Démission

[Christian Valmont]

Une fois les résultats des éléctions législatives connues, Christian déposa une lettre de démission sur le bureau du Président de la République.

Monsieur Le Président de la République,

Conformément à la constitution, et suite aux élections législatives qui viennent de se terminer, je vous remets officiellement ma démission en tant que Premier Ministre, ainsi que celle du Gouvernement que j’ai eu l’honneur de diriger.

Je vous prie d’agréer Monsieur le Président, l’expression de mes sentiments les plus cordiaux

Christian Valmont

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

Une lettre de réponse lui fut envoyé, écrite de la main de Louis-Damien :

Monsieur le Premier Ministre,

La Constitution m'oblige à accepter votre démission, puisque nous sommes au lendemain du scrutin législatif.
Etant donné le travail que vous avez fourni, la qualité des projets de vos Ministres et votre action dynamique, je vous informe que je prendrais un décret pour vous renommer à votre poste car je souhaite vous y maintenir.

La Frôce a besoin des talents inestimables de grandes figures, tels que vous-même, Mademoiselle Nerio, Messieurs Valbonesi, De la Tour, Capell et Richard. Je vous invite donc à poursuivre avec cette équipe, que nous pouvons, si vous le souhaitez remanier légèrement afin de la rendre encore plus efficace que ce qu'elle n'est déjà.

Acceptez, Monsieur le Premier Ministre, mes amitiés.

Louis Lacroix.

[Christian Valmont]

Monsieur Le Président de la République,

Conformément à la constitution, et suite aux élections Présidentielles qui viennent de se terminer, je vous remets officiellement ma démission en tant que Premier Ministre, ainsi que celle du Gouvernement que j’ai eu l’honneur de diriger.

Je vous prie d’agréer Monsieur le Président, l’expression de mes sentiments les plus cordiaux

Christian Valmont

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

Monsieur le Premier Ministre,

Suite à votre précédente lettre, j'accepte votre démission et la démission de facto du Gouvernement.

Cordialement.

Louis Lacroix.

[Christian Valmont]

Monsieur le Président,

Je regrette de devoir vous présenter ma démission du poste de Premier Ministre auquel vous m’aviez nommé.
J’ai eu une grande satisfaction à travailler avec vous et à mener à bien les réformes qui avaient fait l’objet du programme pour lequel vous avez été élu.
Depuis un certain temps je me sentais de plus en plus mal à l’aise avec les objectifs affichés de votre politique ce qui a, dans un premier temps entraîné ma démission du Mouvement Libéral.
A ce jour j’ai décidé de créer mon propre parti qui sera plus en phase avec mes convictions.
J’espère que nous maintiendrons entre nous la bonne entente que nous avons eu jusqu’à présent.
Il est bien évident que j’assumerai ma tâche jusqu’à ce que vous aurez nommer mon successeur.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’assurance de mes sentiments distingués.

Christian Valmont.

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

Christian reçut une réponse écrite par une secrétaire du Président :

Monsieur Valmont,

La Présidence de la République accuse bonne réception de votre lettre de démission et l'accepte dès aujourd'hui, acceptant donc, de facto la démission du Gouvernement.

Cordialement.

C'était simple, glacial et le Président Lacroix n'avait même pas pris la peine de signer la lettre. Le message était on ne peut plus fort sur l'état d'esprit actuel de Louis-Damien, qui non seulement n'avait pas vu le coup venir mais qui en prime se sentait trahi. Mais qu'importe, il allait aller de l'avant, jusqu'au terme de son mandat. Avait-on déjà vu un Président frôceux s'effondrer, même avec une lame plantée dans l'échine par son ami et accessoirement son Premier Ministre ? Non, et ce n'était pas demain la veille...

[Christian Valmont]

Madame le Président de la République,

Conformément à la constitution, et suite à la fin de mon mandat, je vous remets officiellement ma démission en tant que Président de la Cour Suprême.

Je vous prie d’agréer madame le Président, l’expression de mes sentiments les plus cordiaux

Christian Valmont

[Vincent Valbonesi]

Monsieur le Président de la République,

Une polémique agite la classe politique frôceuse. Le Premier ministre et un Ministre de la République sont mis en accusation sur la qualité supposée du travail fourni au sein du Gouvernement. Tout au long de ma carrière politique je n’ai eu de cesse que de travailler au service de la Frôce et des frôceux, il se trouve qu’aujourd’hui, la méthode de travail qui est la mienne est fortement remise en cause. Elle est remise en cause par des adversaires politiques mais par des membres du Gouvernement dont je suis à la tête. Il est impossible pour moi d’assurer ma fonction de Chef du Gouvernement sans avoir le soutien et la cohésion de l’équipe gouvernementale. Il va devenir extrêmement difficile de travailler ensemble si notre ligne de conduite n’est pas la même et ne respecte, visiblement, pas les mêmes valeurs.
Face à cette impasse, je vous présente ma démission. Je souhaite bonne chance à mon successeur.
Par respect pour votre personne, j’assumerais ma tâche ainsi que le Gouvernement jusqu’à ce qu’un successeur soit nommé à ce poste.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’assurance de mes sentiments distingués,

Vincent Valbonesi.

[Mays Madarjeen]

Monsieur le Premier ministre,

J'accuse bonne réception de votre lettre de démission.
Ma décision concernant son acceptation ou non sera prise prochainement.

Cordialement,
Mays Madarjeen

[Lorenzo Muzzarelli]

Monsieur le Président,

Suite à une solidarité a la définition plus ou moins inédite, au manque de nuance de certaines personnes au sein du gouvernement, je ne suis pas en mesure de continuer mon travail correctement avec l'équipe gouvernementale actuelle.
Ce n'est pas une décision facile à prendre, mais je l'assume.
Je vous demande de me décharger de ma fonction de ministre le plus rapidement possible.

Cordialement,

Lorenzo Muzzarelli