AIF 16/05: Braquage à Casa
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Mackenzie Calloway
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Re: AIF 16/05: Braquage à Casa
La politesse et le respect du travail des autres vous connaissez pas !
Maire PSD d'Esperanto
Représentante parlementaire (36 députés)
Conseillère à la citoyenneté et à la démocratie participative auprès du Pdt de la République
Ancienne Porte-parole de la FDF
Présidente de la fondation Mackenzie Allen-Calloway : La force citoyenne Frôce
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Zénodore du Plessis
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Re: AIF 16/05: Braquage à Casa
Si c'est une question, la réponse est non. Si c'est un constat, il est pertinent. Pour une fois...
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Patrick Carles
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Re: AIF 16/05: Braquage à Casa
Je reste totalement fan du "Évidemment que je ferais mieux. Je suis Zénodore du Plessis."
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Aristide Augrevaa
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Re: AIF 16/05: Braquage à Casa
Bonjour à toutes et à tous
Avant toute chose, à la différence des humanistes autoproclamés, mon premier sentiment va aux victimes de cet horrible crime. Les frôceux ont découvert avec stupeur les conséquences concrètes du laxisme gouvernemental en matière de sécurité. En plus de devoir affronter le traumatisme généré par le braquage ils doivent faire face à un terrible sentiment d'abandon.
En effet, après la déclaration télévisuelle de Melle Le Picolo ils ont appris que le gouvernement reconnaissait son impuissance à prévenir ce genre de crime. Les victimes ont également appris qu'il n'est nul besoin d'être un grand professionnel pour vivre correctement de la déliquance puisque de leur propre aveu les responsables sont loins de rivaliser avec Arsène Lupin. Enfin je n'ose imaginer leur désarroi quand Mr Dellas en arrivait à trouver des excuses à un tel acte. Les pauvres traumatisés ont donc appris que les individus recherchés n'ont pas été violents. Non ! C'était du désarroi. Mr Dellas, les frôceux doivent ils peut être aussi leur présenter des excuses ?
C'est a raison pour laquelle nous souhaitions en premier lieu exprimer toute notre sympathie aux victimes.
Mr Dellas, Mlle Picolo, après avoir reconnu votre incapacité à assurer la sécurité des frôceux, peut être serait il temps de mettre la parole en accord avec les actes. La solution n'est pas de demander aux courageuses forces de l'ordre comment vous devez faire votre metier. La situation ne se prête pas à l'expérimentation. L'urgence de la situation et la logique voudrait que devant de tels résultats, vous laissiez la place à ceux qui depuis toujours sont à l'écoute des forces de l'ordre. On ne peut à la fois financer la pingrerie et les forces de l'ordre. Plutôt que de financer l'inactivité nous avons personnellement choisi depuis toujours de défendre le respect des lois votées par les citoyens. La République sera mieux défendue si au lieu de financer l'inactivité de certains frocéens vous investissiez cet argent plutôt dans la défense de nos lois. Parce que faire respecter les lois par tous, c'est respecter les libertés de chacun.
Aristide Augrevaa, Porte parole du PPL
Avant toute chose, à la différence des humanistes autoproclamés, mon premier sentiment va aux victimes de cet horrible crime. Les frôceux ont découvert avec stupeur les conséquences concrètes du laxisme gouvernemental en matière de sécurité. En plus de devoir affronter le traumatisme généré par le braquage ils doivent faire face à un terrible sentiment d'abandon.
En effet, après la déclaration télévisuelle de Melle Le Picolo ils ont appris que le gouvernement reconnaissait son impuissance à prévenir ce genre de crime. Les victimes ont également appris qu'il n'est nul besoin d'être un grand professionnel pour vivre correctement de la déliquance puisque de leur propre aveu les responsables sont loins de rivaliser avec Arsène Lupin. Enfin je n'ose imaginer leur désarroi quand Mr Dellas en arrivait à trouver des excuses à un tel acte. Les pauvres traumatisés ont donc appris que les individus recherchés n'ont pas été violents. Non ! C'était du désarroi. Mr Dellas, les frôceux doivent ils peut être aussi leur présenter des excuses ?
C'est a raison pour laquelle nous souhaitions en premier lieu exprimer toute notre sympathie aux victimes.
Mr Dellas, Mlle Picolo, après avoir reconnu votre incapacité à assurer la sécurité des frôceux, peut être serait il temps de mettre la parole en accord avec les actes. La solution n'est pas de demander aux courageuses forces de l'ordre comment vous devez faire votre metier. La situation ne se prête pas à l'expérimentation. L'urgence de la situation et la logique voudrait que devant de tels résultats, vous laissiez la place à ceux qui depuis toujours sont à l'écoute des forces de l'ordre. On ne peut à la fois financer la pingrerie et les forces de l'ordre. Plutôt que de financer l'inactivité nous avons personnellement choisi depuis toujours de défendre le respect des lois votées par les citoyens. La République sera mieux défendue si au lieu de financer l'inactivité de certains frocéens vous investissiez cet argent plutôt dans la défense de nos lois. Parce que faire respecter les lois par tous, c'est respecter les libertés de chacun.
Aristide Augrevaa, Porte parole du PPL