[Législatives juin] Débat Affaires Sociales
- Asuka Finacci
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[Législatives juin] Débat Affaires Sociales
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Toute infraction aux limites du temps de parole mèneront à une exclusion de la salle.
Aucune intervention ne doit être postée avant le mardi 14 juin à 0 h 00
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Asuka Finacci AsatoPrésident de la Cour SuprêmeAncien Président de la RépubliqueAncien Premier ministre
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Re: [Législatives juin] Débat Affaires Sociales
Je représente la Liste Socialiste.
Les affaires sociales sont l'une des priorités de la Liste Socialiste, comme beaucoup d'électeurs pourront se douter. En matière de social, nous avons d'énormes progrès à faire, que ça soit pour le respect des travailleurs mais aussi des chômeurs et des personnes très défavorisées. Le système capitaliste a entraîné la mondialisation. Et dans un monde où les intérêts de tout un peuple passent après les intérêts des entrepreneurs, il est grand temps que la Frôce s'oppose à ce système par des mesures phares. Nous souhaitons axer une majeure partie de notre programme à mettre en place des droits pour l'ensemble des travailleurs. Disons-le clairement, le fait d'exonérer les entreprises pour les pousser à créer des emplois ne fonctionne pas. Un peu partout, en Europe, on a pu constater que la législation libérale ne permettait pas de responsabiliser les entrepreneurs. Il convient dès lors d'interdire le licenciement économique, de mieux répartir le temps de travail pour que chacun puisse bénéficier d'un emploi et d'imposer une répartition de contrat à durée indéterminée. La création d'un inspection du travail permettra de garantir les droits aux travailleurs et de veiller à l'application des lois dans l'entreprise.
En redonnant de l'emploi aux gens, on favorise leur ascencion sociale. Et pour ceux qui sont sans emploi, il faut mettre en place un Revenu Minimum de Solidarité pour leur permettre de vivre. Et à ceux qui crient à l'assistanat, si ce dernier c'est combattre la misère en appliquant le principe de solidarité de répartition des richesses, alors, oui, nous souhaitons assister ces personnes et les aider. Une fois ces grands chantiers mis en place, nous irons plus loin encore, notamment sur la politique du logement, en luttant activement pour que chaque frôceuse et chaque frôceux puisse avoir un logement sans y mettre la quasi-totalité de ses ressources. Et où trouver les fonds ? Là ils sont, c'est à dire chez les plus riches. Monsieur Makhno m'a demandé si nous étions socialistes ou républicains. Je lui ai répondu que nous n'avions pas à choisir. Nous défendons le socialisme et le principe républicain, ce principe même qui doit nous réunir autour de la solidarité et de l'entraide. C'est ainsi que s'est bâti notre pays, en considérant chacun, et il est grand temps de revenir aux sources.
Les affaires sociales sont l'une des priorités de la Liste Socialiste, comme beaucoup d'électeurs pourront se douter. En matière de social, nous avons d'énormes progrès à faire, que ça soit pour le respect des travailleurs mais aussi des chômeurs et des personnes très défavorisées. Le système capitaliste a entraîné la mondialisation. Et dans un monde où les intérêts de tout un peuple passent après les intérêts des entrepreneurs, il est grand temps que la Frôce s'oppose à ce système par des mesures phares. Nous souhaitons axer une majeure partie de notre programme à mettre en place des droits pour l'ensemble des travailleurs. Disons-le clairement, le fait d'exonérer les entreprises pour les pousser à créer des emplois ne fonctionne pas. Un peu partout, en Europe, on a pu constater que la législation libérale ne permettait pas de responsabiliser les entrepreneurs. Il convient dès lors d'interdire le licenciement économique, de mieux répartir le temps de travail pour que chacun puisse bénéficier d'un emploi et d'imposer une répartition de contrat à durée indéterminée. La création d'un inspection du travail permettra de garantir les droits aux travailleurs et de veiller à l'application des lois dans l'entreprise.
En redonnant de l'emploi aux gens, on favorise leur ascencion sociale. Et pour ceux qui sont sans emploi, il faut mettre en place un Revenu Minimum de Solidarité pour leur permettre de vivre. Et à ceux qui crient à l'assistanat, si ce dernier c'est combattre la misère en appliquant le principe de solidarité de répartition des richesses, alors, oui, nous souhaitons assister ces personnes et les aider. Une fois ces grands chantiers mis en place, nous irons plus loin encore, notamment sur la politique du logement, en luttant activement pour que chaque frôceuse et chaque frôceux puisse avoir un logement sans y mettre la quasi-totalité de ses ressources. Et où trouver les fonds ? Là ils sont, c'est à dire chez les plus riches. Monsieur Makhno m'a demandé si nous étions socialistes ou républicains. Je lui ai répondu que nous n'avions pas à choisir. Nous défendons le socialisme et le principe républicain, ce principe même qui doit nous réunir autour de la solidarité et de l'entraide. C'est ainsi que s'est bâti notre pays, en considérant chacun, et il est grand temps de revenir aux sources.
- Historique des points Godwin mention Staline -
Jean-Baptiste Marshall : 3 pts
Re: [Législatives juin] Débat Affaires Sociales
Contributeur indépendant
L'intervention de M. Fevernov peut être résumées par son constat de base ; je cite : "Le système capitaliste a entraîné la mondialisation". La réponse la plus adéquate est de mettre en avant que cette analyse est centrée sur le seul facteur économique et donc incomplète.
Le soucis, c'est que la vision sociale de M. Fevernov découle totalement de cet angle de vue. S'il convient de faire en sorte que l'économie soit subordonnée aux questions sociales (et environnementales) la réciproque n'a rien d'évident. Ma principale critique vient donc du fait que, par la force des choses, l'UGR n'ira pas aussi loin dans son analyse critique de la Société capitaliste puisqu'elle en reprend (bien malgré elle, je l'espère) le même angle de vue.
Je regrette sincèrement que les Droits sociaux élémentaires comme le droit au repos ne se retrouvent pas défendus en tant que tels mais derrière le prétexte d'un partage du temps de travail.
Cela dit, l'analyse du libéralisme européen et le refus d'accepter de donner une connotation péjorative à l'assistanat m'apparaissent louables.
L'intervention de M. Fevernov peut être résumées par son constat de base ; je cite : "Le système capitaliste a entraîné la mondialisation". La réponse la plus adéquate est de mettre en avant que cette analyse est centrée sur le seul facteur économique et donc incomplète.
Le soucis, c'est que la vision sociale de M. Fevernov découle totalement de cet angle de vue. S'il convient de faire en sorte que l'économie soit subordonnée aux questions sociales (et environnementales) la réciproque n'a rien d'évident. Ma principale critique vient donc du fait que, par la force des choses, l'UGR n'ira pas aussi loin dans son analyse critique de la Société capitaliste puisqu'elle en reprend (bien malgré elle, je l'espère) le même angle de vue.
Je regrette sincèrement que les Droits sociaux élémentaires comme le droit au repos ne se retrouvent pas défendus en tant que tels mais derrière le prétexte d'un partage du temps de travail.
Cela dit, l'analyse du libéralisme européen et le refus d'accepter de donner une connotation péjorative à l'assistanat m'apparaissent louables.
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Re: [Législatives juin] Débat Affaires Sociales
Ce que vous dites sur les droits élémentaires comme le droit au repos est tout à fait vrai. Vous m'expliquez que ma vision s'arrête aux faits économiques ce qui est également en grande partie vrai. Pour moi la situation économique actuelle génère une misère sociale et c'est pour cette raison que j'insiste sur le fait que nous devons absolument changer cela et répondre aux attentes de nos concitoyens.
L'autre aspect social que je n'ai pas soulevé et que vous avez judicieusement ramené au premier plan, c'est aussi le facteur humain. Actuellement, cet aspect est masqué par le reste : tout ce qui tourne autour du pouvoir d'achat, du chômage et de la réussite sociale. J'ai bien conscience que ma présentation n'est pas allée plus loin que l'économie, tout simplement parce qu'elle joue un rôle prépondérant aujourd'hui et qu'elle impacte directement les citoyens. C'est aussi d'elle que va découler la prise en compte du facteur humain. L'idée de l'UGR est de créer une économie sociale et juste. Pourquoi ? Parce que nous pensons que c'est en s'attaquant au cheval de course du libéralisme et du capitalisme en lui-même que nous pourrons faire sortir le facteur humain comme une évidence. C'est peut-être là que nos points de vue divergent, Monsieur Callet. Vous avez une vision plutôt radicale alors que la nôtre se qualifierait plutôt de transitoire. Je ne doute pas cependant que nos buts soient les mêmes, la véritable différence est certainement sur la méthode et sur les délais que nous voulons y accorder.
Je ne sais pas si le fait de dire aujourd'hui : "tout le monde à droit au repos" va être bien interprêté. Le monde actuel est un monde où le facteur humain a été oublié, et c'est très regrettable. Je pense que nous ne pouvons demander aux mentalités de changer du jour au lendemain. Mais je comprends parfaitement votre envie d'en finir au plus vite, je crois savoir que vous avez toujours défendu avec une certaine verve (et c'est tout à votre honneur) une vision altermondialiste. Je crains que le noble combat que vous menez ne soit incompris car trop "radical". Ne pensez-vous pas qu'un travail idéologique soit nécessaire pour amener à l'altermondialisme de façon efficace ? En d'autres termes, ne vaut-il pas mieux prendre le temps de se substituer au capitalisme ?
L'autre aspect social que je n'ai pas soulevé et que vous avez judicieusement ramené au premier plan, c'est aussi le facteur humain. Actuellement, cet aspect est masqué par le reste : tout ce qui tourne autour du pouvoir d'achat, du chômage et de la réussite sociale. J'ai bien conscience que ma présentation n'est pas allée plus loin que l'économie, tout simplement parce qu'elle joue un rôle prépondérant aujourd'hui et qu'elle impacte directement les citoyens. C'est aussi d'elle que va découler la prise en compte du facteur humain. L'idée de l'UGR est de créer une économie sociale et juste. Pourquoi ? Parce que nous pensons que c'est en s'attaquant au cheval de course du libéralisme et du capitalisme en lui-même que nous pourrons faire sortir le facteur humain comme une évidence. C'est peut-être là que nos points de vue divergent, Monsieur Callet. Vous avez une vision plutôt radicale alors que la nôtre se qualifierait plutôt de transitoire. Je ne doute pas cependant que nos buts soient les mêmes, la véritable différence est certainement sur la méthode et sur les délais que nous voulons y accorder.
Je ne sais pas si le fait de dire aujourd'hui : "tout le monde à droit au repos" va être bien interprêté. Le monde actuel est un monde où le facteur humain a été oublié, et c'est très regrettable. Je pense que nous ne pouvons demander aux mentalités de changer du jour au lendemain. Mais je comprends parfaitement votre envie d'en finir au plus vite, je crois savoir que vous avez toujours défendu avec une certaine verve (et c'est tout à votre honneur) une vision altermondialiste. Je crains que le noble combat que vous menez ne soit incompris car trop "radical". Ne pensez-vous pas qu'un travail idéologique soit nécessaire pour amener à l'altermondialisme de façon efficace ? En d'autres termes, ne vaut-il pas mieux prendre le temps de se substituer au capitalisme ?
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Re: [Législatives juin] Débat Affaires Sociales
Je représente la liste du Parti Républicain Frôceux.
Malgré la fâcheuse habitude de la gauche, et des socio-démocrates en particulier de s’approprier le monopole du cœur concernant la politique sociale de l’Etat, le PRF s’engage aux côtés des hommes, des femmes, des enfants, des travailleurs, des personnes âgées de notre République. Les temps sont durs pour tous et toutes, l’Etat n’a pas vocation à devenir une vache à lait, sauf si nous souhaitons mettre notre pays en banqueroute, comme le font si bien des Gouvernements socialistes européens. Face à ce manque de confiance dans l’avenir, l’Etat ne doit tout de même pas se dérober de sa mission de protection de l’individu. Le PRF s’engage également dans cette voie là et propose des solutions adaptées à notre temps et à nos moyens. Je le rappelle une nouvelle fois, la politique du Parti Républicain Frôceux pour les frôceux à un mot d’ordre principal : l’efficacité.
Nous proposerons en premier la modernisation de notre protection sociale qui, malgré sa jeunesse, souffre de quelques incompréhensions. Nous alignerons la contribution des entreprises au financement de l’assurance chômage sur la durée des emplois. Un contrat long ne doit pas être vu comme un poids pour l’entreprise, au contraire, c’est là la véritable création d’emploi. Les emplois courts ou intérimaires ne verront pas les cotisations patronales augmentées, mais elles ne baisseront pas. L’objectif étant d’offrir un emploi à l’ensemble des frôceux et donc encourager l’embauche. Nous mettrons ensuite l’accent sur l’efficacité de notre système de distributions des prestations sociales : nous renforcerons els conditions d’accès à certaines ressources afin de ne pas se retrouver avec des situations ubuesques de fraude à l’assurance chômage colossale ou bien d’un individu gagnant autant voir plus qu’un travailleur médian. Cela permettra une économie substantielle mais aussi une meilleure justice sociale qui permettra la distribution des prestations sociales à des individus ou des familles qui en ont réellement besoin. Je sais combien cela concerne les frôceux, et surtout les frôceux qui ne connaissent pas d’augmentation de salaire et qui peuvent être découragés par le fait de voir des jeunes, souvent d’origines étrangères au bas du palier d’un immeuble ne travaillant pas mais ayant comme véhicule la dernière berline allemande. Cela est scandaleux, et il est du devoir de la République et de l’Etat de lutter contre cela.
Nous poursuivrons nos efforts dans la lutte contre le vagabonde pas l’interdiction pure et simple de la prostitution. La loi sur le proxénétisme que j’ai eu le plaisir de présenter devant les parlementaires connaît un fort succès et n’est aujourd’hui remise en cause par personne. J’ai même eu le plaisir de recevoir des centaines de lettres et de témoignages de jeunes femmes ayant pu quitter la rue grâce aux effets bénéfiques de cette loi contre les réseaux de proxénètes. Quand la Frôce connaît des succès, il n’est pas anormal d’en parler et de s’en féliciter. Nous soutiendrons ces femmes en mettant en place des centres d’accueils et des refuges afin de ne pas les laisser dans la froideur de la nuit et sous la menace d’individus dangereux pour elles et pour la société. Toute une politique de prévention sera mise en place pour dissuader le maximum de ces jeunes femmes ou hommes de se livrer à de telles pratiques.
Pour les personnes âgées, nous mettrons en place un plan d’aide pour lutter contre l’isolement de ces individus qui n’ont souvent, plus de famille. La fin de vie ne doit pas être triste ou malheureuse. C’est à l’Etat de prendre en charge ces personnes âgées en leur offrant une retraite et une existence décente. Nous n’oublions pas non plus les individus souffrant d’invalidités qui se retrouvent eux aussi, souvent seul, et sans aide de quiconque. L’Etat mettra en place un programme de formation d’aides soignants pour prendre soin à domicile de ces personnes afin de permettre un accès au soin efficace mais aussi pour permettre le fait de ne pas quitter leur domicile, ce qui peut être vécu pour certain comme un véritable déchirement, c’est à nous de nous en occuper, et j’aspire à faire contribuer l’ensemble des services de l’Etat pour faire de la dépendance un enjeu de notre mandat. Pour les handicapés, nous lancerons une enquête nationale afin d’évaluer, par le biais de cahiers de doléances par exemple, les priorités et les besoins des handicapés. Cela permettra d’avoir une estimation précise des investissements à engager. Nous lancerons un programme de création de plusieurs centres pour enfants polyhandicapés dans chacune des régions de Frôce. Le manque de structure pose souvent d’innombrables problèmes aux familles pour gérer leur enfant atteint d’un handicap. Permettre la création de ces centres tout en laissant la gestion à des personnes compétentes permettra à l’avenir de ne plus laisser des parents et des familles dans le désespoir ou dans le sentiment de ne plus pouvoir rien faire pour leur enfant. La solidarité est une force.
La drogue et les trafics en tout genre sont une plaie ouverte et bien ouverte pour notre pays. Une véritable économie souterraine se met en place depuis quelques années, et la drogue en est le meilleur des exemples. Dans nos quartiers populaires, qui n’a pas entendu ou vu une transaction illicite ? Personne, ces pratiques sont courantes. Qui peut tolérer cela encore plus longtemps ? Personne, et encore moins le Parti Républicain Frôceux pour qui la lutte contre la drogue sera une priorité au niveau de la politique sociale. Les rapports entre drogue et misère sociale sont plus que nombreux. Une politique de répression vis-à-vis des trafiquants va être mise en place en augmentant les moyens des brigades spécialises mais aussi en alourdissant les peines et amendes encourues. Nous pensons également à la prévention en augmentant nos efforts auprès des plus jeunes, dans les écoles, les collèges et les lycées. Il sera également venu le temps de crever ce tabou avec les parents en organisant des réunions pédagogiques réunissant des associations, des policiers, des médecins, d’ex-consommateurs afin de les sensibiliser aux dangers de la drogue pour leurs enfants. Dans l’optique de lutter contre les trafiques de drogue, le Ministère de la Santé lancera un plan de construction et d’agrandissement des centres de désintoxication. Mieux entourer ces jeunes sera une assurance pour nous qu’ils ne retomberont pas dans la dépendance.
Enfin, nous rendrons gratuits le dépistage en centre associatif ou en centre médial le dépistage du VIH et des autres maladies sexuellement transmissibles qui sont un fléau considérable pour notre époque. Nous augmenterons également les campagnes d’affichages visant à éloigner l’homosexualité de la séropositivité qui est une idée fausse et qu’il nous faut aujourd’hui combattre tous ensemble.
Malgré la fâcheuse habitude de la gauche, et des socio-démocrates en particulier de s’approprier le monopole du cœur concernant la politique sociale de l’Etat, le PRF s’engage aux côtés des hommes, des femmes, des enfants, des travailleurs, des personnes âgées de notre République. Les temps sont durs pour tous et toutes, l’Etat n’a pas vocation à devenir une vache à lait, sauf si nous souhaitons mettre notre pays en banqueroute, comme le font si bien des Gouvernements socialistes européens. Face à ce manque de confiance dans l’avenir, l’Etat ne doit tout de même pas se dérober de sa mission de protection de l’individu. Le PRF s’engage également dans cette voie là et propose des solutions adaptées à notre temps et à nos moyens. Je le rappelle une nouvelle fois, la politique du Parti Républicain Frôceux pour les frôceux à un mot d’ordre principal : l’efficacité.
Nous proposerons en premier la modernisation de notre protection sociale qui, malgré sa jeunesse, souffre de quelques incompréhensions. Nous alignerons la contribution des entreprises au financement de l’assurance chômage sur la durée des emplois. Un contrat long ne doit pas être vu comme un poids pour l’entreprise, au contraire, c’est là la véritable création d’emploi. Les emplois courts ou intérimaires ne verront pas les cotisations patronales augmentées, mais elles ne baisseront pas. L’objectif étant d’offrir un emploi à l’ensemble des frôceux et donc encourager l’embauche. Nous mettrons ensuite l’accent sur l’efficacité de notre système de distributions des prestations sociales : nous renforcerons els conditions d’accès à certaines ressources afin de ne pas se retrouver avec des situations ubuesques de fraude à l’assurance chômage colossale ou bien d’un individu gagnant autant voir plus qu’un travailleur médian. Cela permettra une économie substantielle mais aussi une meilleure justice sociale qui permettra la distribution des prestations sociales à des individus ou des familles qui en ont réellement besoin. Je sais combien cela concerne les frôceux, et surtout les frôceux qui ne connaissent pas d’augmentation de salaire et qui peuvent être découragés par le fait de voir des jeunes, souvent d’origines étrangères au bas du palier d’un immeuble ne travaillant pas mais ayant comme véhicule la dernière berline allemande. Cela est scandaleux, et il est du devoir de la République et de l’Etat de lutter contre cela.
Nous poursuivrons nos efforts dans la lutte contre le vagabonde pas l’interdiction pure et simple de la prostitution. La loi sur le proxénétisme que j’ai eu le plaisir de présenter devant les parlementaires connaît un fort succès et n’est aujourd’hui remise en cause par personne. J’ai même eu le plaisir de recevoir des centaines de lettres et de témoignages de jeunes femmes ayant pu quitter la rue grâce aux effets bénéfiques de cette loi contre les réseaux de proxénètes. Quand la Frôce connaît des succès, il n’est pas anormal d’en parler et de s’en féliciter. Nous soutiendrons ces femmes en mettant en place des centres d’accueils et des refuges afin de ne pas les laisser dans la froideur de la nuit et sous la menace d’individus dangereux pour elles et pour la société. Toute une politique de prévention sera mise en place pour dissuader le maximum de ces jeunes femmes ou hommes de se livrer à de telles pratiques.
Pour les personnes âgées, nous mettrons en place un plan d’aide pour lutter contre l’isolement de ces individus qui n’ont souvent, plus de famille. La fin de vie ne doit pas être triste ou malheureuse. C’est à l’Etat de prendre en charge ces personnes âgées en leur offrant une retraite et une existence décente. Nous n’oublions pas non plus les individus souffrant d’invalidités qui se retrouvent eux aussi, souvent seul, et sans aide de quiconque. L’Etat mettra en place un programme de formation d’aides soignants pour prendre soin à domicile de ces personnes afin de permettre un accès au soin efficace mais aussi pour permettre le fait de ne pas quitter leur domicile, ce qui peut être vécu pour certain comme un véritable déchirement, c’est à nous de nous en occuper, et j’aspire à faire contribuer l’ensemble des services de l’Etat pour faire de la dépendance un enjeu de notre mandat. Pour les handicapés, nous lancerons une enquête nationale afin d’évaluer, par le biais de cahiers de doléances par exemple, les priorités et les besoins des handicapés. Cela permettra d’avoir une estimation précise des investissements à engager. Nous lancerons un programme de création de plusieurs centres pour enfants polyhandicapés dans chacune des régions de Frôce. Le manque de structure pose souvent d’innombrables problèmes aux familles pour gérer leur enfant atteint d’un handicap. Permettre la création de ces centres tout en laissant la gestion à des personnes compétentes permettra à l’avenir de ne plus laisser des parents et des familles dans le désespoir ou dans le sentiment de ne plus pouvoir rien faire pour leur enfant. La solidarité est une force.
La drogue et les trafics en tout genre sont une plaie ouverte et bien ouverte pour notre pays. Une véritable économie souterraine se met en place depuis quelques années, et la drogue en est le meilleur des exemples. Dans nos quartiers populaires, qui n’a pas entendu ou vu une transaction illicite ? Personne, ces pratiques sont courantes. Qui peut tolérer cela encore plus longtemps ? Personne, et encore moins le Parti Républicain Frôceux pour qui la lutte contre la drogue sera une priorité au niveau de la politique sociale. Les rapports entre drogue et misère sociale sont plus que nombreux. Une politique de répression vis-à-vis des trafiquants va être mise en place en augmentant les moyens des brigades spécialises mais aussi en alourdissant les peines et amendes encourues. Nous pensons également à la prévention en augmentant nos efforts auprès des plus jeunes, dans les écoles, les collèges et les lycées. Il sera également venu le temps de crever ce tabou avec les parents en organisant des réunions pédagogiques réunissant des associations, des policiers, des médecins, d’ex-consommateurs afin de les sensibiliser aux dangers de la drogue pour leurs enfants. Dans l’optique de lutter contre les trafiques de drogue, le Ministère de la Santé lancera un plan de construction et d’agrandissement des centres de désintoxication. Mieux entourer ces jeunes sera une assurance pour nous qu’ils ne retomberont pas dans la dépendance.
Enfin, nous rendrons gratuits le dépistage en centre associatif ou en centre médial le dépistage du VIH et des autres maladies sexuellement transmissibles qui sont un fléau considérable pour notre époque. Nous augmenterons également les campagnes d’affichages visant à éloigner l’homosexualité de la séropositivité qui est une idée fausse et qu’il nous faut aujourd’hui combattre tous ensemble.
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Ancien Président de la République
Ancien Premier ministre
Ancien Président de l'Assemblée Nationale
Ancien Ministre de l'Economie, des Finances et du Travail
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Re: [Législatives juin] Débat Affaires Sociales
Représente La Liste Socialiste
J'ai écouté attentivement l'argumentaire de monsieur Valbonesi, et je dois vous faire part de mon étonnement sur certains points.
Tout d'abord, j'ai remarqué la petite pique concernant la gouvernance économique des Gouvernements Socialistes Européens. Je tiens toutefois à rappeler à monsieur Valbonesi qu'en Grèce, ce n'est pas l'action du Pasok qui a amené la déroute, c'est la gestion d'une droite mafieuse et arrogante dirigée par un escroc redoutable qui a envoyé les grecs en enfer.
Pour enchainer, j'ai été amusé de voir que le PRF stigmatise encore et toujours. Les Froceux manque de travail, ou veulent une augmentation de salaire mais tout cela est impossible. Et hop là ! Qui voilà? Les jeunes d'origine étrangère ! A noter qu'ils sont aux pieds des immeubles.. Et ils roulent en berline allemande ! Je suis donc étonné que l'ancien premier ministre "de tout les froceux" n'ai pas envisagé que des jeunes d'origine étrangère puissent vivre dans des maisons. Que des jeunes froceux, "de nationalité pure" puisse rouleur, eux aussi, dans des mercedes.
Je me permettrais de rappeler également que les tentatives de putch contre les traffics de drogues ont échoués largement et qu'aujourd'hui, peu importe les mesures répressives, le trafic continue d'être une plaie. Il serait temps d'envisager un autre point de vue..
J'ai écouté attentivement l'argumentaire de monsieur Valbonesi, et je dois vous faire part de mon étonnement sur certains points.
Tout d'abord, j'ai remarqué la petite pique concernant la gouvernance économique des Gouvernements Socialistes Européens. Je tiens toutefois à rappeler à monsieur Valbonesi qu'en Grèce, ce n'est pas l'action du Pasok qui a amené la déroute, c'est la gestion d'une droite mafieuse et arrogante dirigée par un escroc redoutable qui a envoyé les grecs en enfer.
Pour enchainer, j'ai été amusé de voir que le PRF stigmatise encore et toujours. Les Froceux manque de travail, ou veulent une augmentation de salaire mais tout cela est impossible. Et hop là ! Qui voilà? Les jeunes d'origine étrangère ! A noter qu'ils sont aux pieds des immeubles.. Et ils roulent en berline allemande ! Je suis donc étonné que l'ancien premier ministre "de tout les froceux" n'ai pas envisagé que des jeunes d'origine étrangère puissent vivre dans des maisons. Que des jeunes froceux, "de nationalité pure" puisse rouleur, eux aussi, dans des mercedes.
Je me permettrais de rappeler également que les tentatives de putch contre les traffics de drogues ont échoués largement et qu'aujourd'hui, peu importe les mesures répressives, le trafic continue d'être une plaie. Il serait temps d'envisager un autre point de vue..

- Vincent Valbonesi
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Re: [Législatives juin] Débat Affaires Sociales
Je représente la liste du Parti Républicain Frôceux.
Une leçon d’histoire politique grecque s’impose M. McGregor. Qui était au pouvoir entre 1996 et 2004 ? La gauche socialiste. L’économie souterraine qui représente 25% du PIB grec, vous croyez qu’elle est en place depuis 7 ans ? Non je ne le crois pas, et j’espère pour votre bon sens que vous non plus. Bien entendu, le Gouvernement actuel ne fait que payer les pots cassés de l’intense anarchie qui a régner d’une main de fer sur ce pays pendant près de 30 ans obligeant les grecs à vivre au dessus de leur moyens. Tous les Gouvernements actuellement au pouvoir en Europe ou dans des pays connaissant une crise sont de toutes manières des victimes collatérales de l’irresponsabilité de la plupart des dirigeants pendant près de 30 ans. Le Pasok est donc bel et bien un des responsables de cette crise de l’endettement en Grèce. Je pense qu’une étude des finances publiques à partir de 1996 serait plus qu’intéressante pour démontrer une nouvelle le manque de responsabilité des gauches socialistes européennes depuis la nuit des temps, cela n’est pas une nouveauté. Mais personne ne vous en voudra, les frôceux connaissent la musique : les socialistes savent dépenser l’argent public mais n’ont toujours aucune solution pour en gagner. Fâcheux non ? Je trouve aussi, comme bon nombre de mes compatriotes.
Le PRF ne stigmatise personne M. McGregor. Veuillez m’excuser si transmettre une idée par le biais est devenu une manière de stigmatiser… Je constate donc que ce terrorisme de la bien-pensance dont j’ai été la victime lors des présidentielles refait surface, et toujours du même côté, chez les socialistes. Est de ma faute si effectivement, les jeunes qui ne travaillent pas et qui roulent en berline allemande sont d’origines étrangères ? On le sait, l’immigration est une formidable richesse, mais hélas, quand celle-ci n’est pas désirée par le pays d’accueil ou plutôt par le contribuable du pays d’accueil, il n’est pas raisonnable de poursuivre dans cette voie là. Ces jeunes sont délaissés et sont pour la plupart en dehors du système scolaire et de la méritocratie qui va avec. Il n’est donc pas étonnant de constater que ces jeunes qui ne travaillent pas aux yeux de l’Etat ont visiblement les moyens de se payer ce qu’un père de famille et chef d’entreprise n’aurait peut être la possibilité de posséder. On le sait, les électeurs issus de l’immigration sont un formidable vivier de voix pour les socialistes, mais quand même des frôceux d’origine étrangère viennent vous dire qu’ils en ont marre de subir ce racisme du fait d’une minorité, il faut s’attaquer à ce problème. Je le répète, une minorité nuit à la grande majorité, et cela est fort mal M. McGregor. Que préconisez-vous ? Le laisser faire ? Fermer les yeux ? Ne rien faire par peur de perdre des voix ? Cela est fort regrettable. Il serait peut temps de mettre une aide auditive car jamais je n’ai eu l’intention ni l’acte de généraliser toute une catégorie d’individus. Il serait peut être bon de ne pas déformer mes propos même si je sais que M. Fervernov ne va pas tarder à faire surface.
Ensuite, l’ancien Premier ministre que je suis n’a qu’une volonté, faire triompher les valeurs de notre République. Le travail, l’école républicaine, une justice sociale, la liberté d’opinion, de vote etc. Qu’est ce qui dans mes actes prouvent le contraire ? Rien M. McGregor.
Ah, il y a eu des tentatives de putsch contre les trafics de drogues ? Et elles ont échouées ? Je n’étais pas au courant. Mais peut être que le socialiste que vous êtes dispose d’information que le républicain que je suis n’a pas. Donc dans la mesure où il n’y a pas matière à étayer votre argumentation M. McGregor, je maintien le fait de permettre à la justice d’alourdir les peines des trafiquants, mais aussi d’augmenter les moyens pour la prévention comme je l’explique avec précision dans ma précédente intervention. Mais attendez, vous devez être pour la légalisation du cannabis vous non ? Etant donné que la moindre difficulté apparaît pour vous comme un obstacle insurmontable, je pense que les frôceux ne témoigneront pas d’une grande confiance auprès de votre liste lors du vote de ce week-end. Le politique est là pour protéger, agir et servir. Il n’est pas là pour crier au secours ni pour subir un ou des échecs. L’action M. McGregor, l’action.
Une leçon d’histoire politique grecque s’impose M. McGregor. Qui était au pouvoir entre 1996 et 2004 ? La gauche socialiste. L’économie souterraine qui représente 25% du PIB grec, vous croyez qu’elle est en place depuis 7 ans ? Non je ne le crois pas, et j’espère pour votre bon sens que vous non plus. Bien entendu, le Gouvernement actuel ne fait que payer les pots cassés de l’intense anarchie qui a régner d’une main de fer sur ce pays pendant près de 30 ans obligeant les grecs à vivre au dessus de leur moyens. Tous les Gouvernements actuellement au pouvoir en Europe ou dans des pays connaissant une crise sont de toutes manières des victimes collatérales de l’irresponsabilité de la plupart des dirigeants pendant près de 30 ans. Le Pasok est donc bel et bien un des responsables de cette crise de l’endettement en Grèce. Je pense qu’une étude des finances publiques à partir de 1996 serait plus qu’intéressante pour démontrer une nouvelle le manque de responsabilité des gauches socialistes européennes depuis la nuit des temps, cela n’est pas une nouveauté. Mais personne ne vous en voudra, les frôceux connaissent la musique : les socialistes savent dépenser l’argent public mais n’ont toujours aucune solution pour en gagner. Fâcheux non ? Je trouve aussi, comme bon nombre de mes compatriotes.
Le PRF ne stigmatise personne M. McGregor. Veuillez m’excuser si transmettre une idée par le biais est devenu une manière de stigmatiser… Je constate donc que ce terrorisme de la bien-pensance dont j’ai été la victime lors des présidentielles refait surface, et toujours du même côté, chez les socialistes. Est de ma faute si effectivement, les jeunes qui ne travaillent pas et qui roulent en berline allemande sont d’origines étrangères ? On le sait, l’immigration est une formidable richesse, mais hélas, quand celle-ci n’est pas désirée par le pays d’accueil ou plutôt par le contribuable du pays d’accueil, il n’est pas raisonnable de poursuivre dans cette voie là. Ces jeunes sont délaissés et sont pour la plupart en dehors du système scolaire et de la méritocratie qui va avec. Il n’est donc pas étonnant de constater que ces jeunes qui ne travaillent pas aux yeux de l’Etat ont visiblement les moyens de se payer ce qu’un père de famille et chef d’entreprise n’aurait peut être la possibilité de posséder. On le sait, les électeurs issus de l’immigration sont un formidable vivier de voix pour les socialistes, mais quand même des frôceux d’origine étrangère viennent vous dire qu’ils en ont marre de subir ce racisme du fait d’une minorité, il faut s’attaquer à ce problème. Je le répète, une minorité nuit à la grande majorité, et cela est fort mal M. McGregor. Que préconisez-vous ? Le laisser faire ? Fermer les yeux ? Ne rien faire par peur de perdre des voix ? Cela est fort regrettable. Il serait peut temps de mettre une aide auditive car jamais je n’ai eu l’intention ni l’acte de généraliser toute une catégorie d’individus. Il serait peut être bon de ne pas déformer mes propos même si je sais que M. Fervernov ne va pas tarder à faire surface.
Ensuite, l’ancien Premier ministre que je suis n’a qu’une volonté, faire triompher les valeurs de notre République. Le travail, l’école républicaine, une justice sociale, la liberté d’opinion, de vote etc. Qu’est ce qui dans mes actes prouvent le contraire ? Rien M. McGregor.
Ah, il y a eu des tentatives de putsch contre les trafics de drogues ? Et elles ont échouées ? Je n’étais pas au courant. Mais peut être que le socialiste que vous êtes dispose d’information que le républicain que je suis n’a pas. Donc dans la mesure où il n’y a pas matière à étayer votre argumentation M. McGregor, je maintien le fait de permettre à la justice d’alourdir les peines des trafiquants, mais aussi d’augmenter les moyens pour la prévention comme je l’explique avec précision dans ma précédente intervention. Mais attendez, vous devez être pour la légalisation du cannabis vous non ? Etant donné que la moindre difficulté apparaît pour vous comme un obstacle insurmontable, je pense que les frôceux ne témoigneront pas d’une grande confiance auprès de votre liste lors du vote de ce week-end. Le politique est là pour protéger, agir et servir. Il n’est pas là pour crier au secours ni pour subir un ou des échecs. L’action M. McGregor, l’action.
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Ancien Président de la République
Ancien Premier ministre
Ancien Président de l'Assemblée Nationale
Ancien Ministre de l'Economie, des Finances et du Travail
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Re: [Législatives juin] Débat Affaires Sociales
Je soutiens la Liste Socialiste.
La gauche n'a pas le monopôle du coeur, en revanche le PRF détient le Grand Capital du mensonge. Vous parlez, Monsieur Valbonesi, dans votre discours, de faire contribuer les entreprises à la protection sociale et plus particulièrement au chômage, de les "aligner", pour vous citer. Actuellement, emplois précaires ou pas, les contributions sont les mêmes. Les entreprises paient un montant fixe. Vous proposez de baisse la contribution pour des emplois de long terme et de le maintien de la contribution actuelle pour les emplois précaires. Non seulement vous n'apportez rien de neuf mais en plus, vous donnez encore aux entrepreneurs des cadeaux fiscaux. Vous dites que la création d'un emploi coûte cher. En réalité, si ça coûte cher, c'est parce que votre vision des travailleurs se fait sur du court terme. Vous avez inventé le concept de la main d'oeuvre jetable tel un kleenex. Une entreprise qui forme des personnes, qui les fait travailler profte de leur savoir-faire et de leurs compétences. Ce sont ces deux éléments qui viennent l'enrichir et qui lui permettent d'être plus productive. Là, vous proposez de donner de l'argent pour les entreprises qui créent des emplois fixes et solides. Ce n'est pas selon leur bon-vouloir que ça doit être créé, car nous savons pertinemment et je vous donne en exemple les pays voisins ayant fait le choix du libéralisme économique, que ça ne crééra aucun emploi. Il faut instaurer des quotas, obliger les entreprises à avoir minimum 80% de leurs effectifs en contrat à durée indéterminée et pénaliser le manquement à cette règle. Il faut règlementer pour que les entrepreneurs deviennent de vrais acteurs de la justice sociale.
Vous allez renforcer les conditions d'accès aux prestations sociales, là encore, vous faites d'un fait divers, une banalité et une généralité. On appelle ça le populisme amateur, mais vous y êtes habitué. Non, Monsieur, les fraudes à l'assurance chômage ne sont pas une généralité, elles sont moins fréquentes que les détournements de fonds, les paradis fiscaux, les parachutes dorés. Vous voulez baissez les aides sociales au lieu de tirer les salaires vers le haut, en obligeant les entreprises au partage des bénéfices. A force de donner à ces gens, vous avez besoin d'argent pour combler et vous allez le prendre à ceux qui n'en ont pas. Le coût de la vie augmente au quotidien. Pour que tout le monde puisse vivre décemment il faut que les revenus sociaux comme issus du travail augmentent aussi. Nous proposons un salaire minimum, net à 1500 pluzins, les entreprises peuvent se le permettre et nos citoyens en ont besoin, surtout les plus modestes. Et nous proposons aussi un revenu de solidarité pour que chaque frôceuse et chaque frôceux n'ayant pas possibilité de travailler puisse vivre décemment. Et arrêtez de dire que ces gens profitent du système. Un chômeur ne l'est pas parce qu'il s'st réveillé un matin et s'est dit qu'il allait faire son beurre sur le dos de la société. Un chômeur est victime du système qui jète l'argent de l'état par les fenêtres pour des entrepreneurs qui se mettent le chèque dans la poche plutôt que de créer des emplois. C'est une vergogne que de dire qu'un chômeur profite du système alors que son statut ne lui donne pas droit à la retraite, ni au luxe, ni à l'ascension sociale. Allez donc demander aux personnes qui pointent au chômage si elle se complaisent dans leurs situations ! Sortez donc de votre bureau et allez à la rencontre de ces gens pour constater sur le terrain que vos affirmations sont biaisées et erronnés. La vraie justice sociale c'est la solidarité, et non l'élitisme. Vous en parlez du salaire qui n'augmente pas, mais vous ne proposez rien dans ce sens. Vous en profitez même pour sortir un second mensonge sur les jeunes d'origine étrangères. Non, une nouvelle fois, Monsieur Valbonesi, tous les jeunes d'origine étrangères n'ont pas de mercédès et ne restent pas au pied de leur immeuble. Il y en a qui essayent de travailler mais qui n'y arrivent pas. Et pourquoi ? Parce que quand ils mentionnent la cité d'où ils viennent, leur CV part directement à la poubelle. Vous passez votre temps à les dénigrer et à les stigmatiser, entretenant le rejet dont ils sont les victimes. Rejetés par la société, vous les laissez moisir dans leurs cités, devenus des zones de non-droit, de zones de violence et de misère sociale grandissante. Vous avez vous même créé le problème des banlieues par votre hermétisme et votre xénophobie latente. Le refus de la diversité et votre dogmatisme sont responsables des tensions. C'est d'ailleurs pour cela que nous proposons dans notre programme un véritable plan banlieue. Il s'axe autour de trois principes : le retour du droit républicain dans les quartiers dits sensibles avec une augmentation de la police de proximité, des actions en partenariat avec les associations culturelles et sportives mais aussi avec les entreprises, pour leur montrer que les jeunes de ces quartiers ne demandent qu'à s'en sortir et non à être enfoncés davantage. Et pour finir, une nouvelle définition de l'urbanisme. Nos villes doivent mélanger les diversités, créer un lien social, un lien républicain entre ses habitants. Tous sur le même sol, tous avec les même droits et les même devoirs, mais aussi les mêmes chances. C'est le concept même d'égalité et de respect. Cela vous est étranger et c'est fort dommage, car c'est en respectant les autres que vous serez à votre tour respecté et considéré. Et ça, il faut des efforts des deux côtés.
J'en viens maintenant à votre lutte contre les vagabonds que vous associez sans scrupule à la prostitution. votre loi sur le proxénétisme n'a montré aucun résultat pour l'instant, où alors vous avez établie un rapport fantoche, un peu comme votre collègue Milon sur l'affaire Habsbourg. Cette loi sur le proxénétisme n'a pas résolu le problème des réseaux de prostitution et de trafics humains. Elle a été, à l'instar de votre passage à l'Hôtel Belley insipide et inutile. Vous n'avez pas compris grand chose au problème de la prostitution. Il ne s'agit pas de les dissuader de se prostituer mais de les aider à ne plus avoir recours à la prostitution en les sortant de la misère. Pour cela, une seule solution : légaliser la prostitution afin de réouvrir les maisons closes et assurer la sécurité de ces hommes et de ses femmes. Et tout en légalisant, il faut lutter effficacement contre les réseaux illicites, pénaliser lourdement les chefs de ces réseaux, assurer aux prostitués des droits et des conditions d'hygiène optimales, les accompagner par du personnel qualifié vers une réinsertion plus noble et une professionnalisation afin de les réinsérer dans la société. Vous faites partie de ceux qui pensent que si les gens se prostituent c'est parce qu'il en ont envie. Là encore vous ne retenez qu'un fait mineur. Allez donc partager un bout de trottoir et discuter avec ces gens. Vous comprendrez que la plupart font ça pour nourrir leur famille parce qu'ils n'ont pas d'autre choix, vous constaterez que beaucoup de femmes, notamment, d'origine bulgare, roumaine, croate ou polonaise, pour ne citer que celles-ci, sont obligées de tapiner parce qu'on leur a volé leurs papiers et qu'on les menace de mort. La prostitution est loin d'être une partie de plaisir. C'est un problème social que vous fuyez parce que vous êtes incapable d'avoir le courage de le solutionner.
Enfin, pour terminer sur votre intervention, permettez-moi de rire lorsque je vous entends dire que la lutte contre la drogue sera une priorité dans votre politique sociale. Là où de nombreux médecins estiment que les drogues dures sont un problème de santé publique, vous, vous en faites un problème de personne et de communauté. Encore une fois ce dogmatisme est affligeant. De la même façon que nous prônons la légalisation de la prostitution, nous insistons sur le caractère urgent de la légalisation des drogues douces. En ayant un contrôle sur ce genre de produit, l'Etat peut directement agir sur ses consommateurs, en les informant, en leur proposant des stages de sensibilisation et surtout en évitant le système de coupe avec des drogues plus addicitives et plus puissantes. La quasi totalité des grands drogués ont tous commencer avec un joint. Il faut donc réguler le problème à sa source et apporter les solutions dès ce stade. Et il a été prouvé, notamment dans les pays nordiques en Europe que le cannabis avait des vertus thérapeutiques importantes. Ces pays l'ont d'ailleurs légalisé et on a pu y constater une baisse drastique des trafics de drogue. La plupart des gens ont compris d'eux même que les drogues étaient potentiellement dangeureuses.
J'allais oublié votre bref passage sur la lutte contre le VIH, ne vous fatiguez pas, une loi prévoyant la gratuité des préservatifs a été votée et promulguée, loi contre laquelle l'ensemble de vos députés PRF ont voté contre. On sait à quoi s'en tenir lorsque vous parlez d'agir contre le SIDA. Des promesses électorale mais aucun acte concret, on a l'habitude venant de votre parti.
La gauche n'a pas le monopôle du coeur, en revanche le PRF détient le Grand Capital du mensonge. Vous parlez, Monsieur Valbonesi, dans votre discours, de faire contribuer les entreprises à la protection sociale et plus particulièrement au chômage, de les "aligner", pour vous citer. Actuellement, emplois précaires ou pas, les contributions sont les mêmes. Les entreprises paient un montant fixe. Vous proposez de baisse la contribution pour des emplois de long terme et de le maintien de la contribution actuelle pour les emplois précaires. Non seulement vous n'apportez rien de neuf mais en plus, vous donnez encore aux entrepreneurs des cadeaux fiscaux. Vous dites que la création d'un emploi coûte cher. En réalité, si ça coûte cher, c'est parce que votre vision des travailleurs se fait sur du court terme. Vous avez inventé le concept de la main d'oeuvre jetable tel un kleenex. Une entreprise qui forme des personnes, qui les fait travailler profte de leur savoir-faire et de leurs compétences. Ce sont ces deux éléments qui viennent l'enrichir et qui lui permettent d'être plus productive. Là, vous proposez de donner de l'argent pour les entreprises qui créent des emplois fixes et solides. Ce n'est pas selon leur bon-vouloir que ça doit être créé, car nous savons pertinemment et je vous donne en exemple les pays voisins ayant fait le choix du libéralisme économique, que ça ne crééra aucun emploi. Il faut instaurer des quotas, obliger les entreprises à avoir minimum 80% de leurs effectifs en contrat à durée indéterminée et pénaliser le manquement à cette règle. Il faut règlementer pour que les entrepreneurs deviennent de vrais acteurs de la justice sociale.
Vous allez renforcer les conditions d'accès aux prestations sociales, là encore, vous faites d'un fait divers, une banalité et une généralité. On appelle ça le populisme amateur, mais vous y êtes habitué. Non, Monsieur, les fraudes à l'assurance chômage ne sont pas une généralité, elles sont moins fréquentes que les détournements de fonds, les paradis fiscaux, les parachutes dorés. Vous voulez baissez les aides sociales au lieu de tirer les salaires vers le haut, en obligeant les entreprises au partage des bénéfices. A force de donner à ces gens, vous avez besoin d'argent pour combler et vous allez le prendre à ceux qui n'en ont pas. Le coût de la vie augmente au quotidien. Pour que tout le monde puisse vivre décemment il faut que les revenus sociaux comme issus du travail augmentent aussi. Nous proposons un salaire minimum, net à 1500 pluzins, les entreprises peuvent se le permettre et nos citoyens en ont besoin, surtout les plus modestes. Et nous proposons aussi un revenu de solidarité pour que chaque frôceuse et chaque frôceux n'ayant pas possibilité de travailler puisse vivre décemment. Et arrêtez de dire que ces gens profitent du système. Un chômeur ne l'est pas parce qu'il s'st réveillé un matin et s'est dit qu'il allait faire son beurre sur le dos de la société. Un chômeur est victime du système qui jète l'argent de l'état par les fenêtres pour des entrepreneurs qui se mettent le chèque dans la poche plutôt que de créer des emplois. C'est une vergogne que de dire qu'un chômeur profite du système alors que son statut ne lui donne pas droit à la retraite, ni au luxe, ni à l'ascension sociale. Allez donc demander aux personnes qui pointent au chômage si elle se complaisent dans leurs situations ! Sortez donc de votre bureau et allez à la rencontre de ces gens pour constater sur le terrain que vos affirmations sont biaisées et erronnés. La vraie justice sociale c'est la solidarité, et non l'élitisme. Vous en parlez du salaire qui n'augmente pas, mais vous ne proposez rien dans ce sens. Vous en profitez même pour sortir un second mensonge sur les jeunes d'origine étrangères. Non, une nouvelle fois, Monsieur Valbonesi, tous les jeunes d'origine étrangères n'ont pas de mercédès et ne restent pas au pied de leur immeuble. Il y en a qui essayent de travailler mais qui n'y arrivent pas. Et pourquoi ? Parce que quand ils mentionnent la cité d'où ils viennent, leur CV part directement à la poubelle. Vous passez votre temps à les dénigrer et à les stigmatiser, entretenant le rejet dont ils sont les victimes. Rejetés par la société, vous les laissez moisir dans leurs cités, devenus des zones de non-droit, de zones de violence et de misère sociale grandissante. Vous avez vous même créé le problème des banlieues par votre hermétisme et votre xénophobie latente. Le refus de la diversité et votre dogmatisme sont responsables des tensions. C'est d'ailleurs pour cela que nous proposons dans notre programme un véritable plan banlieue. Il s'axe autour de trois principes : le retour du droit républicain dans les quartiers dits sensibles avec une augmentation de la police de proximité, des actions en partenariat avec les associations culturelles et sportives mais aussi avec les entreprises, pour leur montrer que les jeunes de ces quartiers ne demandent qu'à s'en sortir et non à être enfoncés davantage. Et pour finir, une nouvelle définition de l'urbanisme. Nos villes doivent mélanger les diversités, créer un lien social, un lien républicain entre ses habitants. Tous sur le même sol, tous avec les même droits et les même devoirs, mais aussi les mêmes chances. C'est le concept même d'égalité et de respect. Cela vous est étranger et c'est fort dommage, car c'est en respectant les autres que vous serez à votre tour respecté et considéré. Et ça, il faut des efforts des deux côtés.
J'en viens maintenant à votre lutte contre les vagabonds que vous associez sans scrupule à la prostitution. votre loi sur le proxénétisme n'a montré aucun résultat pour l'instant, où alors vous avez établie un rapport fantoche, un peu comme votre collègue Milon sur l'affaire Habsbourg. Cette loi sur le proxénétisme n'a pas résolu le problème des réseaux de prostitution et de trafics humains. Elle a été, à l'instar de votre passage à l'Hôtel Belley insipide et inutile. Vous n'avez pas compris grand chose au problème de la prostitution. Il ne s'agit pas de les dissuader de se prostituer mais de les aider à ne plus avoir recours à la prostitution en les sortant de la misère. Pour cela, une seule solution : légaliser la prostitution afin de réouvrir les maisons closes et assurer la sécurité de ces hommes et de ses femmes. Et tout en légalisant, il faut lutter effficacement contre les réseaux illicites, pénaliser lourdement les chefs de ces réseaux, assurer aux prostitués des droits et des conditions d'hygiène optimales, les accompagner par du personnel qualifié vers une réinsertion plus noble et une professionnalisation afin de les réinsérer dans la société. Vous faites partie de ceux qui pensent que si les gens se prostituent c'est parce qu'il en ont envie. Là encore vous ne retenez qu'un fait mineur. Allez donc partager un bout de trottoir et discuter avec ces gens. Vous comprendrez que la plupart font ça pour nourrir leur famille parce qu'ils n'ont pas d'autre choix, vous constaterez que beaucoup de femmes, notamment, d'origine bulgare, roumaine, croate ou polonaise, pour ne citer que celles-ci, sont obligées de tapiner parce qu'on leur a volé leurs papiers et qu'on les menace de mort. La prostitution est loin d'être une partie de plaisir. C'est un problème social que vous fuyez parce que vous êtes incapable d'avoir le courage de le solutionner.
Enfin, pour terminer sur votre intervention, permettez-moi de rire lorsque je vous entends dire que la lutte contre la drogue sera une priorité dans votre politique sociale. Là où de nombreux médecins estiment que les drogues dures sont un problème de santé publique, vous, vous en faites un problème de personne et de communauté. Encore une fois ce dogmatisme est affligeant. De la même façon que nous prônons la légalisation de la prostitution, nous insistons sur le caractère urgent de la légalisation des drogues douces. En ayant un contrôle sur ce genre de produit, l'Etat peut directement agir sur ses consommateurs, en les informant, en leur proposant des stages de sensibilisation et surtout en évitant le système de coupe avec des drogues plus addicitives et plus puissantes. La quasi totalité des grands drogués ont tous commencer avec un joint. Il faut donc réguler le problème à sa source et apporter les solutions dès ce stade. Et il a été prouvé, notamment dans les pays nordiques en Europe que le cannabis avait des vertus thérapeutiques importantes. Ces pays l'ont d'ailleurs légalisé et on a pu y constater une baisse drastique des trafics de drogue. La plupart des gens ont compris d'eux même que les drogues étaient potentiellement dangeureuses.
J'allais oublié votre bref passage sur la lutte contre le VIH, ne vous fatiguez pas, une loi prévoyant la gratuité des préservatifs a été votée et promulguée, loi contre laquelle l'ensemble de vos députés PRF ont voté contre. On sait à quoi s'en tenir lorsque vous parlez d'agir contre le SIDA. Des promesses électorale mais aucun acte concret, on a l'habitude venant de votre parti.
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Jean-Baptiste Marshall : 3 pts
- Asuka Finacci
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Re: [Législatives juin] Débat Affaires Sociales
Pas besoin de signaler la liste dans chaque message, le premier suffit 

Asuka Finacci AsatoPrésident de la Cour SuprêmeAncien Président de la RépubliqueAncien Premier ministre
- Ciaran McKenna
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Re: [Législatives juin] Débat Affaires Sociales
Bah moi je trouve ça bien, ça évite d'avoir à rechercher si on a un doute. Et puis comme ça ils peuvent changer en cours de route ^^