Conseil des Ministres #1 (17/11 - 23/11)

[Zélie Saint-Déodat]

Projet de prix au développement culturel : Blanc

Empreintes génétiques : Blanc

Et sinon, c'est qui Jules Férié? (peut-être qu'en posant 10 fois la question je finirai par avoir une réponse...)

[Charles de la Tour]

Charles se leva il prononca le résultat des derniers votes.

- Nous en avons fini avec ce premier conseil des Ministres. Je voudrais tout d'abord vous remercier pour votre participation active pendant ce conseil, ce qui permet de prendre le pouls de notre gouvernement. Je suis plutôt satisfait du travail actuellement mené. Pour les deux derniers projets, voici ce que nous avons décidé, ensemble : le projet de développement culturel est rejeté par 3 voix (1 voix pour et 2 votes blancs). Concernant les empreintes génétiques, le gouvernement a majoritairement voté blanc (3 voix contre 2 voix pour), je propose au Ministre de l'Intérieur de reprendre ce projet de loi.

Je vous rappelle également que les projets de lois de finances et de mise en place de l'Académie ont été adoptés. je demanderais à Messieurs Borja et Wilson de présenter les projets à l'assemblée nationale quand les débats débuteront. Un bilan du conseil des ministres sera fait demain, et les projets seront également envoyés à l'assemblée demain, après que j'ai paraphé les textes.

Je vous souhaite une bonne soirée et vous tient au courant pour le prochain conseil des Ministres (probablement à partir de mardi prochain). Bonne soirée

Puis Charles quitta la salle du conseil et entra dans son bureau afin de vérifier les derniers éléments qu'il manquait dans les projets adoptés par le gouvernement.

[John Wilson]

John se leva d'un bon et attrapa le premier ministre par l'épaule et lui dit :

- Vous n'avez toujours pas répondu à ma question, je suis sensé faire quoi dans mon ministère ? C'est trop facile de prendre la fuite comme ça,
je vous préviens, je ne pourrai pas continuer à travailler dans ses conditions, vous devez trouver une solution, sans quoi c'est moi
qui prendrai les choses en main et sa fera mal.

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

La voix de Louis-Damien trancha l'air :

- Si vous comptez régler vos différends, vous allez le faire dehors dans les jardins, mais certainement pas ici. Il serait temps d'arrêter vos chamailleries et de travailler conjointement. John, vous avez une feuille de route, je vous invite à la suivre et à poser vos questions si vous en avez. Pour le projet qui vient d'être rejeté, les remarques d'Isabella ont été fort judicieuses si vous souhaitez le modifier. Rapprochez -vous d'Asuka pour y apporter quelques modifications, elle pourra vous aider puisque c'est son domaine.

Profitant du fait que tout le monde était encore là, il ajouta :

- Ceci est valable pour tout le monde. La cohésion de ce Gouvernement ne fonctionne que si l'égo est laissé à l'entrée de vos lieux de travail. Vous travaillez pour la Frôce, pas pour votre CV. Et ce travail, il est le fruit d'une collaboration totale entre tous les membres du Gouvernement. Vous pouvez disposer.

[Charles de la Tour]

Charles se sentait offensé de cette approche brutale et aussi des propos du Président de la République. Comment pouvait-il affirmer cela alors que niveau cohésion, le Premier Ministre se demandait lui même si cela était possible entre eux deux

- Monsieur Wilson, vous avez une feuille de route, vous allez avoir un budget. Je suis certains qu'avec ce budget vous pouvez commencer à réaliser nos objectifs. Mais je vous conseille vivement de ne pas recommancer ce que vous venez de faire. Monsieur le Président, je pense que la cohésion existe, il faut juste que certains des Ministres s'intègre dans le gouvernement. Mais cette intégration passe également par un soutien des autres ministres et le votre. Vous m'excusez mais j'ai du travail

[John Wilson]

John répondit sur un ton de contenance tout en mettant sa main sur son ventre tellement il faisait mal :

- Il ne s'agit pas de règlement de compte, ni d'ego et encore moins de cette loi. Ils agit que vous n'avez même pas été foutu de m'accorder le budget qui me permettrai d'appliquer la feuille de route. C'est très bien de trouver des excuses qui ne tienne même pas de debout, mais moi je suis sensé faire quoi si je n'ai même pas les moyen financier de mettre en place cette feuille de route ? J'aimerai que au lieu de fuir comme vous le faite de puis le début, c'est que vous trouviez une solution à ce problème. Sans quoi ,je saurai ce qui me reste à faire.

[Charles de la Tour]

- Monsieur Wilson, j'ai également 15 milliards alors que je dois mettre en place les adhésions de notre pays dans les instances internationnales, je dois représenter la Frôce dans le monde, je dois payer les ambassadeurs. Pensez-vous que je me plains de mon budget alors qu'il est faible pour toutes les missions que j'ai à mettre en place ? La réponse est NON, il n'est surement pas suffisant mais quel budget est à l'heure actuelle suffisant pour un Ministre ? Votre collègue à l'Intérieur voulait également d'avantage, elle a pourtant admis que cela n'était pas possible. Nous ne pouvons pas donner plus d'argent aux ministères à l'heure actuelle des choses, si cela avait été possible, nous l'aurions fait. Mais nous avons malheureusement mis en place des priorités dans certains domaines. Chaque ministère devra faire avec le budget accordé. Croyez que le président et moi-même aurions aimé faire plus. La discussion est close.

[John Wilson]

- Bon très bien Mônsieur, la discutions est close, je vais poser mon cul de ministre dans mon fauteuil et me tourner les pouce jusqu'à la fin de mon mandat, ne compter pas sur moi pour faire quelque chose, je n'en ai pas les moyen financier. Sur ce je vous laisse, Mônsieur le Premier Ministre avec vos 15 Mds.

Il sorti en claquant la porte, il avait calculer avec ses collaborateurs le budget de la feuille de route qui s'élevait à plus ou moins 40 Mds , un seul projet en valait déjà 10 Mds autant dire que son ministère serai dans les dettes en 2 temps 3 mouvements et cette incompétent de premier ministre n'avait que pour seul réponse qu'il devait faire avec sa. La seule chose qu'il allait faire c'était de rentrer à son cabinet et gérer les affaires courantes. Il sorti donc de l'Hotel Belley, monta dans sa voiture sous les flash des journalistes et s'en retourna à son ministère.

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

Louis-Damien se dit qu'à moins de chier l'argent il allait être difficile d'augmenter le moindre budget. A croire que certains n'avait pas la calculatrice et les yeux très fonctionnels, puisque la constitution interdisait un déficit budgétaire... De toute façon, c'était aux ministres de revoir leurs factures pour éliminer tout le surplus notable et alléger le coût de leurs projets. Lacroix eut cependant une idée intéressante, qu'il allait soumettre au prochain Conseil des Ministres.

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

Louis-Damien se dit qu'à moins de chier l'argent il allait être difficile d'augmenter le moindre budget. A croire que certains n'avait pas la calculatrice et les yeux très fonctionnels, puisque la constitution interdisait un déficit budgétaire... De toute façon, c'était aux ministres de revoir leurs factures pour éliminer tout le surplus notable et alléger le coût de leurs projets. Lacroix eut cependant une idée intéressante, qu'il allait soumettre au prochain Conseil des Ministres.