Chers amis, chers camarades,
Qu’il est bon de se retrouver ! Qu’il est bon de se retrouver après tout ce temps ! [Applaudissement] J’ai bonne mine, vous ne trouvez pas ? [Rire]
Cher amis, chers camarades, si je suis ici devant vous à la tribune, c’est par devoir moral. Vous savez, quand j’ai pris ma retraite anticipé de la vie politique c’était par confiance. Je croyais que le phénomène politique tracerait le sillon de notre bonheur collectif et de la stabilité de l’Etat, et vous savez tout comme moi qu’il n’en est rien. La raison selon moi est politique et c’est ceci qui m’a poussé et emmené jusqu’à vous.
Nous sommes à un carrefour de notre histoire : les médias nous le rappellent assez souvent ; « C’est la crise ! C’est la crise » qu’on nous répète comme si c’était une fatalité, l’apocalypse. A tout cela j’ai envie de dire : une crise c’est d’abord le moment où tout peut s’effondrer, comme tout peut se relever. Alors à ça on me répond « oui, mais, alors, pourquoi les mauvais chiffres économiques ? ». Ecoutez bien camarades, car la voilà la vérité : la politique n’a pas su offrir au peuple Frôceux tout entier les conditions économiques et sociales nécessaire à ce qu’il relève sa tête ; ce que la politique a fait, c’est de la soumission volontaire en laissant mourir à petit feu la flamme de l’espoir dans nos cœurs ! [Applaudissement]
Le grand mal de notre siècle, ce n’est pas la crise économique, non, c’est la fin du rapport de force ! Depuis plus de vingt ans la politique a décidé de libéraliser, c’est-à-dire, de laisser faire, de se soumettre aux volontés du pouvoir économique, car oui, l’économie est un pouvoir, un pouvoir maintenant lâché du zeste par le pouvoir politique ! L’autre jour, j’étais au supermarché, je faisais tranquillement mes courses. J’étais à la caisse derrière une petite grand-mère, et je la voyais demander à la caissière de passer une à une ses boites de conserve afin qu’elle puisse vérifier qu’elle ne dépasse pas son budget. Je suis allé la voir et lui ai demandé ce qu’elle pensait de tout ça. Et vous savez ce qu’elle m’a répondu ? « J’ai une petite retraite qui ne bouge pas, et je vois les prix qui augmentent, comment puis-je faire autrement ? ». C’est vrai, hein, comment faire autrement maintenant ? Nous sommes dans l’ère de la mondialisation, tout est affaire de finance, plus aucune décision ne nous appartient… Et bien par la lutte mes camarades ! Oui par la lutte que la politique doit mener pour retrouver le rapport de force équilibré et juste qu’elle entretenait avec le pouvoir économique avant ! [Applaudissement]
Le rapport de force est le processus par lequel l’économie redeviendra un domaine du politique. Ah mais j’entends déjà les mauvaises langues me dire qu’il faut laisser faire le marché, qu’il ne faut pas que la politique s’en mêle. Allez-y, dites toujours ! Comme disait Jaurès : « n’ayant pas la force d’agir, ils dissertent », mais nous, tous ensembles, le peuple tout entier, nous agirons, comme nous l’avons fait pour faire reculer ce futur ancien gouvernement qui osait vouloir faire baisser le Salaire Minimum de Croissance ! [Applaudissement]
Encore faut-il, camarades, bien agir, et l’exemple de la lutte que nous avons mené est un bon paradigme pour bien comprendre dans quel monde on vit et lequel nous devons préparer. Dans cette bataille il y avait ceux qui voulait l’austérité qu‘ils appellent l‘équilibre budgétaire ou autrement dit, la paupérisation volontaire, la soumission aux intérêts pseudo-patriote de quelques rentiers, le libéralisme, et nous qui pensions que c’est par la préservation du pouvoir d’achat de la classe salariale, ou même mieux, son augmentation jusqu‘à 8plz-heure, que nous parviendrons à relancer la machine économique. Aujourd’hui le choix est simple : c’est l’austérité ou la république. [Applaudissement]
Oui, la REPUBLIQUE, la RES PUBLICA, la chose commune, que l’Etat, la politique doit garder comme intérêt du général, intérêt du peuple ! Car j’ai entendu ce que dit la droite… Pour moi c’est la mort de la république. Si vous cassez le tissu qui fait que la république est le bien de tous, la propriété de chacun comme ce qui défend le peuple, vous n’avez plus rien ! Ce qui fait qu’un peuple est un peuple, c’est la république, une république socialiste comme l’entendait le grand poète Victor Hugo, c’est-à-dire sociale, une république qui donne les moyens politique nécessaire au peuple Frôceux pour la défense et la préservation de son bonheur possible au-delà de la survie ; la voilà la vrai liberté. Et comment voulez vous donner à l‘Etat les moyens de rendre cette liberté réel si vous lui imposez un équilibre budgétaire qui n‘a pas lieu d‘être puisqu‘il n‘y a pas de dette, si vous empêchez à la banque de Frôce d’avoir le monopole de la création monétaire ?! Il faut assumer ses propos, et ne pas nous prendre pour des lapins de trois semaines : soit c’est le pari du doute, soit c’est la sûreté ; soit c’est la mort du système de retraire actuel par l'instauration d'un régime de retraite par capitalisation, c’est-à-dire qu’on va laissé le soin, la santé, à la propriété d’assurance privée qui vont vouloir faire du profit, ce qui non seulement est immoral mais va causer des inégalités d’accès aux soins : tout le monde n’a pas les moyens pour une bonne assurance, ou pour une assurance tout court ; soit c’est pas une retraite en dessous du SHG et une retraite pour tout ceux qui ont travaillé, qui ont apporté le fruit de leur sueur au front à notre pays la Frôce, car comment penser que l'on puisse vivre avec moins alors même que ce revenu est celui qui permet tout juste de garder la tête hors de l'eau ?! Comment même justifier cela ? Ce sont d’hommes et de femmes dont nous parlons, et qui n’ont, eux, pas compté les jours, les semaines, et les années ; comment ne pas avoir honte de soi en pensant supprimer le régime de retraite tel que nous le connaissons ?! [Applaudissement]
Vous voyez camarade, c’est ceci qu’il faut avoir en tête, c’est l’intérêt général de tous qui n’est aliénable à aucun échelon de valeur ! C’est ça la route que la politique doit prendre et ça sans l’austérité, car, comme je l’ai dis, et comme on le dira jamais assez, si vous ne donnez pas les moyens au peuple de créer par lui-même, c’est-à-dire par son travail et par sa consommation, l’énergie économique nécessaire à faire tourner les machines, les emplois et l’opulence, son autonomie social et politique, alors vous tomberez dans la spirale de la récession ! Allez répéter ça mes camarades ! Le Rassemblement Socialiste et Ecologiste est prêt à agir et garde à vous les Harpagons de la finance, car il va y avoir du ménage de fait, n’est-ce pas ?! [La foule crie « oui » et applaudie]
Il doit se terminer ce temps où la politique pensait avec un disque dur à la Reagan et à la Thatcher ! Je refuse d’avoir à baisser mon pantalon pour ensuite dire au peuple Frôceux de serrer le sien au niveau de la ceinture. Mes camarades, la volonté politique que nous devons faire porter à partir de cette outil, le Rassemblement Socialiste et Ecologiste, c’est celui du COURAGE ! [Applaudissement]. On ne combat pas la finance en lui donnant plus de liberté destructrice. Vous, le peuple, vous devez être dans l’esprit de tous les préambules des lois. Ce n’est pas liberté destructrice qu’il faut, c’est instaurer un Etat de droit à l’économie. Il faut normer dans un esprit éthique, celui de l’intérêt du peuple. C’est une manière d’agir éthique que par exemple, imposer par la force de la loi une limitation des écarts de salaires au sein d'une même entreprise dans un rapport de 1 à 20, comme il est éthique d‘instaurer une taxe sur les transactions financières, car aujourd’hui il est indécent et insultant de voir un argent qui dort parce que certains autocrates ont un rapport d’accumulation avec ces capitaux, pendant que le peuple lui doit se sacrifier ! [Applaudissement]
Et tout cela, non seulement ce sont des mesures éthique et de justice, mais ce sont aussi les moyens politiques d’une futur autonomie social et politique des citoyens dans un pays plus juste et qui se sortira la tête de l’eau grâce à la répartition des richesses ! [Long applaudissement]
Ensemble, nous reprendrons le contrôle de notre futur qu’il soit immédiat ou à long terme : nous ne voulons plus avoir peur des fins de mois, nous ne voulons plus avoir peur de la hausse des prix, du chômage, des délocalisations, alors oui, nous ferons baisser la TVA sur les produits de première nécessité ; oui, nous établirons un mécanisme d'urgence de contrôle des prix sur les produits de première nécessité en cas de situation exceptionnelle ; oui, mes camarades, et cela va dans le sens de ce que nous venons de dire, nous donnerons à la politique les moyens concret qu’il doit avoir pour que nous puissions nous battre ! [Applaudissement]
Chers amis, chers camarades, la marche de l’espoir populaire et de sa victoire est en marche ! Ensemble, avec le Rassemblement Socialiste et Ecologiste nous nous donnerons les mesures à ce que la république socialiste et écologiste soit ! Alors marchons et répétons-le ! On ne lâchera rien, on résistera, nous nous bâterons au nom de la République et de la Frôce ! Pour la Frôce nous aurons le contrôle raisonnable de l’économie pour que celui-ci redevienne un bien ! Mes camarades, ne perdez jamais cette flamme. En conscience et le transmettre par le débat comme par le vote le 7 septembre est l’engagement solide que nous ferons à notre proche bonheur collectif !
Vive le socialisme, vive l’écologie, vive la république socialiste et écologiste, vive la Frôce !
Bonsoir ! [Applaudissement, la foule chante ensuite l'international et l'hymme national]
Qu’il est bon de se retrouver ! Qu’il est bon de se retrouver après tout ce temps ! [Applaudissement] J’ai bonne mine, vous ne trouvez pas ? [Rire]
Cher amis, chers camarades, si je suis ici devant vous à la tribune, c’est par devoir moral. Vous savez, quand j’ai pris ma retraite anticipé de la vie politique c’était par confiance. Je croyais que le phénomène politique tracerait le sillon de notre bonheur collectif et de la stabilité de l’Etat, et vous savez tout comme moi qu’il n’en est rien. La raison selon moi est politique et c’est ceci qui m’a poussé et emmené jusqu’à vous.
Nous sommes à un carrefour de notre histoire : les médias nous le rappellent assez souvent ; « C’est la crise ! C’est la crise » qu’on nous répète comme si c’était une fatalité, l’apocalypse. A tout cela j’ai envie de dire : une crise c’est d’abord le moment où tout peut s’effondrer, comme tout peut se relever. Alors à ça on me répond « oui, mais, alors, pourquoi les mauvais chiffres économiques ? ». Ecoutez bien camarades, car la voilà la vérité : la politique n’a pas su offrir au peuple Frôceux tout entier les conditions économiques et sociales nécessaire à ce qu’il relève sa tête ; ce que la politique a fait, c’est de la soumission volontaire en laissant mourir à petit feu la flamme de l’espoir dans nos cœurs ! [Applaudissement]
Le grand mal de notre siècle, ce n’est pas la crise économique, non, c’est la fin du rapport de force ! Depuis plus de vingt ans la politique a décidé de libéraliser, c’est-à-dire, de laisser faire, de se soumettre aux volontés du pouvoir économique, car oui, l’économie est un pouvoir, un pouvoir maintenant lâché du zeste par le pouvoir politique ! L’autre jour, j’étais au supermarché, je faisais tranquillement mes courses. J’étais à la caisse derrière une petite grand-mère, et je la voyais demander à la caissière de passer une à une ses boites de conserve afin qu’elle puisse vérifier qu’elle ne dépasse pas son budget. Je suis allé la voir et lui ai demandé ce qu’elle pensait de tout ça. Et vous savez ce qu’elle m’a répondu ? « J’ai une petite retraite qui ne bouge pas, et je vois les prix qui augmentent, comment puis-je faire autrement ? ». C’est vrai, hein, comment faire autrement maintenant ? Nous sommes dans l’ère de la mondialisation, tout est affaire de finance, plus aucune décision ne nous appartient… Et bien par la lutte mes camarades ! Oui par la lutte que la politique doit mener pour retrouver le rapport de force équilibré et juste qu’elle entretenait avec le pouvoir économique avant ! [Applaudissement]
Le rapport de force est le processus par lequel l’économie redeviendra un domaine du politique. Ah mais j’entends déjà les mauvaises langues me dire qu’il faut laisser faire le marché, qu’il ne faut pas que la politique s’en mêle. Allez-y, dites toujours ! Comme disait Jaurès : « n’ayant pas la force d’agir, ils dissertent », mais nous, tous ensembles, le peuple tout entier, nous agirons, comme nous l’avons fait pour faire reculer ce futur ancien gouvernement qui osait vouloir faire baisser le Salaire Minimum de Croissance ! [Applaudissement]
Encore faut-il, camarades, bien agir, et l’exemple de la lutte que nous avons mené est un bon paradigme pour bien comprendre dans quel monde on vit et lequel nous devons préparer. Dans cette bataille il y avait ceux qui voulait l’austérité qu‘ils appellent l‘équilibre budgétaire ou autrement dit, la paupérisation volontaire, la soumission aux intérêts pseudo-patriote de quelques rentiers, le libéralisme, et nous qui pensions que c’est par la préservation du pouvoir d’achat de la classe salariale, ou même mieux, son augmentation jusqu‘à 8plz-heure, que nous parviendrons à relancer la machine économique. Aujourd’hui le choix est simple : c’est l’austérité ou la république. [Applaudissement]
Oui, la REPUBLIQUE, la RES PUBLICA, la chose commune, que l’Etat, la politique doit garder comme intérêt du général, intérêt du peuple ! Car j’ai entendu ce que dit la droite… Pour moi c’est la mort de la république. Si vous cassez le tissu qui fait que la république est le bien de tous, la propriété de chacun comme ce qui défend le peuple, vous n’avez plus rien ! Ce qui fait qu’un peuple est un peuple, c’est la république, une république socialiste comme l’entendait le grand poète Victor Hugo, c’est-à-dire sociale, une république qui donne les moyens politique nécessaire au peuple Frôceux pour la défense et la préservation de son bonheur possible au-delà de la survie ; la voilà la vrai liberté. Et comment voulez vous donner à l‘Etat les moyens de rendre cette liberté réel si vous lui imposez un équilibre budgétaire qui n‘a pas lieu d‘être puisqu‘il n‘y a pas de dette, si vous empêchez à la banque de Frôce d’avoir le monopole de la création monétaire ?! Il faut assumer ses propos, et ne pas nous prendre pour des lapins de trois semaines : soit c’est le pari du doute, soit c’est la sûreté ; soit c’est la mort du système de retraire actuel par l'instauration d'un régime de retraite par capitalisation, c’est-à-dire qu’on va laissé le soin, la santé, à la propriété d’assurance privée qui vont vouloir faire du profit, ce qui non seulement est immoral mais va causer des inégalités d’accès aux soins : tout le monde n’a pas les moyens pour une bonne assurance, ou pour une assurance tout court ; soit c’est pas une retraite en dessous du SHG et une retraite pour tout ceux qui ont travaillé, qui ont apporté le fruit de leur sueur au front à notre pays la Frôce, car comment penser que l'on puisse vivre avec moins alors même que ce revenu est celui qui permet tout juste de garder la tête hors de l'eau ?! Comment même justifier cela ? Ce sont d’hommes et de femmes dont nous parlons, et qui n’ont, eux, pas compté les jours, les semaines, et les années ; comment ne pas avoir honte de soi en pensant supprimer le régime de retraite tel que nous le connaissons ?! [Applaudissement]
Vous voyez camarade, c’est ceci qu’il faut avoir en tête, c’est l’intérêt général de tous qui n’est aliénable à aucun échelon de valeur ! C’est ça la route que la politique doit prendre et ça sans l’austérité, car, comme je l’ai dis, et comme on le dira jamais assez, si vous ne donnez pas les moyens au peuple de créer par lui-même, c’est-à-dire par son travail et par sa consommation, l’énergie économique nécessaire à faire tourner les machines, les emplois et l’opulence, son autonomie social et politique, alors vous tomberez dans la spirale de la récession ! Allez répéter ça mes camarades ! Le Rassemblement Socialiste et Ecologiste est prêt à agir et garde à vous les Harpagons de la finance, car il va y avoir du ménage de fait, n’est-ce pas ?! [La foule crie « oui » et applaudie]
Il doit se terminer ce temps où la politique pensait avec un disque dur à la Reagan et à la Thatcher ! Je refuse d’avoir à baisser mon pantalon pour ensuite dire au peuple Frôceux de serrer le sien au niveau de la ceinture. Mes camarades, la volonté politique que nous devons faire porter à partir de cette outil, le Rassemblement Socialiste et Ecologiste, c’est celui du COURAGE ! [Applaudissement]. On ne combat pas la finance en lui donnant plus de liberté destructrice. Vous, le peuple, vous devez être dans l’esprit de tous les préambules des lois. Ce n’est pas liberté destructrice qu’il faut, c’est instaurer un Etat de droit à l’économie. Il faut normer dans un esprit éthique, celui de l’intérêt du peuple. C’est une manière d’agir éthique que par exemple, imposer par la force de la loi une limitation des écarts de salaires au sein d'une même entreprise dans un rapport de 1 à 20, comme il est éthique d‘instaurer une taxe sur les transactions financières, car aujourd’hui il est indécent et insultant de voir un argent qui dort parce que certains autocrates ont un rapport d’accumulation avec ces capitaux, pendant que le peuple lui doit se sacrifier ! [Applaudissement]
Et tout cela, non seulement ce sont des mesures éthique et de justice, mais ce sont aussi les moyens politiques d’une futur autonomie social et politique des citoyens dans un pays plus juste et qui se sortira la tête de l’eau grâce à la répartition des richesses ! [Long applaudissement]
Ensemble, nous reprendrons le contrôle de notre futur qu’il soit immédiat ou à long terme : nous ne voulons plus avoir peur des fins de mois, nous ne voulons plus avoir peur de la hausse des prix, du chômage, des délocalisations, alors oui, nous ferons baisser la TVA sur les produits de première nécessité ; oui, nous établirons un mécanisme d'urgence de contrôle des prix sur les produits de première nécessité en cas de situation exceptionnelle ; oui, mes camarades, et cela va dans le sens de ce que nous venons de dire, nous donnerons à la politique les moyens concret qu’il doit avoir pour que nous puissions nous battre ! [Applaudissement]
Chers amis, chers camarades, la marche de l’espoir populaire et de sa victoire est en marche ! Ensemble, avec le Rassemblement Socialiste et Ecologiste nous nous donnerons les mesures à ce que la république socialiste et écologiste soit ! Alors marchons et répétons-le ! On ne lâchera rien, on résistera, nous nous bâterons au nom de la République et de la Frôce ! Pour la Frôce nous aurons le contrôle raisonnable de l’économie pour que celui-ci redevienne un bien ! Mes camarades, ne perdez jamais cette flamme. En conscience et le transmettre par le débat comme par le vote le 7 septembre est l’engagement solide que nous ferons à notre proche bonheur collectif !
Vive le socialisme, vive l’écologie, vive la république socialiste et écologiste, vive la Frôce !
Bonsoir ! [Applaudissement, la foule chante ensuite l'international et l'hymme national]