Ah mais ça j'ai jamais nié qu'il s'était viandé à des endroits.Marie Cossac a écrit :Allez… tu sais le problème avec toi sur ce sujet, c'est qu'on ne peut rien dire contre Frêche. Tu le dépeins comme un type presque parfait. Je ne discuterais même pas du bilan de Frêche, il a réussi à certains endroits, mais il s'est également bien viandé sur d'autres (le chômage notamment).
Je tape pas sur les méchantes élites, je tape sur les cons qui les encense. Y'a une nuance que tu n'as peut-être pas tout à fait saisie...Marie Cossac a écrit :Alors vas-y sors nous une diatribe (qui n'est pas populiste mais beauf) et tape autant que tu veux sur les méchantes élites. La réalité de Frêche dans sa pratique du politique c'est un type jouant à fond sur le clientélisme et agissant à la hussarde (je n'aime pas le président du club de rugby de Montpellier, je fais un ultimatum aux subventions et je me démerde pour avoir des potes aux rênes du club). Rompre avec le système bien-pensant pour en arriver à ça, ça n'est pas un progrès à mon sens.
J'ai limite envie de dire, que le club de rugby c'est une goutte d'eau dans l'océan de malhonnêteté des politiques bien-pensants en général. Sauf qu'à la différence de tous ces cons politiquement corrects, Frêche ne s'en cachait pas.