Rencontre avec les présidents de parti

[Maxime Dellas]

Un journaliste interroge Maxime Dellas sur la séparation entre le législatif et l'exécutif ...
Maxime lui répond :

Je ne suis pas ici en tant que Président de l'Assemblée Nationale, j'ai été convié en tant qu'expert. Même si le perchoir de l'Assemblée me donne une certaine notoriété. Maxime touche à son noeud de cravate et prend un air modeste.
Mais je vous rassure, le législatif ne fricote pas avec l'exécutif ! Hugo et Maxime se regardent et éclatent de rire.
Ce sera tout pour l'instant. Merci !

[Hugo Salinovitch]

Hugo mit sa main sur le dos de Macime pour lui indiquer le chemin. Les deux hommes entrèrent dans le bureau du premier ministre.

Monsieur le président de l'Assemblée Nationale, que voulez-vous boire?

[Maxime Dellas]

Je prendrait un coca si vous avez, Monsieur le Premier Ministre.

[Hugo Salinovitch]

Bien sûr. La boisson fut servie par le mâitre d'hôtel, Hugo prit un verre de vin. Le maître d'hôtel sortit en fermant la porte.

[Hugo Salinovitch]

Hugo Salinovitch raccompagna Maxime Dellas jusqu'à sa voiture. Aux journalistes, il déclara seulement: Une rencontre de qualité, tout simplement.

[Benjamin McGregor]

Benjamin McGregor arriva à Belley, à sa sortie de voiture il déclara à la presse ...

Je suis ici pour entendre la position du Premier Ministre quant à cette nouvelle Constitution. C'est tout.

[Hugo Salinovitch]

Hugo Salinovitch attendait le représentant parlementaire McGregor dans son bureau. Le chef de cabinet du premier ministre acceuillit le président du PSD et l'accompagna jusqu'au bureau. Hugo attendait Benjamin, lorsque ce dernier entra, le chef de cabinet ferma la porte.

[Hugo Salinovitch]

Le chef de cabinet du premier ministre raccompagne le président du PSD jusqu'à son véhicule.

[Benjamin McGregor]

Benjamin McGregor déclara quelque chose aux journalistes avant de s'engouffrer dans son véhicule.

Bonjour à tous, l'entretien qui vient de se terminer portait sur la Constitution que nous appuyons de toutes nos forces au PSD parce qu'elle instaure une représentation des différences régionales, ce que nous réclamons depuis longtemps.
Mais bien au delà de tout cela, je tiens à profiter de cette tribune nationale pour dire quelque chose aux frôceux et aux frôceuses. Je veux dire au peuple de résister, de ne jamais céder devant quelque forme d'autoritarisme que ce soit, de toujours garder à l'esprit que la liberté est la plus belle conquête que le peuple de Frôce à accompli aux cours de ces dernières années. La politique étant ce qu'elle est, je ne participerai plus a un aucun Gouvernement national jusqu'à la fin de ma vie politique. J'ai pris aussi la décision de briguer un dernier mandat de député aux prochaines élections après quoi, je me retirerai complètement et définitivement de la politique nationale. Je reste néanmoins a mon poste de Président du Parti Social Démocrate que je chéri temps, lui et toutes les forces qui l'animent, jusqu'à la fin de mon mandat, par respect pour ceux et celles qui m'ont accordé leur confiance. Je remercie les dizaines de milliers de Frôceux et de Frôceuses qui m'ont donné la chance de servir mon pays, je resterai à leurs côtés à ma façon, jamais je ne les oublierai, ils ont été formidables. Je vous remercie.

[Hugo Salinovitch]

Hugo Salinovitch se présenta devant les journalistes.

L'entretien a été cordial, sérieux. Le PSD, comme l'ensemble des partis que j'ai reçu, sauf le PPL, soutiendra lors du réferendum la proposition de modification constitutionnelle. Celle-ci, portée par mon gouvernement, entend renforcer la démocratie et la République. Elle dépasse les clivages, et accumule les soutiens.

La méthode de faire de la politique a changé en Frôce. Alors qu'il y a peu, élu au Parlement, j'avais du me battre pour un débat politique sur le changement de nos frontières, vous noterez que l'exercice du pouvoir n'a en rien affaibli ma vision du débat démocratique. C'est la première fois que dans notre pays l'ensemble des responsables politiques ont été conviés. Seul le PRF ne s'est pas présenté malgré mon invitation, je le regrette. C'est la première fois qu'une réforme primordiale est débattue, présentée, discutée dans un esprit de rassemblement. J'espère que la tradition politique frôceuse prendra en compte cette évolution.

Merci