[Législatives novembre] Débat Environnement

[Arthur Carapin]

Les agriculteurs méritent mieux qu'être la cible de règlements de compte internes à la gauche. Seule l'Union des Patriotes Frôceux propose des solutions claires pour que ces derniers puissent vivre dignement de leur travail.

Quelle est la réalité? Notre pays est composé de zones difficiles à cultiver mais qui le sont. La disparition de l'agriculture dans ces zones reculées serait une catastrophe, non seulement humaine mais aussi environnementale et d'un point de vue de l'aménagement de notre territoire. Pour cette raison, l'UPF propose de sauver les agriculteurs de la concurrence néfaste de nos voisins directs, à l'instar de l'Espagne et la France, ayant une agriculture subventionnée qui menace notre agriculture nationale. Ceci passe par une hausse des droits de douane mais aussi et surtout par une politique de soutien ambitieuse, la politique agricole frôceuse.

[Alessandra Gasparini]

Monsieur Carapin, apprenez à écouter notre belle langue. Il ne s'agit en aucune manière de "règlements de compte" mais bien d'une discussion franche sur un sujet sensible.

Monsieur Carapin illustre parfaitement l’aberration que je dénonçais précédemment. Il ne veut pas le bien être des agriculteurs, il veut leur asservissement. Ils sont aujourd'hui oppressés par la spéculation, l'industrie agro-alimentaire et la grande distribution, vous voulez demain les rendre dépendant des aides financières de l'Etat. Vous voulez faire leur bien, malgré eux, car ce n'est en rien ce que réclament les syndicats d'agriculteurs.

Ils ne veulent vivre dignement de leur travail, qui est noble, millénaire, et indispensable à la vie de nos société. Vos aides financières ne vont rien changer à la donne, il vont les faire survivre un temps, et encouragerons encore les spéculateurs à jouer avec les denrée alimentaires comme l'on joue au casino.