XXIX/4 - PjL Mod. Code Pénal

[Marie Delaunay]

Bon, il faut se dire les choses maintenant. Ce Premier ministre qui n’en a que le nom, pas le talent et le mérite, commence à insupporter beaucoup trop de monde.

Petit un. Il a beau dire que c’est le programme du gouvernement RSE-PSD, il ne parle que du PSD et de son programme dans sa déclaration, à défaut de ne pas avoir vos idées, nous avons des oreilles.

Petit deux. Nous n’allons pas déposer des amendements sur des textes qui dans leur intégralité néfaste, un peu de logique.

Petit trois. Il y a tellement eu de textes de la part de votre gouvernement, probablement le gouvernement avec le moins de textes déposés, que nous n’avons pas su où donner de la tête avec des amendements ! Quel incompétent êtes-vous !

Éclats de voix sur les bancs de l’Alliance Nationale après l’intervention de Marie.

[Valentino Borgia]

Madame la Présidente,

Vous noterez dans vos carnets que Monsieur le Premier Ministre a daigné sortir, ce jour, de sa tanière, pour ... réagir à un problème de forme et pour attaquer scandaleusement l'opposition.

Quelqu'un a une palme que l'on puisse la lui remettre pour l'ensemble de son oeuvre ?

[Joseph Vossen]

Je me suis adressé à l'UPF, pas à l'opposition dans son ensemble.
A moins que vous considériez que Monsieur Carapin forme l'opposition à lui seul?

[Arthur Carapin]

Les paroles du Premier Ministre ont été couvertes pas les pupitres des rangs UPF que les députés ont fait claquer.

[Elise Lantier]

J'en appelle au calme! Le débat mérite la sérénité, Monsieur le député McGrégor retenez vos coups, les insultes n'ont pas leur place ici.

L'impatience des députés me semble d'une manière générale motivée sérieusement, les récriminations sont argumentées et en tant qu'élus de la nation ils méritent des réponses dignes de ce nom.

[Arthur Carapin]

Les députés UPF se lèvent pour applaudir les paroles de la Présidente.

[Luca Pappa]

Débat clos.