Questions au Gouvernement

[Maxime Dellas]

Ici les députés peuvent poser leurs questions au gouvernement. Je demanderai simplement que le Règlement de l'AN soit respecté ! J'en rappelle donc les articles relatifs aux questions au gouvernement :

TITRE VII - QUESTIONS AU GOUVERNEMENT

Article 701
Les représentants sont invités à poser des questions au gouvernement. Aucun membre du gouvernement ne pourra s'y soustraire.

Article 702
Chaque groupe peut poser 25 questions au maximum pendant une législature. Chaque représentant non inscrit peut poser 5 questions au maximum pendant une législature.

Article 703
Le Président de la République ne peut s’exprimer devant l’Assemblée Nationale. Toutefois, il a le droit de transmettre des messages à l’Assemblée Nationale et de les faire lire en son nom par le Premier Ministre.

[Benjamin McGregor]

Benjamin McGregor se leva et pris le micro le plus proche..

Monsieur le Premier Ministre, au vu des derniers annonces et flach infos concernant votre santé de certaines chaînes de télévision, j'aimerais, ainsi que tous mes députés, connaître votre version exhaustive des faits. J'ose espérer que vous serez des plus honnête devant les citoyens de la Nation représentés par nombre d'entre nous.

EDIT : J'avais oublié la partie " sur votre santé "

[Hugo Salinovitch]

Hugo Salinovitch se présenta rapidement à l'Assemblée National

Monsieur Mc Gregor,

Rassurez-vous sur mon honnêteté, elle n'est point comparable à celle de certains ici présents Rires dans les rangs RSE.

Reveons sur le sujet. Monsieur Mc Gregor, auriez-vous l'intelligence d'expliquer ce dont vous parlez. Car là il n'y a aucun sujet à question.

[Benjamin McGregor]

Monsieur le Premier Ministre, je parle bien évidement de votre état de santé.

[Hugo Salinovitch]

Hugo Salinovitch se lève, frappa sur son micro et déclara:

Monsieur Mc Gregor, je vous rappelle que vous êtes député, représentant du Peuple. J'attends d'un députe, en tant que citoyen, qu'il travaille, vote, propose. Nous sommes ici au sein de l'Assemblée Nationale, assemblée du Peuple. Le débat politique mérite mieux que des questions dignes de journaleux de caniveaux.

Que des journalistes, proches de certains hommes politique, nous nous comprennont, multiplient les articles sur ce sujet, je le regrette mais bon ceci ne m'atteint pas. Je le regrette car s'il s'agissait de journaux à scandales, pourquoi pas, mais il s'agit de pseudos journalistes qui se veulent sérieux. Je note qu'ils ne présentent aucun article international, ou sur la politique nationale, mais pas moins de deux sur des rumeurs.....

Et voilà qu'ici, à l'Assemblée Nationale, on demande au Premier Ministre de s'exprimer, ah non pardon, on le somme de s'expliquer sur des rumeurs!!! Mais quelle blague Vifs applaudissements dans les rangs RSE.

Rassurez-vous monsieur Mc Gregor, je vais bien. Je suis actuellement en train de recevoir les chefs de partis et les responsables politiques dont vous dans peu de temps, pour évoquer la réforme constitutionnelle. Pensez-vous que si j'étais mourant, je pourrais le faire? Rires dans l'hémicycle

Je vous remercie monsieur de vous inquiéter pour moi, cela me réchauffe le coeur. Mais ne vous tourmentez pas, je suis bien vivant.

Merci

Les députés RSE se lèvent et applaudissent le Premier Ministre.

[Benjamin McGregor]

Monsieur le Premier Ministre, je n'ai pas de leçon d'éthique politico-médiatique de votre part quand on sait la manière dont les Cabinets du Président et du Premier Ministre détournent les médias privés et s'ingèrent dans leurs organisations médiatiques , d'autant plus que vos insinuations sont aussi vraies que le Vatican se trouve en Amérique Latine! Ire sur les bancs sociaux démocrates.

Monsieur le Premier Ministre, il s'agit de la santé du Premier Ministre en exercice, c'est la raison pour laquelle je vous interroge au noms des citoyens que je représente en temps que député, Monsieur le Premier Ministre. Nous savons tous ici qu'en deça de votre fonction actuel, je me fou éperdument de votre santé et même tout simplement de vous. Par ailleurs, recevoir des gens, leur servir à boire et leur parler d'une Constitution qu'ils approuvent déjà et dont la clé est dans les mains du Peuple, c'est très fatiguant, ca demande énormément de concentration et d'efforts physiques, nous le concevons tous.

Ovation dans les rangs des députés de Benjamin McGregor, ensuite, ils se lèvent et quittent l'Assemblée Nationale.

[Hugo Salinovitch]

Hugo Salinovitch qui était déjà parti, ne jugeant pas intéressant d'écouter la réponse de Mc Gregor fut mis au courant par un député RSE de la réponse de ce dernier, il s'exclama en rigolant: nous atteignons le degré zéro de la politique.....L’Italie avait Berlusconi, nous nous avons ce bouffon.

[Alessandra Gasparini]

Monsieur le Président,
Mes chers collègues,

J'aurais voulu poser une question au Premier Ministre, Monsieur Dellas, mais malheureusement son état de santé ne lui permet plus d’exercer ses fonctions. J'en profite d'ailleurs pour lui souhaiter un prompt rétablissement, car c'est une personne que j'affectionne à titre personnel.

Ma question s'adressera donc par défaut à un autre Ministre du PSD, Fabio Martini.

Monsieur le Ministre. L'alliance gouvernementale que vous avez conclu avec la droite frôceuse à laissé bon nombre d'électeurs de gauche dans l’embarra. En effet, après avoir gouverné avec l'union de la gauche, le PSD semble désormais totalement tourner le dos au bilan du précédent gouvernement et formidablement s’accommoder de partager le pouvoir avec les libéraux.

Non seulement partager le pouvoir, mais au final laisser tous les leviers dans les mains de la droite, la Présidence de la République, la Présidence de l'Assemblée Nationale, désormais le poste de Premier Ministre, mais également les ministères clés de l'économie, du travail et de l’intérieur.

Maxime Dellas déclarait dans son interview parue le 12 juillet dernier: "Nos majeures différence (avec le RPR) reposent sur l'Economie où nous avons un accord. "

La politique actuellement menée dans le ministère de l'Economie et du Travail est clairement une politique libérale dogmatique, classique de la droite, faite de recul sociaux. J'entends bien que nous ne sommes pas issus de la même famille de la gauche, et que chacun avance à son rythme pour le progrès social, mais il s'agit ici de reculs fondamentaux pour les classes les plus populaires.

Ma question est donc la suivante. En tant que Ministre d'un parti qui se réclame de gauche, en tant que Ministre des Affaires Sociales, soutenez vous le projet de Madame Lopez de Ayala, visant à réduire le salaire minimum, et ainsi à plonger encore un peu plus dans la précarité, la frange la plus fragile des salariés de notre pays? En définitive, quel est le fameux "accord" sur les questions économiques évoqué par Monsieur Dellas?

Merci de me répondre et à travers moi, de répondre à l'ensemble des gens qui ont mis un bulletin du PSD dans l'urne, faisant ainsi de votre parti le premier de Frôce, et qui doivent se poser bien des questions en ce moment...

Je vous remercie

[Enzo Barras]

Monsieur le Premier Ministre,
Monsieur le Président de l'Assemblée Nationale,
Mesdames et Messieurs les députés,

Vous l'avez compris Monsieur le Premier Ministre Dellas, mes questions sont pour vous.

Notre économie va mal. Alors, oui, certains aiment à dire que les chiffres économiques sont encourageants, mais regardons la vérité en face, il y a énormément encore beaucoup de travail pour relancer notre économie. De plus, lors de la campagne électorale, vous avez présenté un programme environnemental très ambitieux, qui aurait pu permettre à la Frôce de se mettre dans le peloton de tête sur le terrain de l'économie verte mondiale, un marché qui se développe, et qu'il ne faut pas louper.

Au lieu de cela, la Ministre de l'Economie, qu'on peut raisonnablement renommer Ministre des Economies, a proposé un budget qui voit la baisse de 4% de l'ensemble des budgets de Ministères, et même de 36% du budget des politiques pour les territoires ou encore de 73% de l'aide au désendettement des villes, tout cela au profit d'une augmentation de 50% du budget de la Défense.

Mes questions sont donc. Sommes-nous en guerre pour préférer nous armer quand les classes populaires prennent de plein fouet l'inflation? Louper le créneau de l'économie verte pour créer de l'emploi est-il fait de manière volontaire?

Merci Monsieur le Premier Ministre de ne pas faire comme le Ministre Martini qui a esquivé la question de ma collègue Gasparini.

[Maxime Dellas]

Monsieur le député Barras,

Effectivement il y a eu des coupe, que je constate maintenant à mon retour ...
Messieurs les députés doivent comprendre que notre armée a toujours été délaissée par les ministres successifs qui s'en sont chargé. Avec un matériel très souvent obsolète et de basse qualité, il était du devoir de mon gouvernement d'accorder enfin un regain de modernité à nos chers soldats !
Certes, nous n'avons pas une armée pour faire la guerre ! Et je vous rassure, mon gouvernement ne veut pas de guerre !
Mais nous avons une armée que nous ne pouvons pas mépriser plus longtemps en la laissant s'embourber avec du vieux matériel, dans de vieux bâtiments, avec e vieux uniformes ...
Cette augmentation soudaine, au-delà de son objectif de modernisation écologique des forces armées qui faisait partie de mon programme, va également permettre à nos soldats de ne plus se cantonner dans des casernes insalubres sous prétexte que ce sont des militaires !

J'espère avoir répondu à votre question.