[Législatives novembre] Débat Environnement

[Gavroche Finacci]

Début du débat : Samedi 3 novembre 21 heures
Fin du débat : Lundi 5 novembre 21 heures

Règles à respecter :

- Le but étant de se comporter d'une manière proche à un vrai débat, les balises quotes sont strictement interdites
- Il est interdit de poster deux fois à la suite
- Il est interdit de poster avant l'heure officielle du début du débat
- Bien entendu, les propos répréhensibles par la loi française sont strictement prohibés
- Les journalistes sont autorisés à participer s'ils restent neutres
- Toute personne qui n'est ni journaliste, ni candidate ne doit pas poster sur ce topic

Tout manquement aux règles sera puni de la suppression du message et d'une pénalité sur la pondération.

De plus, nous vous demandons de privilégier les interventions courtes pour garder un débat dynamique, les pavés que nous avons vus dans le passé ne sont absolument pas réalistes et n'encouragent pas à la participation. Si les débordements se font trop nombreux, nous imposerons une limite de mots dans le futur.

[Valentino Borgia]

A terme d'environnement, la position de l'Alternative Démocrate Libertarienne est simple :

- soutenir les mesures en faveur d'une indépendance énergétique la plus poussée possible pour notre pays
- renégociation, voire suppression des règles contraignantes dans le domaine des énergies fossiles
- grande vigilance en matière d'OGM

Ces trois points sont majeurs. Ils visent à nous permettre de garantir la sauvegarde de notre mode de vie et donc de nos libertés actuelles. Aller contre ces valeurs revient, pour nous, à risquer une perte non négligeable de notre capacité à décider par nous même et donc à nous sentir libres.

Pour le reste, nous misons sur la logique de progrès et nous faisons confiance aux entreprises qui ont déjà commencé à sentir les marchés en émergence dans les domaines des énergies renouvelables. Si nous sommes au pouvoir nous soutiendrons tout développement de nouveaux marchés, d'autant plus s'ils permettent à nos enfants de grandir dans un environnement plus sain.

[Arthur Carapin]

Trop souvent on a cantonné la question environnementale à son aspect énergétique.^

L'environnement c'est aussi l'aménagement du territoire, tout particulièrement de l'espace rural. Pour ceci, l'Union des Patriotes Froceux propose des mesures fortes en faveur de notre agriculture. Au-delà de la PAF, nous portons la promotion d'une agriculture raisonnée, en équilibre entre les techniques et le respect de la nature, avec des limitations des apports chimiques, et une attention toute particulière pour la qualité des sols et la gestion de l’eau.

[Marc de St Imberb]

L'UPF a raison de se soucier de l'agriculture et du respect des sols, bien que ce programme écologique ne va pas assez loin à mon goût. En revanche, j'aimerai avoir un point de vue un peu plus détaillé de l'ADL sur la libre-gestion des énergies fossiles, si Mr Borgia n'y voit pas d'inconvénients.

[Alessandra Gasparini]

La suppression de la réglementation sur les énergies fossiles serait une grave erreur, dont ceux qui avancent de telles idées, ne mesurent pas les conséquences. Ce qui pourrait en découler serait extrêmement grave, non seulement du point de vue de l'indépendance énergétique, mais également de la sécurité et de la santé publique. Ce sont des propos irresponsables.

Ces aspects stratégiques pour la Nation, pour notre pays, doivent être gérés par la collectivité, pour le bien commun, et non des intérêts privés égoïstes.

[Luca Pappa]

Après la rénovation des structures du rail et le début de rénovation du réseau ferroviaire, je pense, comme tous les acteurs politiques désireux d'un changement significatif dans nos modes de transport, qu'il est important de penser le transport des marchandises différemment. Le PSD veut maintenant que les entreprises mettent du leur pour respecter l'environnement et limiter au mieux l'utilisation du pétrole. C'est pourquoi le PSD se dit prêt à travailler côte à côte avec la SNTF pour trouver des itinéraires spéciaux, proches de sorte de voies rapides commerciales, qui permettraient aux marchandises de voyager la plupart de leur trajet par train et non plus par camion. Le PSD affirme qu'il travailler en proche collaboration avec les entreprises et les zonings industriels et le SNTF pour relier un maximum de zones commerciales au réseau de voies ferrées. Bien sur, il est du devoir de l'Etat de trouver des solutions pour inciter ces mêmes entreprises à préférer une telle révolution dans le monde du transport, c'est pourquoi le PSD planchera sur des possibles aménagements fiscaux afin de motiver les entreprises à participer à l'effort commun.

[David Caldo]

Bonjour
je crois que pour le développement économique de chacune des villes représentées, je propose la création et la fabrication de gares pour chaque ville, avec pour coup de pub une gare verte pour le développement durable, ainsi il y aurait une coopération entre les villes, des liaisons interville encore très isolées aujourd'hui, il faut construire une froce de demain une froce vert et durable.
il faudrait réunir autour d'une table ronde tous les élus locaux, associations syndicats, représentants de l'état, etc... pour construire un véritable projet d'avenir. Préparer le ticket vert. prix vert taxer les villes qui ne veulent pas investir dans une gare "verte", à hauteur de 15% pour en fonction du nombre d'habitants, il faut rassembler tous nos maires.

[Alessandra Gasparini]

Le sujet de l'agriculture à été soulevé précédemment et je suis ravie de voir que la classe politique de notre pays semble enfin se soucier de ceux qui travaillent pour nous tous.

Etre agriculteur au 21ème siècle est toujours difficile, peut être même encore plus dur qu'il y a quelques décennies. Face aux difficultés, de nombreux jeunes agriculteurs jettent l'éponge devant la tâche. Il est de notre devoir de les aider, de les accompagner dans la recherche de solutions durables, et pas juste des aides ponctuelles qui ne leur permettent tout juste de sortir la tête de l'eau.

Pour cela, il faut sécuriser leurs parcours professionnels, ne plus laisser leurs revenus être totalement dépendant de la spéculation sur les matières première qui est un fléau. Non seulement cette pratique parasitaire ne fait que peu de cas de nos agriculteurs, mais de plus elle met dangereusement en cause la sécurité alimentaire de la Frôce.

Une grande loi de garantie des prix doit être votée. Cette loi est déjà prête dans les tiroir du RSE, élaborée en concertation avec des représentants des agriculteurs. Nous devons cassez la main-mise de la grande distribution et de l'industrie agro-alimentaire sur notre agriculture. Ainsi, non seulement nous donnerons les moyens aux agriculteurs de vivre dignement, mais de plus nous ouvrirons la voie à d'autres pratiques agricoles, plus respectueuse de notre environnement, tout en ne perdant pas de vue la sécurité alimentaire.

[Luca Pappa]

Je plussoie évidemment les propos d'Alessandra Gasparini, néanmoins, je suis déçu qu'elle est implicitement dit que c'était enfin le moment où la classe politique s'intéressait aux agriculteurs. Bon alors c'est vrai que le PSD et moi même, avons trop tardé à travailler sur l'agriculture mais si je reconnais n'avoir par créer les actes pour les accoler aux mesures envisagées, ces propositions existaient belles et bien.

[Alessandra Gasparini]

Monsieur Pappa, ne vous sentez pas visé par des propos qui nous concernent tous. A mon sens les gouvernements successifs n'ont pas prit la mesure de l'ampleur de la tâche en ce qui concerne l'agriculture.

Il faudra faire preuve de pragmatisme, comme je le proposais précédemment, en faisant en sorte de préserver à la fois notre capacité de production, mais également de donner aux producteurs les moyens de vivre dignement de leurs productions. Ils ne demandent d'ailleurs pas la charité mais les moyens, le cadre adéquat pour faire leur métier dans de bonnes conditions. Il faudra également regarder dans le détail les produits chimiques que nous utilisons au quotidien, et leur impact réel, aussi bien en positif, qu'en négatif. Cela fait trop de temps que sous l'impulsion d'une industrie chimique nous intensifions sans arrêt notre façon d'exploiter les sols. Cela n'est pas sans conséquences, et il convient de les analyser au plus juste, afin de prendre les bonnes décisions.