Interview exclusive de Monsieur Carapin, UPF

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Xavier Krypzt-Herblain
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Interview exclusive de Monsieur Carapin, UPF

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ENTRETIEN EXCLUSIF AVEC MONSIEUR CARAPIN, LEADER DE L'UPF


"Je ne partage ni leur fainéantise, ni leur manque de convictions, ni leur opportunisme."


1 -Comment allez-vous ?

A titre personnel, très bien je vous remercie. Maintenant, en tant que responsable politique, je suis inquiet. Inquiet après des mois de gouvernance du parti unique FDF puis PSD. Inquiet après l'interdiction de certains débats au nom de principes. Inquiet face à la fainéantise politique de la gauche qui a fait plonger notre pays dans la terreur. Le réveil pour la Frôce devra avoir lieu lors des prochaines législatives, et l'UPF y prendra sa part!

2 - Que voudriez-vous voir changer pour les prochaines législatives par rapport à la précédente ?

Une chose primordiale, dure et très simple à la fois: voir le gouvernement travailler, voir l'Assemblée travailler. Excepté un ou deux ministres, ce gouvernement n'a rien fait. A l'Assemblée Nationale, j'ai été le seul représentant parlementaire présent aux débats. La plupart de mes collègues se contentent de venir le jour du vote, d'appuyer sur le bouton de vote en respectant la consigne du parti, et de toucher leur chèque en fin de mois. Personnellement, j'ai assumé mon mandat, j'ai toujours été présent et défendu mon opinion, conformément à la parole donnée aux citoyens.

3 - Avec quel état d'esprit abordez-vous cette campagne ?

Avec un esprit conquérant. Tout ce que nous disions a eu lieu. Nous avons annoncé que la fin de l'unité nationale pointe son nez: résultat, une tentative de Coup d'Etat et en réaction, un terrorisme extrémiste. Nous annoncions une gauche qui gâche l'argent du contribuable, et nous avons eu la création de cette coquille vide de CNS qui ne sert à rien mais coûte beaucoup. Nous annoncions une union qui ne tiendrait pas, simplement faite pour empêcher la droite de revenir aux affaires, nous avons eu une crise institutionnelle.
Je vais arrêter là la liste. Elle est la raison de mon esprit de combat et ma volonté d'amener l'UPF le plus haut possible pour ramener la droite aux affaires.

4 - Si vous aviez le pouvoir et l'appui du peuple, quel texte juridique abrogeriez-vous ?

De très nombreux textes: l'AMA, le SHG, enfin, je ne vais pas vous faire un inventaire à la Prévert, vous trouverez tout ceci dans notre programme, renouvelé et complété. Mais une des réformes fortes sera une réforme constitutionnelle, où nous mettrons fin au parlementarisme obsolète, d'autant plus qu'il ne fonctionne pas, comme je vous en ai parlé préalablement.

5 - D'un point de vue humain et démocratique, quel membre du gouvernement appréciez-vous le plus ?

Il est sûr que ceci n'est pas facile à trouver vu l'équipe. Mais, vous savez, en gardant intact mon rôle d'opposant, je salue tout de même monsieur Finacci. Il a réussi à faire débusquer ces infâmes terroristes, couvrant l'incompétence de madame Gasparini. Et il a tenté l'union nationale face à ce problème, qui a échoué à cause du PSD.

6 - A l'inverse, avec quel membre du gouvernement le débat ressemblerait à une corvée ?

Tous les autres. Je ne partage ni leur fainéantise, ni leur manque de convictions, ni leur opportunisme.

7 - Nous avons entendu beaucoup de choses sur l'UPF et il est parfois dur de s'y retrouver. Pouvez vous nous décrire selon vous les idées de l'UPF ?

Effectivement, on entend tout et son contraire sur l'UPF. Preuve en est que l'on ne cesse de nous faire de mauvais procès. Tout simplement car l'UPF gène. Elle gène les bien-pensants, ceux qui font de l'assistanat l'alpha et l'oméga de leur politique. Elle gène ceux qui bradent notre identité. Elle gène ceux qui mentent à la Nation.

Nos idées sont claires: Nous sommes économiquement pour l'économie de marché, mais encadré par l'Etat qui défend les intérêts de la Nation. Nous sommes socialement contre l'assistanat mais pour une société du travail. D'un point de vue société, nous sommes conservateurs. Notre identité n'a pas à changer pour être à la mode. Nous sommes pour une police qui amène la sécurité et pour une justice forte qui punit de l'incivilité aux crimes.

Et tout ceci est fait pour les Frôceux, en leur donnant la priorité pour tout: l'emploi, le logement, la santé. La Frôce est le pays des Frôceux, ils doivent être les premiers servis. S'ils ne le sont pas en Frôce où le seraient-ils?

8 - Quel conseil donneriez-vous au journal "Le Temps" ?

Celui justement de vérifier ses sources, de donner des informations claires et non pas colporter des ragots.
Rédacteur en chef et Directeur du journal "Le Temps" et de la radio "SRF Info"
Présentateur de l'émission "On dé-Krypzt l'actu" sur Canal 4
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