[Législatives 01/13] Campagne électorale

[Christelle Alliotte]

Borgia a accepté les autres conditions?

[Marie Delaunay]

Voilà l’accord de gouvernement que j’ai conclu.

ADL
Premier Ministre : Valentino Borgia
Economie : Catherine de Cassagne
Education : Valentino Borgia
Santé : Abigail Tomas
Culture et sports : Paul Rogin

RDF
Affaires étrangères : Arthur Le Guen
Justice/institutions : Arthur De Milon

AN
Intérieur/défense : Priam Pastor
Environnement : Christelle Alliotte

Le perchoir de l'AN à Marie Delaunay.

[Christelle Alliotte]

Très bien ça me va.

[Marie Delaunay]

Maintenant je vais négocier le programme politique du gouvernement.

Vous pouvez me faire confiance, nous allons en discuter point par point.

Il n’y aura aucun reniement idéologique de ma part. Je resterai ferme sur les grands principes de l’Alliance Nationale. Il n’est pas question de trahir la confiance de nos électeurs.

[Christelle Alliotte]

Je suis bien d'accord avec toi mais l'ADL n’acceptera pas tous notre programme mais j'ai confiance en toi et on ne traira pas nos électeurs!

[Priam Pastor]

Marie, où en sont les négociations ?

[Marie Delaunay]

J'ai reçu la convocation, elles commencent ce soir.

[Marie Delaunay]

Les discussions sont en cours avec le RDF et l’ADL. Enfin surtout l’ADL étant donné que M. Marshall se fait désirer dans les discussions. J’ai donc eu le plaisir de me prendre le chou avec Borgia sur les propositions du parti qui seront inscrites dans le programme commun. Et bien évidemment, il n’a aucunement l’envie de mener une politique comme nous le souhaitons. Je lui ai fait comprendre que c’était logique et qu’il l’avait accepté implicitement en nous invitant à la table des négociations. Face à cette attitude, j’ai pris la décision d’être ferme sur les positions du parti et de donner une liste des principales mesures qui devront figurer sur le programme commun sauf si ils souhaitent réellement faire tomber le projet. Je ne craquerai pas personnellement : les idées avant tout.

Donc la situation est très claire : soit il accepte sans broncher le projet que je viens de lui renvoyer ce matin après études, soit il ira faire son gouvernement avec quelqu’un d’autre mais en l’occurrence, je ne vois pas avec qui. Borgia semble se rendre compte qu’il est libertartien mais nous pas du tout. Il ne veut rien faire qui aille contre ses idées, mais par contre nous, nous serions contraint d’avaler des couleuvres toutes plus grosses les unes que les autres. Ceci est inacceptable.

[Christelle Alliotte]

De toutes façon il a pas le choix, il a besoin de nous. Aller courage!