[Législatives Septembre 2012] Meeting n°3 - Economie

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Joseph Vossen
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Re: [Législatives Septembre 2012] Meeting n°3 - Economie

Message par Joseph Vossen »

Place à notre meeting de cloture et aux débats. ;)
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Benjamin McGregor
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Re: [Législatives Septembre 2012] Meeting n°3 - Economie

Message par Benjamin McGregor »

Ernest Fontaine a écrit :
Date limite : Mercredi 5 septembre, 21 heures
Il n'y en aura pas ...
OH MERDE... :o

Bon ben on le mettra dans la scénarisation du meeting... La fois passé c'était aussi un jour avant la fin? :o
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George Montgomery
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Re: [Législatives Septembre 2012] Meeting n°3 - Economie

Message par George Montgomery »

Je poste le meeting en début d'après-midi, ajoutons le au meeting final. Au plus il y en a, et au mieux c'est. Un meeting de final ne rapporte pas de points sur les priorités, donc envisageons de l'économie dedans afin de gagner des points sur ce thème là aussi.

Voici un aperçu... Je ne l'ai pas encore fini (je n'abuse qu'un petit peu de votre patience^^), mais si on veut un maximum de point, il faut s'arracher sur celui-ci... Petite question, il aura lieu où ?
Mes chers amis,

Je vous remercie d’être venu aussi nombreux pour assister à cette réunion publique du PSD dédiée aux questions économiques. Alors que notre pays a connu une importance remontée dans les standards internationaux pendant plusieurs années grâce à une politique économique à la fois ambitieuse et raisonnable, qui aura permis à l’Etat de ne jamais dépenser plus que ce qu’il n’avait, voici que depuis quelques mois, après un passage éclair et désastreux des communistes, nous voilà à la tête d’un pays où le chômage est en hausse, où la récession a fait son apparition alors que nous l’avions fait disparaitre via des politiques efficaces, de gauche, du centre comme de droite, et oui. Voilà pourquoi le programme du PSD pour ces élections est un programme de relance de l’activité économique, un programme de reclassement à grande échelle pour un pays qui ne souffre d’aucun fardeau si ce n’est celui d’être durant quelques temps gouverné par une idéologie politique et économique qui n’a aucun sens des responsabilités et que les électeurs ne mettent pas plus d’un mandat à chasser du pouvoir. Nous devons ensemble éviter à notre pays de sombrer à nouveau dans l’utopie et d’être à nouveau à contrecourant de l’histoire : allons ensemble vers la croissance !

Le PSD va agir sur trois fronts quand il sera au pouvoir : l’emploi, l’activité économique et la fiscalité. On ne peut pas proposer une nouvelle politique économique aux frôceux si l’on est incapable de faire passer un message clair et audible à tous. On ne peut pas plus promettre le grand soir quand on est incapable de promettre un emploi non public de plus à une jeunesse trop souvent laissée à l’abandon. Le PSD ne va pas promettre des dépenses supplémentaires non financées, le PSD va promettre à chacun, retraité comme étudiant, chômeur comme cadre, un nouvel essor, de nouvelles possibilités d’emplois car la clé d’une économie compétitive, oui, osons le mot socio-démocrates que nous sommes, compétitive ! (Ovation du public) Il n’est pas question de s’aligner sur les standards comme la Chine ou l’Inde, là est le seul argument d’une partie de la classe politique, très à l’extrême il faut le dire. Non, notre rêve n’est pas de promettre à chacun un salaire de deux pluzins par heure, notre rêve n’est pas non plus de faire porter la seule charge de la sécurité sociale aux travailleurs et uniquement eux. Quand un pays va mal, et c’est le cas de notre pays malgré l’effort important du Gouvernement dont j’ai la charge, c’est l’ensemble des composantes de notre économie qui doivent être mis au charbon, et pas seulement une catégorie et pas l’autre. Il ne va malheureusement pas y avoir un sauveur, uniquement une foule de réponses auxquelles nous tenterons d’en faire surgir une plus forte que les autres car nous croyons que ce sera elle la solution. Je vais vous faire peur, je le sens, mais la clé viendra de l’effort collectif et non de l’effort individuel mes amis !

Nous allons baisser la TVA sur les produits qui seront produits en Frôce. Pourquoi une telle mesure ? Elle est simple : relancer l’activité intérieure du pays. Nous sommes en période de récession, même si j’ai bon espoir que la politique du Gouvernement Dellas et celle du Gouvernement que je dirige mèneront le pays vers un renouveau économique, mais il faudra poursuivre l’effort tous ensemble. Le pays dispose déjà d’une arme efficace qui ne nous handicape que très peu malgré tout ce que l’on entend de la part des libéraux : des taux de douanes aux frontières. Ils sont actuellement relativement haut si l’on se fie à la moyenne des pays de l’OCDE, c’est pourquoi une augmentation ne serait que peu prolifique pour notre pays. Certes les rentrées fiscales douanières seraient plus importantes, mais l’on perdrait au change avec une baisse des importations, donc des exportations car cela serait considéré comme une action déloyale anticoncurrentielle. La baisse de la TVA provoquera une baisse des prix sur les produits frôceux, ce qui rendra certains d’entre eux aussi compétitifs que les produits importés des pays émergents. Cette mesure est essentielle dans notre plan de relance de l’emploi en Frôce car croyez moi : il vaut mieux des nouveaux emplois que des rentrées fiscales plus élevées. Ça c’est aussi une nouvelle vision politique, une vision politique du XXI siècle, la vision politique que le PSD veut pour vous !
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Re: [Législatives Septembre 2012] Meeting n°3 - Economie

Message par Benjamin McGregor »

A Chouchenn non? On y est pas encore allé je pense ^^
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George Montgomery
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Re: [Législatives Septembre 2012] Meeting n°3 - Economie

Message par George Montgomery »

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Le Premier ministre était attendu en premier pour ouvrir le meeting final du Parti Social-Démocrate. C’était dans la merveilleuse ville de Chouchenn, la rebelle, que le parti majoritaire clôturerait sa campagne des législatives. Pour l’occasion, des dizaines de milliers de militants s’étaient rassemblés sur la grande place, envahissant la ville avec des drapeaux et des t-shirt aux couleurs du parti. Près du lieu du rassemblement, des baraques à frites, des stands de boissons étaient là pour nourrir grassement les participants. Le discours du Premier ministre, George Montgomery, était prévu à 15h pour ouvrir les hostilités. Ce dernier était arrivé aux alentours de midi pour déjeuner avec des militants sous les chapiteaux installés aux abords de la grande tribune où allait se dérouler le meeting. Le service de sécurité du Premier ministre était très discret pour l’occasion, il ne fallait pas donner l’image d’un politique distant et hors des réalités de la majorité de ses compatriotes. C’était donc l’occasion pour George de serrer des centaines de mains, de signer une multitude d’orthographes avant de répondre aux questions d’un journaliste qui passait par là.

Un journaliste de la presse écrite était à proximité du Premier ministre quand ce dernier termina son verre de rosé, il en profita pour s’approcher de lui, avec la bienveillance de la sécurité, pour lui poser une question avant son intervention de cet après-midi.

Monsieur le Premier ministre, une question s’il vous plait, votre présence était attendu des militants et des électeurs dans cette campagne depuis le début, pourquoi ne venir qu’aujourd’hui ?

Vous n’êtes pas sans savoir que je suis Premier ministre et que par conséquent, j’ai quelques obligations intérieures et extérieures à assumer pour votre bien être à vous et à celui de nos concitoyens. Mes amis du PSD ainsi que des ministres de mon Gouvernement étaient là pour mener cette campagne législative avec un courage et une abnégation qui force le respect. Je ne viens pas ici pour récolter les félicitations et les fleurs d’une possible victoire, je suis ici pour apporter ma contribution, celle d’un homme de justice et d’un homme d’Etat n’ayant eu qu’une seule passion au cours de sa vie professionnelle : servir l’Etat. Cette dévotion, je souhaite qu’elle puisse être utile à la Frôce pour les temps à venir.

Une télévision nationale, intrigué par l’attroupement, se précipita pour tenter de poser une question au Premier ministre. Il réussit son œuvre avec le jeu de coudes de son cameraman.

Monsieur le Premier ministre, Anthony Ruiz pour la TFC, si le PSD ne termine pas en tête des élections comme cela semble être votre objectif, serait-ce un échec personnel ? Quelles en seront les conséquences pour vous et pour le parti ?

Il n’y a pas d’échec en politique, il n’y a que des soubresauts. Nous ne pouvons pas diriger à la destinée d’un pays pour l’éternité, il faut savoir laisser la place quand le sentiment que nous avons tout fait pour lui se fait sentir, or, aujourd’hui, je n’ai en aucun cas le sentiment que le PSD n’a plus rien à apporter à ce pays, c’est même le sentiment opposé qui m’anime. Vous voyez tous ces gens réunis ici pour nous écouter faire la fête ensemble, croyez-vous qu’ils méritent que nous soyons résignés et défaitistes ? Non. Croyez-vous qu’ils méritent que nous pensions, nous, responsables politiques, une seule seconde à la défaite ou à notre sort personnel ? Non plus. Nous n’avons eu de cesse de répéter au cours de cette campagne que le PSD était là pour soutenir des valeurs, le respect en fait partie. Nous respecterons nos électeurs, nous respecterons nos engagements si nous sommes élus. Maintenant je vous remercie mais je dois me préparer pour mon intervention.
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Le service de sécurité du Premier ministre éloigna avec vigueur les journalistes qui s’étaient rassemblés autour de lui. On le fit entrer dans un préfabriqué positionné derrière la grande tribune où il allait entamer son discours. La place était pleine et une fois la fin du concert du groupe de variété prévu par la direction du parti, la musique de campagne du parti se fit entendre. Les drapeaux frôceux étaient partout. On entendait les hourras de la foule en délire même plusieurs centaines de mètres à la ronde à l’extérieur du lieu de rassemblement. George Montgomery fit son entrée sur scène, saluant le public avec sa main droite. Il resta devant le pupitre quelques secondes pour savourer l’instant et les acclamations. On pouvait voir au premier rang de nombreuses personnalités du PSD : l’ancien Président de la République, Joseph Vossen, un ancien Premier ministre, Benjamin McGregor, l’actuel Garde des Sceaux, Ernest Fontaine, les ministres Luca Pappa et Fabio Martini, ou encore Marc de St Imberb, nouveau cadre du parti. Après quelques minutes de gloire, et une fois que la télévision lui avait fait le signé qu’il pouvait entamer son discours, George prit un verre d’eau sous le crépitement des milliers de flashs et commença son intervention.

« Mes chers amis,

Quel bonheur pour moi que d’être ici devant vous. C’est formidable. Vous êtes toujours aussi nombreux à venir nous écouter, nous, modeste responsable politique, et à croire, à chaque fois un peu plus ou à chaque fois un peu moins pour les autres, à nos engagements. Je prends la parole devant vous pour aborder les principaux engagements du PSD sur la thématique de l’économie. A ceux qui demanderont pourquoi nous n’avons pas eu la volonté de dédier un seul meeting à cette question, nous leur répondons aujourd’hui que nous ne chassons pas derrière l’ensemble des frôceux et qu’il ne convient pas de faire un rassemblement sur chaque sujet pour réellement traiter des problèmes de fond que rencontre notre pays. j’exposerais ici devant vous les principales propositions du PSD car notre programme n’est pas une liste de courses comme pour les autres partis où il s’agit de faire une énumération de toutes les propositions, allant d’un exposé de trois minutes pour une proposition a un monologue de vingt minutes pour une autre mesure. La cohérence, c’est accorder une importance similaire à l’ensemble des propositions qui forment le projet commun que nous voulons pour la Frôce. Cette campagne était un rendez-vous de vérité entre la majorité sortante et les frôceux. Nous avons répondu présent à chacune de vos interrogations de vos demandes. L’activité du parti pendant cette campagne n’a peut-être pas été à la hauteur des attentes de certains d’entre vous, et je le comprends, mais je le rappelle : le PSD est un parti de Gouvernement et il était impensable pour nous de mettre de côté nos responsabilités politiques et administratives pour se lancer dans cette campagne. En ce sens, nous avons respecté notre parole en maintenant une activité gouvernementale et législative régulière du premier au dernier jour de notre mandat, une première dans l’histoire récente de notre République, nous pouvons tous être fier de cela.


Applaudissements du public.

Alors que notre pays a connu une importance remontée dans les standards internationaux pendant plusieurs années grâce à une politique économique à la fois ambitieuse et raisonnable, qui aura permis à l’Etat de ne jamais dépenser plus que ce qu’il n’avait, voici que depuis quelques mois, après un passage éclair et désastreux des communistes, nous voilà à la tête d’un pays où le chômage est en hausse, où la récession a fait son apparition alors que nous l’avions fait disparaitre via des politiques efficaces, de gauche, du centre comme de droite, et oui. Voilà pourquoi le programme du PSD pour ces élections est un programme de relance de l’activité économique, un programme de reclassement à grande échelle pour un pays qui ne souffre d’aucun fardeau si ce n’est celui d’être durant quelques temps gouverné par une idéologie politique et économique qui n’a aucun sens des responsabilités et que les électeurs ne mettent pas plus d’un mandat à chasser du pouvoir. Nous devons ensemble éviter à notre pays de sombrer à nouveau dans l’utopie et d’être à nouveau à contrecourant de l’histoire : allons ensemble vers la croissance !

Les spectateurs sont debout, on voit des milliers de drapeaux qui tournent et virent.

Le PSD va agir sur trois fronts quand il sera au pouvoir : l’emploi, l’activité économique et la fiscalité. On ne peut pas proposer une nouvelle politique économique aux frôceux si l’on est incapable de faire passer un message clair et audible à tous. On ne peut pas plus promettre le grand soir quand on est incapable de promettre un emploi non public de plus à une jeunesse trop souvent laissée à l’abandon. Le PSD ne va pas promettre des dépenses supplémentaires non financées, le PSD va promettre à chacun, retraité comme étudiant, chômeur comme cadre, un nouvel essor, de nouvelles possibilités d’emplois car la clé d’une économie compétitive, oui, osons le mot socio-démocrates que nous sommes, compétitive ! (Ovation du public) Il n’est pas question de s’aligner sur les standards comme la Chine ou l’Inde, là est le seul argument d’une partie de la classe politique, très à l’extrême il faut le dire. Non, notre rêve n’est pas de promettre à chacun un salaire de deux pluzins par heure, notre rêve n’est pas non plus de faire porter la seule charge de la sécurité sociale aux travailleurs et uniquement eux. Quand un pays va mal, et c’est le cas de notre pays malgré l’effort important du Gouvernement dont j’ai la charge, c’est l’ensemble des composantes de notre économie qui doivent être mis au charbon, et pas seulement une catégorie et pas l’autre. Il ne va malheureusement pas y avoir un sauveur, uniquement une foule de réponses auxquelles nous tenterons d’en faire surgir une plus forte que les autres car nous croyons que ce sera elle la solution. Je vais vous faire peur, je le sens, mais la clé viendra de l’effort collectif et non de l’effort individuel mes amis !

Le public scande le nom du Premier ministre tout en applaudissant sa performance et sa fougue.

Nous allons baisser la TVA sur les produits qui seront produits en Frôce. Pourquoi une telle mesure ? Elle est simple : relancer l’activité intérieure du pays. Nous sommes en période de récession, même si j’ai bon espoir que la politique du Gouvernement Dellas et celle du Gouvernement que je dirige mèneront le pays vers un renouveau économique, mais il faudra poursuivre l’effort tous ensemble. Le pays dispose déjà d’une arme efficace qui ne nous handicape que très peu malgré tout ce que l’on entend de la part des libéraux : des taux de douanes aux frontières. Ils sont actuellement relativement haut si l’on se fie à la moyenne des pays de l’OCDE, c’est pourquoi une augmentation ne serait que peu prolifique pour notre pays. Certes les rentrées fiscales douanières seraient plus importantes, mais l’on perdrait au change avec une baisse des importations, donc des exportations car cela serait considéré comme une action déloyale anticoncurrentielle. La baisse de la TVA provoquera une baisse des prix sur les produits frôceux, ce qui rendra certains d’entre eux aussi compétitifs que les produits importés des pays émergents. Cette mesure est essentielle dans notre plan de relance de l’emploi en Frôce car croyez moi : il vaut mieux des nouveaux emplois que des rentrées fiscales plus élevées. Ça c’est aussi une nouvelle vision politique, une vision politique du XXI siècle, la vision politique que le PSD veut pour vous !

Véritable ovation du public pour le Premier ministre avec un public debout qui applaudit avec insistance son discours.

Pour les entreprises, nous allons également agir. Premièrement, il sera question d’abaisser considérablement le Code du travail pour les petites et moyennes entreprises afin de leur permettre d’être productive et de ne pas passer autant de temps à remplir des formulaires administratifs qu’à organiser la production de l’entreprise. Si nous en sommes à proposer cela, c’est parce qu’avec le travail de l’ensemble des militants du parti et selon de nombreux témoignages reçus par le Gouvernement dont j’ai la charge, il en ressort qu’une écrasante majorité des chefs d’entreprises ressentent une véritable oppression de l’Etat sur leur entreprise et cela n’est plus tolérable. Il y a beaucoup trop de conditions, une législation qui change trop souvent au gré des majorités politiques, voilà l’une des raisons de notre manque de compétitivité : au lieu de réfléchir à l’améliorer de la production, un entrepreneur doit d’abord penser à remplir correctement les dizaines de formulaires par salarié que la sécurité sociale ou l’inspection du travail lui demande, c’est évidemment une perte de temps de considérable. Le PSD travaillera de concert avec les syndicats et les services publics concernés à un assouplissement considérable, et non minime comme j’ai pu l’entendre, de ces demandes du public à destination du privé. Il est nécessaire de mettre une véritable séparation entre ce que l’on est en droit d’attendre d’une petite entreprise familiale et d’une multinationale qui compte des milliers de salariés en son sein, il n’y a plus une entreprise, il y a des dizaines de forme d’entreprises qui méritent toutes une attention particulière, une attente différente de la part de l’Etat afin de ne plus les oppresser. Deuxièmement, nous allons permettre aux entreprises de notre pays de se faire connaitre un peu plus de consommateur, et pour cela, pas de secret : l’étiquetage est une nécessité. Le prochain ministre de l’Economie aura en charge la création d’un label valorisant ostensiblement les produits fabriqués en Frôce, cela aura un double avantage : augmentation des ventes pour l’entreprise et une garantie de qualité pour le consommateur qui se doutera aisément du contrôle qu’il y a derrière un produit fabriqué dans notre pays et un produit importé par cargo d’un autre continent après trois jours de navigation. En ajoutant à cela la baisse de la TVA sur les produits fabriqués en Frôce, vous le voyez, notre programme économique connait une cohérence que d’autres n’ont pas et n’auront jamais.

Applaudissements du public, visiblement très intéressé par les questions économiques et les réponses apportées par le Premier ministre.
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Ce programme économique, nous l’avons défendu devant vous pendant toute une campagne. Nous en avons exposé une partie tout au long de la mandature précédente. S’il y a eu un nombre de réformes importantes, c’est avec le soutien et la participation active du PSD dans leur réalisation. Nous avons su travailler de concert avec une autre force politique pour œuvrer dans un but commun de relance de l’économie, de gain de productivité, de justice fiscale et de baisse du chômage. Je le garanti à chacun d’entre vous : nous aurons une économie durable basée sur le respect du producteur, du transporteur, du vendeur et du consommateur. C’est tout un cycle de productivité qui est aujourd’hui nécessaire pour faire de notre pays, l’antre de la croissance européenne et méditerranéenne !

Voter et faites voter PSD les 7,8 et 9 septembre 2012 !

Je vous remercie pour votre attention.

Vive la République,
Vive la Frôce ! »


Le Premier ministre reste sur la scène. Il s’avance au-devant de la tribune. L’ensemble du public et debout et applaudit. On entend des exclamations de joie par moment. L’impression à la télévision doit être sensationnelle, ça donne envie d’y être. La foule scande des « On va gagner ! On va gagner ! ».
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Re: [Législatives Septembre 2012] Meeting n°3 - Economie

Message par Benjamin McGregor »

Merci George pour ce meeting et pour ton implication, aussi stressante soit-elle, dans cette campagne ! :)
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