Communiqué du 14 décembre 2010 - D'une menace comme ultime recours
Le Président de la République menace de dissoudre l'Assemblée Nationale d'ici trois jours si le PRF intègre Monsieur John Wilson ou si Monsieur Wilson ne démissionne pas de l'Assemblée Nationale.
Le Président de la République demande au Parti Républicain Frôceux d'agir comme a agis Monsieur De la Tour, en faisant du chantage à Monsieur Wilson ce qui l'a poussé à partir.
Le Président de la République ne s'arrête pas là puisqu'il menace aussi personnellement Monsieur Wilson, mais le PRF préfère taire les mots utilisés par Monsieur le Président de la République de peur de choquer la susceptibilité de certains.
Le Parti Républicain Frôceux tient également à faire savoir qu'il n'a jamais démarché John Wilson en échange de ses sièges. Sa décision de rejoindre le PRF lui appartient complètement, même si les membres se réjouissent d'avoir un membre de plus parmi eux. Ce qui rend d'autant plus choquant que le président de la République vienne s'ingérer dans les affaires d'un parti politique qui n'est pas le sien.
Les membres du Parti Républicain Frôceux sont conscients qu'avec 43,14 % des voix ils n'ont qu'une majorité relative, mais une majorité qui existe quoi qu'il arrive, et refusent que l’orgueil du Président qui voit son parti s’effondrer mène la République à sa perte.
Les membres du Parti Républicain Frôceux agissent en toute transparence, et refusent ce genre d'agissements. Le Parti Républicain Frôceux demande donc au Président de la République de s'expliquer publiquement de cette menace.