je ne comprends pas ce qua tu entends par centralisation politique.Patrick Carles a écrit : (vraiment personne ne veut me dire quel est le niveau de centralisation politique qui a cours en Frôce ? ^^)
Patrick Carles
-
- Non inscrit sur les listes électorales
- Messages : 1082
- Enregistré le : 07 juil. 2010, 18:33
- Localisation : Nobles des Prigors
- Contact :
Re: Patrick Carles
Niamh FourcadeDirectrice de la Bibliothèque Nationale, journaliste sportive et accessoirement cordialement veuve
Re: Patrick Carles
Le pouvoir est centralisé. Il 'n'existe aps de décentralisation. Les mairies ont néanmoins des pouvoirs limitées.
Su ce , soyez le bienvenue..
Su ce , soyez le bienvenue..
-
- Non inscrit sur les listes électorales
- Messages : 1082
- Enregistré le : 07 juil. 2010, 18:33
- Localisation : Nobles des Prigors
- Contact :
Re: Patrick Carles
ahhh cette centralisation là...
En effet, pas de pouvoir décentralisé. Il y a bien des maires mais leur pouvoir est très limité.
En effet, pas de pouvoir décentralisé. Il y a bien des maires mais leur pouvoir est très limité.
Niamh FourcadeDirectrice de la Bibliothèque Nationale, journaliste sportive et accessoirement cordialement veuve
- Patrick Carles
- Citoyen électeur
- Messages : 315
- Enregistré le : 29 janv. 2012, 07:06
- Type de compte : Principal
- Localisation : Izirgua
Re: Patrick Carles
Merci pour l'info. 

- Patrick Carles
- Citoyen électeur
- Messages : 315
- Enregistré le : 29 janv. 2012, 07:06
- Type de compte : Principal
- Localisation : Izirgua
Re: Patrick Carles
Et donc pour ma présentation plus complète :
Après une enfance passée au sein des classes moyennes-supérieures farelloises, je réussis à rejoindre la France à l'âge de 18 ans où j'intègre Sciences-Po à Paris. Mon diplôme en poche, je m'oriente vers l'Amérique du Nord. À Chicago d'abord, dans des études de sociologie. À Montréal ensuite où mon travail se reconcentrera sur des questions plus politiques et où j'aurais le privilège de me familiariser à la cause souverainiste locale. Ce moment provoquera un bouleversement identitaire pour moi qui sera irrévocable. J'observe de loin les évènements de 2007 et rejoint la Frôce au début de l'année 2009. Je rejoins alors le Mouvement socialiste et républicain et soutient de manière militante la candidature d'Alex Crawford. À la fin du mandat de ce dernier, me sentant de plus en plus éloigné du programme de la Gauche modérée, je rejoins le Mouvement de la Gauche alternative de Steven Callet et gravit peu à peu des échelons hiérarchiques. La conversation avec Steven me marquera définitivement dans mes préoccupations régionalistes. Les évolutions (très/trop) rapides de la Gauche radicale frôceuse finissent par me lasser et je décide de rendre ma carte de la Gauche populaire et citoyenne, notamment parce qu'elle ne prend pas en compte mon engagement majeur : le régionalisme cofonorian.
Aujourd'hui, je pense que celui-ci peut tout à fait s'intégrer à l'agenda politique. En effet, la question sicilienne ou encore la candidature d'Isabel de Trastamara à la présidence de la république viennent relancer la question de l'identité profonde de ce qui rassemble notre pays. Si nous nous apprêtons à retrouver la Grande Frôce, alors il faut bien s'assurer que nous soyons prêts à tourner une page. Avons-nous réussis à construire une identité nationale qui a supplanté les identités locales ? J'appartiens au courant d'historiographie qui analyse la Frôce comme un ensemble de trois nations qui se sont associées sans réellement arriver à se construire une identité complète. Cela dit, je suis prêt à admettre que cette lecture est tronquée ou dépassée.
Voilà pourquoi je compte axer ma contribution à la vie politique sur cette question des identités en Frôce qui est à mon sens cruciale pour l'avenir de notre pays et de nos nations.
Après une enfance passée au sein des classes moyennes-supérieures farelloises, je réussis à rejoindre la France à l'âge de 18 ans où j'intègre Sciences-Po à Paris. Mon diplôme en poche, je m'oriente vers l'Amérique du Nord. À Chicago d'abord, dans des études de sociologie. À Montréal ensuite où mon travail se reconcentrera sur des questions plus politiques et où j'aurais le privilège de me familiariser à la cause souverainiste locale. Ce moment provoquera un bouleversement identitaire pour moi qui sera irrévocable. J'observe de loin les évènements de 2007 et rejoint la Frôce au début de l'année 2009. Je rejoins alors le Mouvement socialiste et républicain et soutient de manière militante la candidature d'Alex Crawford. À la fin du mandat de ce dernier, me sentant de plus en plus éloigné du programme de la Gauche modérée, je rejoins le Mouvement de la Gauche alternative de Steven Callet et gravit peu à peu des échelons hiérarchiques. La conversation avec Steven me marquera définitivement dans mes préoccupations régionalistes. Les évolutions (très/trop) rapides de la Gauche radicale frôceuse finissent par me lasser et je décide de rendre ma carte de la Gauche populaire et citoyenne, notamment parce qu'elle ne prend pas en compte mon engagement majeur : le régionalisme cofonorian.
Aujourd'hui, je pense que celui-ci peut tout à fait s'intégrer à l'agenda politique. En effet, la question sicilienne ou encore la candidature d'Isabel de Trastamara à la présidence de la république viennent relancer la question de l'identité profonde de ce qui rassemble notre pays. Si nous nous apprêtons à retrouver la Grande Frôce, alors il faut bien s'assurer que nous soyons prêts à tourner une page. Avons-nous réussis à construire une identité nationale qui a supplanté les identités locales ? J'appartiens au courant d'historiographie qui analyse la Frôce comme un ensemble de trois nations qui se sont associées sans réellement arriver à se construire une identité complète. Cela dit, je suis prêt à admettre que cette lecture est tronquée ou dépassée.
Voilà pourquoi je compte axer ma contribution à la vie politique sur cette question des identités en Frôce qui est à mon sens cruciale pour l'avenir de notre pays et de nos nations.