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Réactions aux communiqués de la GPC
- Barta Elaï
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Réactions aux communiqués de la GPC
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Re: Réactions aux communiqués de la GPC
Interrogé par des journalistes, Benjamin McGregor s'exprima..
Le Président de la République a préféré que toutes les règles de coalition républicaine soit contournées, il a posé comme condition à une participation gouvernementale le fait d'évincer une personne élue comme dirait Monsieur Fevernov " par les voix de la gauche ".
Etre dans une coalition n'implique pas pour moi le fait de suivre aveuglément le choix souhaité par la coalition, je sais faire la différence entre l'intérêt politique et l'intérêt partisan au détriment des compétences pour la nation. Du temps où j'étais Premier Ministre, j'ai toujours soutenu la liberté d'expression et d'opinion. Tout les membres députés de l'ancienne FDF ont toujours pu exprimer ce qu'ils voulaient dire parce que c'est le travail d'un député, de la majorité ou de l'opposition, de tenter d'améliorer un texte qui s'apprête à être voté! Mais je me souviens déjà que de ce temps, le RDS n'avait déjà pas la même conception d'un parlementaire que moi.
Ici, l'APC condamne ma liberté individuelle. J'ai fait part de mon choix au sein de mon parti et j'ai été ravi de voir que les méthodes du Président de la République et du Premier Ministre pour tenter de faire un Gouvernement en dépit de toutes les règles de coalition ont dégoûté les membres du PSD. La liberté d'expression et de parole est un des seuls mots d'ordre au PSD, sachez-le.
J'estime que Monsieur Valbonesi possède les qualités requises pour diriger l'Assemblée Nationale. A ce poste, il sera l'homme de l'Assemblée et non d'un clan et il ne suffira pas d'un coup de fil du Président de la République pour que les choses avancent ou pas, comme cela c'est fait à mon sens dans des pays proches.
Le Président de la République a préféré que toutes les règles de coalition républicaine soit contournées, il a posé comme condition à une participation gouvernementale le fait d'évincer une personne élue comme dirait Monsieur Fevernov " par les voix de la gauche ".
Etre dans une coalition n'implique pas pour moi le fait de suivre aveuglément le choix souhaité par la coalition, je sais faire la différence entre l'intérêt politique et l'intérêt partisan au détriment des compétences pour la nation. Du temps où j'étais Premier Ministre, j'ai toujours soutenu la liberté d'expression et d'opinion. Tout les membres députés de l'ancienne FDF ont toujours pu exprimer ce qu'ils voulaient dire parce que c'est le travail d'un député, de la majorité ou de l'opposition, de tenter d'améliorer un texte qui s'apprête à être voté! Mais je me souviens déjà que de ce temps, le RDS n'avait déjà pas la même conception d'un parlementaire que moi.
Ici, l'APC condamne ma liberté individuelle. J'ai fait part de mon choix au sein de mon parti et j'ai été ravi de voir que les méthodes du Président de la République et du Premier Ministre pour tenter de faire un Gouvernement en dépit de toutes les règles de coalition ont dégoûté les membres du PSD. La liberté d'expression et de parole est un des seuls mots d'ordre au PSD, sachez-le.
J'estime que Monsieur Valbonesi possède les qualités requises pour diriger l'Assemblée Nationale. A ce poste, il sera l'homme de l'Assemblée et non d'un clan et il ne suffira pas d'un coup de fil du Président de la République pour que les choses avancent ou pas, comme cela c'est fait à mon sens dans des pays proches.

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Re: Réactions aux communiqués de la GPC
Dimitri assez remonté contre Benjamin répondit aux journalistes qui lui demandaient de réagir suite aux propos de McGregor.
- Benjamin McGregor, je l'ai connu quand j'étais Premier Ministre. C'était quelqu'un d'attaché à des valeurs, qui oeuvrait dans l'intérêt commun et qui a su le faire avec dynamisme, courage et détermination. Aujourd'hui, je suis d'autant plus surpris de voir qu'il agit en électron libre mais qu'en plus, il fait passer son aversion personnelle avant le mandat que les électeurs lui ont confié. Déjà dans un premier temps, sur la question du Premier Ministre, son choix appartient au Président de la République et il n'est pas obligé de choisir le parti arrivé en tête. Je rappelle qu'il y a un peu plus de deux ans, Max Mattinen avait nommé un Premier Ministre de droite alors que la gauche était majoritaire. Quand à l'éviction d'une personne en particulier, et je pense que cette éviction concerne directement Monsieur McGregor, j'ai été éloigné des affaire pendant un moment, je n'ai pas perçu ce changement de "cap", mais effectivement, je comprends pourquoi ces anciens collaborateurs ont décidé de l'évincer. On ne peut pas sciemment intégrer dans une équipe un homme qui se soucie davantage de son intérêt personnel que de celui de la Frôce. Quand on veut se faire passer pour la victime, on évite également les allusions d'atteinte à la liberté. Chacun est libre d'agir, mais reprocher au parti de condamner cela, c'est faire l'étalage d'un raisonnement très Marshallesque, vous l'admettrez c'est bien en deçà de l'intelligence que l'on connait de Monsieur McGregor. Je respecte personnellement la parole du PSD, mais ce que je vois jusqu'à présent, c'est que les militants restent soudés à leur Président de Parti et ne s'amusent pas à jouer les apprentis chimistes au motif qu'un individu est plus compétent qu'un autre. Monsieur McGregor n'a pas du mener des négociations depuis fort longtemps, car si c'était le cas, il saurait que c'est lors de discussions et d'échanges que l'on voit la qualité d'un homme. Maxime Dellas est une personne intègre, prête au dialogue, qui est dévouée à son parti et à sa cause mais qui est également dévoué à la Nation. Chaque fois que j'ai pu discuter avec lui, s'il y avait une zone d'ombre, nous parvenions à l'éclairer. Maxime Dellas est un homme de responsabilités, qui saura être tout aussi compétent, sinon plus que Vincent Valbonesi. Et effectivement, je voudrais dire à Benjamin que la paranoïa se soigne et que dans l'hémicycle et ça a été démontré à plusieurs reprises, les députés ne sont pas les jouets du Gouvernement ou du Président de la République. Dans un sens, il a mieux valu qu'il ne dépose pas sa candidature, dans un sens, il a mieux valu que Maxime Dellas le fasse à sa place. Pour la fierté du PSD et de notre coalition, je pense en effet qu'il vaut mieux accorder un soutien inconditionnel à un homme prêt à agir pour son pays, qu'à un homme aigri, agissant dans une démarche personnelle, prêt à lâcher un homme compétent de son camp, qui lui a quand même permis, par sa participation à la campagne et par son soutien de pouvoir s'asseoir sur les sièges moelleux de l'hémicycle et de prétendre représenter les intérêts du peuple à la représentation nationale. Et qu'après, il ne vienne pas s'étonner que d'autres l'écartent des responsabilités ou de toute équipe. Ce n'est pas comme s'ils devaient forcer, dans le même temps.
- Benjamin McGregor, je l'ai connu quand j'étais Premier Ministre. C'était quelqu'un d'attaché à des valeurs, qui oeuvrait dans l'intérêt commun et qui a su le faire avec dynamisme, courage et détermination. Aujourd'hui, je suis d'autant plus surpris de voir qu'il agit en électron libre mais qu'en plus, il fait passer son aversion personnelle avant le mandat que les électeurs lui ont confié. Déjà dans un premier temps, sur la question du Premier Ministre, son choix appartient au Président de la République et il n'est pas obligé de choisir le parti arrivé en tête. Je rappelle qu'il y a un peu plus de deux ans, Max Mattinen avait nommé un Premier Ministre de droite alors que la gauche était majoritaire. Quand à l'éviction d'une personne en particulier, et je pense que cette éviction concerne directement Monsieur McGregor, j'ai été éloigné des affaire pendant un moment, je n'ai pas perçu ce changement de "cap", mais effectivement, je comprends pourquoi ces anciens collaborateurs ont décidé de l'évincer. On ne peut pas sciemment intégrer dans une équipe un homme qui se soucie davantage de son intérêt personnel que de celui de la Frôce. Quand on veut se faire passer pour la victime, on évite également les allusions d'atteinte à la liberté. Chacun est libre d'agir, mais reprocher au parti de condamner cela, c'est faire l'étalage d'un raisonnement très Marshallesque, vous l'admettrez c'est bien en deçà de l'intelligence que l'on connait de Monsieur McGregor. Je respecte personnellement la parole du PSD, mais ce que je vois jusqu'à présent, c'est que les militants restent soudés à leur Président de Parti et ne s'amusent pas à jouer les apprentis chimistes au motif qu'un individu est plus compétent qu'un autre. Monsieur McGregor n'a pas du mener des négociations depuis fort longtemps, car si c'était le cas, il saurait que c'est lors de discussions et d'échanges que l'on voit la qualité d'un homme. Maxime Dellas est une personne intègre, prête au dialogue, qui est dévouée à son parti et à sa cause mais qui est également dévoué à la Nation. Chaque fois que j'ai pu discuter avec lui, s'il y avait une zone d'ombre, nous parvenions à l'éclairer. Maxime Dellas est un homme de responsabilités, qui saura être tout aussi compétent, sinon plus que Vincent Valbonesi. Et effectivement, je voudrais dire à Benjamin que la paranoïa se soigne et que dans l'hémicycle et ça a été démontré à plusieurs reprises, les députés ne sont pas les jouets du Gouvernement ou du Président de la République. Dans un sens, il a mieux valu qu'il ne dépose pas sa candidature, dans un sens, il a mieux valu que Maxime Dellas le fasse à sa place. Pour la fierté du PSD et de notre coalition, je pense en effet qu'il vaut mieux accorder un soutien inconditionnel à un homme prêt à agir pour son pays, qu'à un homme aigri, agissant dans une démarche personnelle, prêt à lâcher un homme compétent de son camp, qui lui a quand même permis, par sa participation à la campagne et par son soutien de pouvoir s'asseoir sur les sièges moelleux de l'hémicycle et de prétendre représenter les intérêts du peuple à la représentation nationale. Et qu'après, il ne vienne pas s'étonner que d'autres l'écartent des responsabilités ou de toute équipe. Ce n'est pas comme s'ils devaient forcer, dans le même temps.
- Historique des points Godwin mention Staline -
Jean-Baptiste Marshall : 3 pts