos amis de Droite s'estropier entre eux. Moi, j'ai un avion à prendre. Désolé. Aurevoir mes lapins."
Note interne : acheter un dictionnaire.
Zélie Saint-Déodat