[Législatives décembre] Débat justice
- Asuka Finacci
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[Législatives décembre] Débat justice
Ce topic est uniquement ouvert au débat, les programmes doivent être postés dans le topic de dépôt des programmes
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Le débat commence le 6 décembre à 0 h 00, toute intervention faite avant cette heure sera supprimée sans préavis.
Temps de parole restant le 9/12 à 14 h 5 :
Gayet 9
Peruzzi 10
Valbonesi 6
Salinovitch 6
Cypher 6
Zemmour 12
Kalachnikova 9
Fevernova 11
Makhno 12
Crepelle 12
McGregor 13
Skorpio 13
Montredon 10
Boleyn 14
Plessis 13
Milon 14
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Asuka Finacci AsatoPrésident de la Cour SuprêmeAncien Président de la RépubliqueAncien Premier ministre
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- Enregistré le : 13 déc. 2010, 18:56
Re: [Législatives décembre] Débat justice
Mesdames, Messieurs, l'heure est grave. Les pourfendeurs de la justice républicaine ont débarqué. Au programme du PRF, casse du principe institutionnel de laïcité, parce que malgré leur charte, ils prévoient d'inscrire les racines judéo-chrétiennes dans la Constitution. Décidément, on dirait que les partis islamistes se sont trouvés de fervents admirateurs dans notre pays. Qui l'eut cru ?
Comme toujours lorsqu'il s'agit de justice, la même soupe insipide conservatrice refait surface que ça soit dans le programme du PRF ou du PLC. Rétablissement de la peine de mort, sanctions importantes pour le petit délinquant de quartier et augmentation du nombre de places en prison, pas pour que les prisonniers y vivent mieux, non quelle idée stupide, mais pour qu'on puisse les remplir davantage. Et on nous remet sur le tapis l'abaissement de la majorité pénale... et la suppression de l'excuse de minorité... toujours le même disque, rayé et surtout inefficace. Depuis des années la droite regarde la justice et s'arrache les cheveux pour essayer de trouver un moyen de rendre le système totalement incohérent. Son projet : l'injustice d'état.
On commence par les sanctions importantes que l'on va mettre au petit délinquant de quartier. Il faut savoir ce que l'on entend par délinquant, déjà pour commencer. Parce qu'il y a une différence de taille entre le violeur et le voleur à la sauvette. On ne devient pas délinquant pour se faire une réputation, ça n'existe que dans les films. On devient délinquant parce qu'il y a tout un contexte social et économique qui pousse au désespoir, à l'ennui. Qu'est-ce que l'on va gagner à sanctionner d'une peine de prison, le type qui fait du racket dans son quartier ? Rien, au contraire. On le laisse dans la même zone que des assassins et quand il a fini sa peine on le relâche comme si de rien n'était. La prison c'est quand même un isolement, social, éducatif et professionnel. Sans suivi, sans aide, notre primo-délinquant va revenir dans le même contexte qu'au départ et va recommencer. C'est la récidive, encouragée par des mesures sommaires et primitives de la droite. Valorisée par une ignorance, une surdité totale aux principales sources de la délinquance. Il doit y avoir sanction, mais il doit y avoir réparation, soutien et surtout responsabilisation. Le REC soutient la généralisation de la sanction-réparation pour la majorité des cas. Pourquoi ? Parce que quand on commet une erreur, il faut passer par la prise de conscience, la réparation et le pardon. On reconnait son erreur, on l'assume, on met tout en oeuvre pour la réparer et on s'acquitte d'une dette envers la victime. La vie peut recommencer, si et uniquement si, en parallèle nous résolvons les difficultés sociales et professionnels des délinquants.
La Justice doit être d'égal accès à tous, que l'on ait les moyens d'avoir un avocat ou pas. L'Etat doit assurer cet accès et prendre en charge les frais judiciaires de n'importe quel citoyen. En complément de cet accès, nous proposons de favoriser la création de nouveaux tribunaux et d'augmenter le nombre de juges. Pourquoi ? Pour que les tribunaux existants soient désengorgés, d'abord. Il est inacceptable qu'une procédure judiciaire puisse prendre des mois voire des années. Mais c'est surtout parce que la Justice est un fondement de notre République et qu'elle doit demeurer un service public, gratuit, accessible. Chaque citoyen doit pouvoir se défendre et demander justice sans qu'une question de moyen financier ne le pénalise. Quid de ces difficultés dans les programmes PRF et PLC ? Ignorées, comme tant d'autres choses...
Le gouvernement actuel, ancré à gauche, je le rappelle, a récemment fait une réforme récente du code pénal, où les peines ont été durcies de façon graduée. Ce que l'on reprochait à la gauche, c'était de ne pas avoir le courage de sanctionner. Nous proposons de durcir encore les sanctions en cas d'infractions portant atteint aux individus ou en cas d'implication dans des trafics. Les actes racistes, xénophobes ou encore homophobes doivent être punis avec une extrême fermeté. Une punition juste, oui. Mais pas une punition de facilité comme la peine de mort. Nous entendons lutter internationalement pour que cette pratique barbare et inhumaine soit définitivement abolie. La Justice n'a pas vocation à tuer mais à faire apparaître la vérité et à prononcer la sentence qui s'adapte à la situation. Au 21ème siècle, peut-on encore soutenir une pratique qui va à l'encontre même des Droits de l'Homme et qui ramène l'être humain à un être primitif assoiffé de haine et de violence ? Visiblement, quand on a une carte PRF/PLC, c'est oui.
Comme toujours lorsqu'il s'agit de justice, la même soupe insipide conservatrice refait surface que ça soit dans le programme du PRF ou du PLC. Rétablissement de la peine de mort, sanctions importantes pour le petit délinquant de quartier et augmentation du nombre de places en prison, pas pour que les prisonniers y vivent mieux, non quelle idée stupide, mais pour qu'on puisse les remplir davantage. Et on nous remet sur le tapis l'abaissement de la majorité pénale... et la suppression de l'excuse de minorité... toujours le même disque, rayé et surtout inefficace. Depuis des années la droite regarde la justice et s'arrache les cheveux pour essayer de trouver un moyen de rendre le système totalement incohérent. Son projet : l'injustice d'état.
On commence par les sanctions importantes que l'on va mettre au petit délinquant de quartier. Il faut savoir ce que l'on entend par délinquant, déjà pour commencer. Parce qu'il y a une différence de taille entre le violeur et le voleur à la sauvette. On ne devient pas délinquant pour se faire une réputation, ça n'existe que dans les films. On devient délinquant parce qu'il y a tout un contexte social et économique qui pousse au désespoir, à l'ennui. Qu'est-ce que l'on va gagner à sanctionner d'une peine de prison, le type qui fait du racket dans son quartier ? Rien, au contraire. On le laisse dans la même zone que des assassins et quand il a fini sa peine on le relâche comme si de rien n'était. La prison c'est quand même un isolement, social, éducatif et professionnel. Sans suivi, sans aide, notre primo-délinquant va revenir dans le même contexte qu'au départ et va recommencer. C'est la récidive, encouragée par des mesures sommaires et primitives de la droite. Valorisée par une ignorance, une surdité totale aux principales sources de la délinquance. Il doit y avoir sanction, mais il doit y avoir réparation, soutien et surtout responsabilisation. Le REC soutient la généralisation de la sanction-réparation pour la majorité des cas. Pourquoi ? Parce que quand on commet une erreur, il faut passer par la prise de conscience, la réparation et le pardon. On reconnait son erreur, on l'assume, on met tout en oeuvre pour la réparer et on s'acquitte d'une dette envers la victime. La vie peut recommencer, si et uniquement si, en parallèle nous résolvons les difficultés sociales et professionnels des délinquants.
La Justice doit être d'égal accès à tous, que l'on ait les moyens d'avoir un avocat ou pas. L'Etat doit assurer cet accès et prendre en charge les frais judiciaires de n'importe quel citoyen. En complément de cet accès, nous proposons de favoriser la création de nouveaux tribunaux et d'augmenter le nombre de juges. Pourquoi ? Pour que les tribunaux existants soient désengorgés, d'abord. Il est inacceptable qu'une procédure judiciaire puisse prendre des mois voire des années. Mais c'est surtout parce que la Justice est un fondement de notre République et qu'elle doit demeurer un service public, gratuit, accessible. Chaque citoyen doit pouvoir se défendre et demander justice sans qu'une question de moyen financier ne le pénalise. Quid de ces difficultés dans les programmes PRF et PLC ? Ignorées, comme tant d'autres choses...
Le gouvernement actuel, ancré à gauche, je le rappelle, a récemment fait une réforme récente du code pénal, où les peines ont été durcies de façon graduée. Ce que l'on reprochait à la gauche, c'était de ne pas avoir le courage de sanctionner. Nous proposons de durcir encore les sanctions en cas d'infractions portant atteint aux individus ou en cas d'implication dans des trafics. Les actes racistes, xénophobes ou encore homophobes doivent être punis avec une extrême fermeté. Une punition juste, oui. Mais pas une punition de facilité comme la peine de mort. Nous entendons lutter internationalement pour que cette pratique barbare et inhumaine soit définitivement abolie. La Justice n'a pas vocation à tuer mais à faire apparaître la vérité et à prononcer la sentence qui s'adapte à la situation. Au 21ème siècle, peut-on encore soutenir une pratique qui va à l'encontre même des Droits de l'Homme et qui ramène l'être humain à un être primitif assoiffé de haine et de violence ? Visiblement, quand on a une carte PRF/PLC, c'est oui.
- Stefano Peruzzi
- Représentant Parlementaire
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Re: [Législatives décembre] Débat justice
Plutôt que de me munir du livre sacré tant vanté par nos amis de droite, je suis venu ici avec le livre sacré de la République Frôceuse, qui est sa Constitution. Un livre sacré qui pourrait bien contrarier les plans du PLC et du PRF.
Le PRF s'offre des airs de démocrate en annonçant fièrement la tenue d'un référendum sur la peine de mort, la seule chose qu'il oublie de dire c'est que ce référendum est obligatoire pour une telle question.
Le PLC promet à son électorat d’assister au triste spectacle d'une justice où le prix du sang a remplacé la raison, la seule chose qu'il oublie de dire c'est qu'il aura besoin d'un référendum en plus d'une majorité des trois cinquièmes à l'Assemblée Nationale. Si même la horde de tricheurs éhontés qui s'attaque à la Russie ne parvient pas à atteindre une telle majorité, je n'ose imaginer la capacité du PLC à l'obtenir.
En effet, la Constitution précise qu'une majorité des trois cinquièmes soit 161 députés assortie à un référendum est nécessaire pour toute modification du préambule de celle-ci, préambule qui renvoie lui-même au préambule de la dernière version de la Constitution du 26 juin 2010 qui stipule clairement "Nul ne peut être condamné à la peine de mort. ".
La personne qui a mis en place le dispositif de majorité des trois cinquièmes couplée au référendum et qui a donc très probablement mis fin aux espoirs de ces tristes individus de remettre en place le plus barbare des châtiments est Mays Madarjeen, ancien membre du PRF. L’Histoire est décidément peuplée de superbes ironies.
Le PRF s'offre des airs de démocrate en annonçant fièrement la tenue d'un référendum sur la peine de mort, la seule chose qu'il oublie de dire c'est que ce référendum est obligatoire pour une telle question.
Le PLC promet à son électorat d’assister au triste spectacle d'une justice où le prix du sang a remplacé la raison, la seule chose qu'il oublie de dire c'est qu'il aura besoin d'un référendum en plus d'une majorité des trois cinquièmes à l'Assemblée Nationale. Si même la horde de tricheurs éhontés qui s'attaque à la Russie ne parvient pas à atteindre une telle majorité, je n'ose imaginer la capacité du PLC à l'obtenir.
En effet, la Constitution précise qu'une majorité des trois cinquièmes soit 161 députés assortie à un référendum est nécessaire pour toute modification du préambule de celle-ci, préambule qui renvoie lui-même au préambule de la dernière version de la Constitution du 26 juin 2010 qui stipule clairement "Nul ne peut être condamné à la peine de mort. ".
La personne qui a mis en place le dispositif de majorité des trois cinquièmes couplée au référendum et qui a donc très probablement mis fin aux espoirs de ces tristes individus de remettre en place le plus barbare des châtiments est Mays Madarjeen, ancien membre du PRF. L’Histoire est décidément peuplée de superbes ironies.
- Vincent Valbonesi
- Non inscrit sur les listes électorales
- Messages : 3717
- Enregistré le : 25 juin 2010, 23:59
Re: [Législatives décembre] Débat justice
La justice est aujourd’hui un des facteurs clés de l’harmonie social dans un pays. Mais hélas, suite aux manœuvres de différents politiciens qui n’étaient en mesure d’apporter un véritable plus à notre justice, celle-ci s’est vue dépourvue de toute efficacité, d’autant plus que divers forfaits ont été commis la concernant, notamment une diminution radicale de la sévérité et de l’exemplarité des peines prévues dans le Code pénal, avec pour bouc émissaire la peine de mort. Peine utile et nécessaire pour la dissuasion qu’elle impose. Les injustices se font de plus en plus nombreuses. Les criminels sont aujourd’hui toujours plus nombreux, et cela, je le constate moi-même dans les palais de justice lorsque je plaide pour défendre la cause d’une mère qui a vu son enfant violé, torturé et tué par un détraqué sexuel que la justice bolchévique de notre pays ne condamnera qu’à quinze ans de prison et qui en ressortira une fois le tiers de la peine effectué. Cette justice là n’est pas la bonne, cette justice là, nous n’en voulons plus. Le PLC propose un Pacte pour la justice afin que celle-ci soit performante. A quoi reconnaît-on une justice performante ? C’est lorsque celle-ci ne se laisse pas aller dans le désir du social, dans le désir de la psychologie, dans le désir de la compréhension du pourquoi du comment qui amène aujourd’hui des situations en tout point scandaleuses. Le PLC s’engage pour vous à faire de la justice frôceuse une justice performante, voici les différentes mesures nécessaires pour atteindre cet objectif prioritaire pour maintenir l’ordre et la paix sociale dans notre pays.
Nous supprimerons l’excuse de minorité qui est une véritable farce que la gauche s’entête à maintenir dans le droit positif. Cela n’est pas juste, cela n’est pas logique. Un mineur de quinze ans qui commet sa dixième infraction n’a en aucune manière le droit de bénéficier de cette excuse de minorité. A un moment donné, il deviendra nécessaire pour les biens pensants bolchéviques de notre pays de revoir leur position de psychologue maoïste sur les jeunes d’aujourd’hui. Un individu de quinze ans qui commet un braquage dans une banque à l’aide d’une arme de guerre n’est plus un enfant, c’est un individu qui doit être jugé comme un adulte, il est inconcevable aujourd’hui de maintenir le contraire. C’est une faute morale que de le nier. Mais il est vrai que la morale et l’ordre ne sont pas les guides de l’action des socialistes et autres débridés de notre pays.
En ce sens, nous abaisserons la majorité pénale à 16 ans. Car oui, nous ne voyons pas la différence, nous au PLC, comme dans la majorité de la population entre un jeune de 16 ans et un jeune de 18 ans. Pensez une seconde aux victimes : un individu de 17 ans et 12 mois sera jugé comme un enfant alors qu’un individu de 18 ans et 1 mois sera jugé comme un adulte. Rendez vous compte de la stupidité sans nom du système. C’est là encore une prouesse de des biens pensants bolchéviques.
Nous augmenterons les peines prévues pour les récidivistes et pour les multi récidivistes. Combien de drames seront nécessaires pour que nos adversaires soient enfin enclins à faire du mieux possible pour la protection des individus. Car là est la principale priorité de l’Etat : la protection de ses citoyens. Or, la récidive, c’est l’échec même d’une politique en matière pénale voulue par un grand nombre qui s’avère aujourd’hui être un échec patent. Le PLC propose l’augmentation des peines pour la récidive de 100%. C'est-à-dire que pour une infraction actuellement passible de 3 ans de réclusion criminelle, si le PLC l’emporte, cette peine sera revue à la hausse de 3 ans supplémentaires pour les récidivistes. Et cela est somme toute logique : un individu qui commet une infraction est sanctionnée une première fois, la société lui offre une seconde chance, s’il ne la saisit pas, alors la société doit être exemplaire, on récidive, on effectuera alors le double de la peine prévue pour l’infraction en question.
Le problème de la récidive est d’autant plus insupportable quand celui touche les questions de l’application des peines. On le sait, une très grande partie des peines en Frôce ne sont pas appliquées, c’est pourquoi le PLC estime comme une priorité la mise en place de peine incompressible pour l’ensemble des infractions. C'est-à-dire que pour une infraction désormais commise, une peine prononcée par un juge ne pourra être remise en cause. J’entend par là l’impossibilité pour tout accusé condamné sous l’empire d’une peine incompressible par une juridiction nationale l’impossibilité d’une libération conditionnelle jusqu’à l’exécution complète de la peine prononcée. Comment voulons nous que cette justice soit exemplaire si les peines de réclusion qu’elle prononce ne sont pas appliquées dans leur intégralité. Il est tout à fait normal et humain, pour les victimes et plus largement la société civile, qu’un prisonnier condamné à 20 ans de réclusion effectue la totalité de sa peine et non pas seulement 13 ans par exemple pour la libération conditionnelle d’un non récidiviste.
Pour aller encore plus loin dans la prévention des crimes et des délits, nous proposerons la possibilité de peines planchers afin de permettre une réelle sanction des condamnés. En effet, aujourd’hui, pour un récidiviste, il est probable que la peine qu’il recevra pour la dixième fois soit une nouvelle fois de 6 mois. Or, le PLC considère justement qu’un individu qui en est à sa dixième infraction, et le cas n’est pas rare, ne doit plus purger 6 mois de réclusion. Le juge reste le maitre en la matière et le législateur ne saurait empiéter sur son pouvoir de jugement. Cependant, le PLC proposera la mise en place de peines planchers pour les récidivistes afin d’assister à une véritable prise de conscience et une véritable sanction pour le condamné. Nous n’avons pas la possibilité de prévenir les infractions, nous pouvons seulement nous contenter de les dissuader dans les limites qui sont celles de l’Etat. Une justice équitable et efficace est la seule clé d’une bonne dissuasion.
Aujourd’hui, nous considérons que le système vacille, et qu’il vacillera toujours autant tant qu’aucune véritable mesure ne sera prise pour rendre à la justice toute son influence sur les individus. C’est pourquoi, le PLC proposera de mettre à disposition du juge la réclusion a perpétuité réelle pour l’ensemble des crimes de catégorie A, B, C et D commis sur le territoire de la République. Comment, aujourd’hui, un individu qui pose une bombe qui par chance n’explose pas dans la gare d’Aspen ne soit pas condamné à une peine de réclusion criminelle a perpétuité dans le sens que lui donne la langue française ? comment expliquer à un parent que l’auteur d’acte de barbarie et de viol suivi d’assassinat sur son enfant de 3 ans ne soit pas condamné à une perpétuité réelle ? Cela n’est tenable pour personne. Et je mets au défi quiconque d’humain de défendre la position inverse. Comment croire en la rédemption artificielle d’un détraqué sexuel auteur de 10 viols et assassinats d’enfants ? Combien de millions de pluzins d’impôts de nos concitoyens seront nécessaires pour que chacun se rendre compte de l’absurdité de la situation ? Mettez vous quelques instants à la place des parents d’une jeune fille violée et torturée avant d’être décapitée, comment réagiront-ils quand la justice que souhaitent nos adversaires proposera 20 ans de réclusion et une injonction de soins encore aux frais de l’Etat, donc du contribuable, donc de ces parents là ? C’est une honte, un scandale. Le PLC ne tolèrera pas cela une seule seconde de plus.
La mesure phare de noter programme en matière judiciaire pour nos adversaires, c’est probablement le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus odieux et les actes de terrorisme. Prenez l’exemple que je viens de citer juste avant. Comment ne pas prononcer la peine de mort pour un crime de cette intensité ? Comment tolérer que nos impôts aillent grassement payer la vie de cet individu dans une cellule de la République ? Cela est intolérable. C’est pourquoi, il apparaît comme sain et tout à fait normal pour nous de prôner le retour de la peine de mort pour les crimes les plus odieux et les actes de terrorisme car quiconque souhaite porter atteinte à l’Etat ou à la vie d’un ou plusieurs citoyens frôceux doit être puni de mort. Quand un danger est cerné, quand il est entre nos mains, abandonnons la solution pacifique, occupons nous réellement du problème et mettons un terme à cette menace. Je ne parle même pas pour les auteurs reconnus d’actes de terrorisme sur le territoire de la République. Que l’on fasse un referendum sur la question ? Aucun problème. Les exemples ne manquent pas et la population frôceuse est totalement en mesure d’apprécier à sa juste valeur le rétablissement de la peine capitale pour ces deux types d’infractions pénales gravissimes. Oui M. Peruzzi, le Petit livre rouge n’est jamais bien loin dans vos mains, vous le voyez, l’utilisation et le respect de la Constitution de notre République n’est en aucun cas une difficulté pour nous. Les juristes ne manquent pas, il n’est jamais trop tard pour effectuer des révisions quand celles-ci s’imposent.
Mais la justice, ca n’est pas seulement le Code pénal et ses sanctions, c’est aussi la protection des éléments clés dans nombre d’affaires pénales : les témoins. C’est pourquoi, par un système de subventions, financés par les économies que nous ferons en soins psychologiques inutiles, l’Etat apportera des aides envers les sociétés de protection de témoins qui sont en développement du fait tout d’abord de l’accroissement de la délinquance mais aussi du développement de la vengeance personne, ce que le PLC se refuse à accéder. Mais pour que cette confiance nécessaire envers la justice soit là, il faut que chaque frôceux puisse se sentir en sécurité avant de se retrouver dans un tribunal pour simplement exprimer ce qu’il a vu ou entendu. Il est bien plus urgent de protéger nos témoins que de protéger nos criminels.
Nos adversaires mentent, vous allez me dire, c’est une habitude, oui c’est vrai, mais là, il y a une mauvaise foi incroyable dans les propos tenus par les bolchéviques actuellement au pouvoir.
Ensuite, le PLC, soucieux de faire un état des lieux de la situation dans nos prisons et centres de détentions fermés, lancera un moratoire sur les conditions de vie des prisonniers. Car oui, mesdames et messieurs, aujourd’hui, un barbare sanguinaire passe ses journées devant une télévision, joue aux cartes, s’amuse et se permet des activités soit de bricolages soit sportives sans se souvenir, réellement et intérieurement, de la raison pour laquelle il est en prison. Le PLC ne tolèrera plus une seule seconde ce genre de largesses dans nos prisons. Nous proposons un moratoire pour discuter, ensemble, et sans les détenus qui n’ont rien à dire dans l’application d’une sanction pénale, des mesures a apportées pour rendre l’application d’une peine de prison véritable, et non plus comme un séjour dans un village de vacance. Il suffit de paraboles à côtés des fenêtres, il suffit de télévisions dans chaque cellule. Le PLC proposera la suppression, sauf, en cas de paiement surtaxé d’une redevance journalière en fonction de l’utilisation de cette télévision par un détenu. De plus, il n’est pas nécessaire pour un détenu de fabriquer des objets inutiles pour occuper son temps libre, il sera mis à disposition de la prison pour effectuer, chaque jour, et sans rémunération cela va de soit, une tâche d’intérêt général à l’intérieur d’une enceinte fermée pour les plus dangereux, et à l’extérieur dans un cadre néanmoins strict pour les détenus les moins dangereux, des primo délinquant ayant volé une voiture par exemple alors qu’ils sont encore dans la fleur de l’âge comme on dit.
Nous militons également pour création de Centre éducatif fermé pour mineurs. Ces centres auront une double vocation : d’une part, une fois la majorité pénale abaissée à 16 ans, la minorité pénale sera donc fixée à 16 ans ce qui rendra éligible à ces centres l’ensemble des délinquants de moins de 16 ans considérés au vu des actes commis comme étant très largement moins dangereux que des assassins de 17 ans qui n’auront rien à faire dans ce genre d’établissement. Ces centres répondront également à a question importante qui est de ne pas mélanger des criminels et des primo délinquants coupables d’une très légère infraction. Il en va tout d’abord de la sécurité de ces jeunes mais aussi de leur réintégration dans la société frôceuse ensuite car l’on sait très bien qu’un individu d’un jeune âge sera plus à même d’entrer dans la délinquance aggravée après quelques mois ou années au contact de dangereux criminels peut soucieux de l’avenir de ces jeunes.
Pour remplir l’ensemble des rôles et des nouvelles sanctions que la justice aura en charge avec l’application de notre nouveau modèle de société, diverses mesures administratives seront nécessaires. Premièrement, un recrutement massif de magistrats sera organisé sur les trois prochaines années afin de permettre à la fonction de retrouver ses lettres de noblesse d’une part, mais aussi et surtout de rendre le fonctionnement de notre justice bien plus performant. Cela se chiffre en plusieurs centaines afin d’obtenir une juste répartition territoriale notamment. Mais ce n’est pas tout, en effet il sera également nécessaire d’entamer une politique de réhabilitation des locaux des services judiciaires, j’entends par là le lancement d’une restauration à grande échelle de l’ensemble des tribunaux et Cours d’appel que compte notre pays. Nous proposons également une revalorisation salariale pour l’ensemble des services judiciaires qui connaissent aujourd’hui des conditions de travail difficiles et qui méritent, au nom de la reconnaissance de la société dans son ensemble, un nouveau statut. Nous estimons équitable qu’un individu tel qu’un magistrat puisse recevoir une rémunération à la hauteur des tâches et des compétences qui sont les siennes. La responsabilité qu’il implique est propre et il ne peut se déroger derrière aucun esprit de corporatisme, c’est pourquoi il est important de permettre des conditions de travail optimales. D’autant plus que nous lancerons un grand plan de construction de places de prison sur l’ensemble du territoire. Il sera notamment question, pour chiffré notre proposition, d’augmenter de plus de 30% le nombre de places actuellement en service dans le pays d’ici les prochaines années afin de répondre à divers phénomènes inquiétants d’augmentation de la délinquance, mais aussi à rendre la surpopulation carcérale moins importante.
Mesdames et messieurs, comme vous pouvez le voir, le PLC est au cœur de vos préoccupations et notre idée de la société frôceuse ne peut que se réaliser aux côtés d’une justice performante et juste. C’est là notre volonté et notre plus grand souhait pour la Frôce, permettre à chacun de croire dans notre justice commune.
Nous supprimerons l’excuse de minorité qui est une véritable farce que la gauche s’entête à maintenir dans le droit positif. Cela n’est pas juste, cela n’est pas logique. Un mineur de quinze ans qui commet sa dixième infraction n’a en aucune manière le droit de bénéficier de cette excuse de minorité. A un moment donné, il deviendra nécessaire pour les biens pensants bolchéviques de notre pays de revoir leur position de psychologue maoïste sur les jeunes d’aujourd’hui. Un individu de quinze ans qui commet un braquage dans une banque à l’aide d’une arme de guerre n’est plus un enfant, c’est un individu qui doit être jugé comme un adulte, il est inconcevable aujourd’hui de maintenir le contraire. C’est une faute morale que de le nier. Mais il est vrai que la morale et l’ordre ne sont pas les guides de l’action des socialistes et autres débridés de notre pays.
En ce sens, nous abaisserons la majorité pénale à 16 ans. Car oui, nous ne voyons pas la différence, nous au PLC, comme dans la majorité de la population entre un jeune de 16 ans et un jeune de 18 ans. Pensez une seconde aux victimes : un individu de 17 ans et 12 mois sera jugé comme un enfant alors qu’un individu de 18 ans et 1 mois sera jugé comme un adulte. Rendez vous compte de la stupidité sans nom du système. C’est là encore une prouesse de des biens pensants bolchéviques.
Nous augmenterons les peines prévues pour les récidivistes et pour les multi récidivistes. Combien de drames seront nécessaires pour que nos adversaires soient enfin enclins à faire du mieux possible pour la protection des individus. Car là est la principale priorité de l’Etat : la protection de ses citoyens. Or, la récidive, c’est l’échec même d’une politique en matière pénale voulue par un grand nombre qui s’avère aujourd’hui être un échec patent. Le PLC propose l’augmentation des peines pour la récidive de 100%. C'est-à-dire que pour une infraction actuellement passible de 3 ans de réclusion criminelle, si le PLC l’emporte, cette peine sera revue à la hausse de 3 ans supplémentaires pour les récidivistes. Et cela est somme toute logique : un individu qui commet une infraction est sanctionnée une première fois, la société lui offre une seconde chance, s’il ne la saisit pas, alors la société doit être exemplaire, on récidive, on effectuera alors le double de la peine prévue pour l’infraction en question.
Le problème de la récidive est d’autant plus insupportable quand celui touche les questions de l’application des peines. On le sait, une très grande partie des peines en Frôce ne sont pas appliquées, c’est pourquoi le PLC estime comme une priorité la mise en place de peine incompressible pour l’ensemble des infractions. C'est-à-dire que pour une infraction désormais commise, une peine prononcée par un juge ne pourra être remise en cause. J’entend par là l’impossibilité pour tout accusé condamné sous l’empire d’une peine incompressible par une juridiction nationale l’impossibilité d’une libération conditionnelle jusqu’à l’exécution complète de la peine prononcée. Comment voulons nous que cette justice soit exemplaire si les peines de réclusion qu’elle prononce ne sont pas appliquées dans leur intégralité. Il est tout à fait normal et humain, pour les victimes et plus largement la société civile, qu’un prisonnier condamné à 20 ans de réclusion effectue la totalité de sa peine et non pas seulement 13 ans par exemple pour la libération conditionnelle d’un non récidiviste.
Pour aller encore plus loin dans la prévention des crimes et des délits, nous proposerons la possibilité de peines planchers afin de permettre une réelle sanction des condamnés. En effet, aujourd’hui, pour un récidiviste, il est probable que la peine qu’il recevra pour la dixième fois soit une nouvelle fois de 6 mois. Or, le PLC considère justement qu’un individu qui en est à sa dixième infraction, et le cas n’est pas rare, ne doit plus purger 6 mois de réclusion. Le juge reste le maitre en la matière et le législateur ne saurait empiéter sur son pouvoir de jugement. Cependant, le PLC proposera la mise en place de peines planchers pour les récidivistes afin d’assister à une véritable prise de conscience et une véritable sanction pour le condamné. Nous n’avons pas la possibilité de prévenir les infractions, nous pouvons seulement nous contenter de les dissuader dans les limites qui sont celles de l’Etat. Une justice équitable et efficace est la seule clé d’une bonne dissuasion.
Aujourd’hui, nous considérons que le système vacille, et qu’il vacillera toujours autant tant qu’aucune véritable mesure ne sera prise pour rendre à la justice toute son influence sur les individus. C’est pourquoi, le PLC proposera de mettre à disposition du juge la réclusion a perpétuité réelle pour l’ensemble des crimes de catégorie A, B, C et D commis sur le territoire de la République. Comment, aujourd’hui, un individu qui pose une bombe qui par chance n’explose pas dans la gare d’Aspen ne soit pas condamné à une peine de réclusion criminelle a perpétuité dans le sens que lui donne la langue française ? comment expliquer à un parent que l’auteur d’acte de barbarie et de viol suivi d’assassinat sur son enfant de 3 ans ne soit pas condamné à une perpétuité réelle ? Cela n’est tenable pour personne. Et je mets au défi quiconque d’humain de défendre la position inverse. Comment croire en la rédemption artificielle d’un détraqué sexuel auteur de 10 viols et assassinats d’enfants ? Combien de millions de pluzins d’impôts de nos concitoyens seront nécessaires pour que chacun se rendre compte de l’absurdité de la situation ? Mettez vous quelques instants à la place des parents d’une jeune fille violée et torturée avant d’être décapitée, comment réagiront-ils quand la justice que souhaitent nos adversaires proposera 20 ans de réclusion et une injonction de soins encore aux frais de l’Etat, donc du contribuable, donc de ces parents là ? C’est une honte, un scandale. Le PLC ne tolèrera pas cela une seule seconde de plus.
La mesure phare de noter programme en matière judiciaire pour nos adversaires, c’est probablement le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus odieux et les actes de terrorisme. Prenez l’exemple que je viens de citer juste avant. Comment ne pas prononcer la peine de mort pour un crime de cette intensité ? Comment tolérer que nos impôts aillent grassement payer la vie de cet individu dans une cellule de la République ? Cela est intolérable. C’est pourquoi, il apparaît comme sain et tout à fait normal pour nous de prôner le retour de la peine de mort pour les crimes les plus odieux et les actes de terrorisme car quiconque souhaite porter atteinte à l’Etat ou à la vie d’un ou plusieurs citoyens frôceux doit être puni de mort. Quand un danger est cerné, quand il est entre nos mains, abandonnons la solution pacifique, occupons nous réellement du problème et mettons un terme à cette menace. Je ne parle même pas pour les auteurs reconnus d’actes de terrorisme sur le territoire de la République. Que l’on fasse un referendum sur la question ? Aucun problème. Les exemples ne manquent pas et la population frôceuse est totalement en mesure d’apprécier à sa juste valeur le rétablissement de la peine capitale pour ces deux types d’infractions pénales gravissimes. Oui M. Peruzzi, le Petit livre rouge n’est jamais bien loin dans vos mains, vous le voyez, l’utilisation et le respect de la Constitution de notre République n’est en aucun cas une difficulté pour nous. Les juristes ne manquent pas, il n’est jamais trop tard pour effectuer des révisions quand celles-ci s’imposent.
Mais la justice, ca n’est pas seulement le Code pénal et ses sanctions, c’est aussi la protection des éléments clés dans nombre d’affaires pénales : les témoins. C’est pourquoi, par un système de subventions, financés par les économies que nous ferons en soins psychologiques inutiles, l’Etat apportera des aides envers les sociétés de protection de témoins qui sont en développement du fait tout d’abord de l’accroissement de la délinquance mais aussi du développement de la vengeance personne, ce que le PLC se refuse à accéder. Mais pour que cette confiance nécessaire envers la justice soit là, il faut que chaque frôceux puisse se sentir en sécurité avant de se retrouver dans un tribunal pour simplement exprimer ce qu’il a vu ou entendu. Il est bien plus urgent de protéger nos témoins que de protéger nos criminels.
Nos adversaires mentent, vous allez me dire, c’est une habitude, oui c’est vrai, mais là, il y a une mauvaise foi incroyable dans les propos tenus par les bolchéviques actuellement au pouvoir.
Ensuite, le PLC, soucieux de faire un état des lieux de la situation dans nos prisons et centres de détentions fermés, lancera un moratoire sur les conditions de vie des prisonniers. Car oui, mesdames et messieurs, aujourd’hui, un barbare sanguinaire passe ses journées devant une télévision, joue aux cartes, s’amuse et se permet des activités soit de bricolages soit sportives sans se souvenir, réellement et intérieurement, de la raison pour laquelle il est en prison. Le PLC ne tolèrera plus une seule seconde ce genre de largesses dans nos prisons. Nous proposons un moratoire pour discuter, ensemble, et sans les détenus qui n’ont rien à dire dans l’application d’une sanction pénale, des mesures a apportées pour rendre l’application d’une peine de prison véritable, et non plus comme un séjour dans un village de vacance. Il suffit de paraboles à côtés des fenêtres, il suffit de télévisions dans chaque cellule. Le PLC proposera la suppression, sauf, en cas de paiement surtaxé d’une redevance journalière en fonction de l’utilisation de cette télévision par un détenu. De plus, il n’est pas nécessaire pour un détenu de fabriquer des objets inutiles pour occuper son temps libre, il sera mis à disposition de la prison pour effectuer, chaque jour, et sans rémunération cela va de soit, une tâche d’intérêt général à l’intérieur d’une enceinte fermée pour les plus dangereux, et à l’extérieur dans un cadre néanmoins strict pour les détenus les moins dangereux, des primo délinquant ayant volé une voiture par exemple alors qu’ils sont encore dans la fleur de l’âge comme on dit.
Nous militons également pour création de Centre éducatif fermé pour mineurs. Ces centres auront une double vocation : d’une part, une fois la majorité pénale abaissée à 16 ans, la minorité pénale sera donc fixée à 16 ans ce qui rendra éligible à ces centres l’ensemble des délinquants de moins de 16 ans considérés au vu des actes commis comme étant très largement moins dangereux que des assassins de 17 ans qui n’auront rien à faire dans ce genre d’établissement. Ces centres répondront également à a question importante qui est de ne pas mélanger des criminels et des primo délinquants coupables d’une très légère infraction. Il en va tout d’abord de la sécurité de ces jeunes mais aussi de leur réintégration dans la société frôceuse ensuite car l’on sait très bien qu’un individu d’un jeune âge sera plus à même d’entrer dans la délinquance aggravée après quelques mois ou années au contact de dangereux criminels peut soucieux de l’avenir de ces jeunes.
Pour remplir l’ensemble des rôles et des nouvelles sanctions que la justice aura en charge avec l’application de notre nouveau modèle de société, diverses mesures administratives seront nécessaires. Premièrement, un recrutement massif de magistrats sera organisé sur les trois prochaines années afin de permettre à la fonction de retrouver ses lettres de noblesse d’une part, mais aussi et surtout de rendre le fonctionnement de notre justice bien plus performant. Cela se chiffre en plusieurs centaines afin d’obtenir une juste répartition territoriale notamment. Mais ce n’est pas tout, en effet il sera également nécessaire d’entamer une politique de réhabilitation des locaux des services judiciaires, j’entends par là le lancement d’une restauration à grande échelle de l’ensemble des tribunaux et Cours d’appel que compte notre pays. Nous proposons également une revalorisation salariale pour l’ensemble des services judiciaires qui connaissent aujourd’hui des conditions de travail difficiles et qui méritent, au nom de la reconnaissance de la société dans son ensemble, un nouveau statut. Nous estimons équitable qu’un individu tel qu’un magistrat puisse recevoir une rémunération à la hauteur des tâches et des compétences qui sont les siennes. La responsabilité qu’il implique est propre et il ne peut se déroger derrière aucun esprit de corporatisme, c’est pourquoi il est important de permettre des conditions de travail optimales. D’autant plus que nous lancerons un grand plan de construction de places de prison sur l’ensemble du territoire. Il sera notamment question, pour chiffré notre proposition, d’augmenter de plus de 30% le nombre de places actuellement en service dans le pays d’ici les prochaines années afin de répondre à divers phénomènes inquiétants d’augmentation de la délinquance, mais aussi à rendre la surpopulation carcérale moins importante.
Mesdames et messieurs, comme vous pouvez le voir, le PLC est au cœur de vos préoccupations et notre idée de la société frôceuse ne peut que se réaliser aux côtés d’une justice performante et juste. C’est là notre volonté et notre plus grand souhait pour la Frôce, permettre à chacun de croire dans notre justice commune.
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Ancien Président de la République
Ancien Premier ministre
Ancien Président de l'Assemblée Nationale
Ancien Ministre de l'Economie, des Finances et du Travail
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Re: [Législatives décembre] Débat justice
Chers Concitoyens,
La justice est notre bien à tous, et particulièrement aux plus faibles, qui ne peuvent que compter sur elle pour les défendre.
La justice est la seule garante de la République, de ses valeurs et idéaux.
Dépassant les faux semblants, et les volontés de retour en arrière, les propositions du RDS pour une justice au service des citoyens, une justice républicaine sont claire:
Nous défendons une Justice qui ne veut pas être la vengeance, mais la recherche de la vérité, pour cela, nous proposons d'encadrer les interrogatoires, et permettre aux présumés coupables de garder le silence en l'absence de leur avocat. Cette mesure que certains dénonceront et pourtant le socle permettant d'avoir des aveux réels, justifiés et valables pour le procèes. Des aveux obtenus dans ces conditions ne pourront être remis en cause apr la suite et éviter des scandales judiciaires.
Afin d'éviter tout débordement, nous prônons pour l'instauration d’un système de mandat d’arrêt et de perquisition uniquement sur décision de justice après présentation de l’enquête de la police aux Juges de Proximité. Ceci donnera une légitimité accrue aux forces de police chargée d'enquêter et de marcher main dans la main avec les autorités judiciaires.
En tant que Républicains et que Socialistes, nous ne pouvons tolérer que certains de nos citoyens ne soient pas en capacité de se défendre correctement. Afin de rendre juste la justice, nous mettrons en place une Aide Juridique d’État, allocation versée aux avocats d’individus ayant des revenus mensuels inférieurs à 2500 plz, permettant la prise en charge intégrale des frais de justice.
Je note les débats sur la peine de mort, que nous refusons totalement en tant qu'humanistes. La justice n'a pas a être aussi barbares que certains individus. Pour ceci nous défendons une hospitalisation d'office en cas de risque de récidive. Ceci est une vraie alternative eprmettant à la justice de faire son travail sereinement.
Mais parler de la justice, c'est aussi parler de la prison: Le RDS entend faire de la prison un lieu de privation de liberté, mais aussi et surtout un lieu de réinsertion pour éviter toute récidive. Les partis mettant en avant des mesures dite de choc devraient s'inspirer des exemples étrangers. Jamais uen sévérité idiote, non pédagogique n'a servi la société.
Pour cette raison, nous proposons le développement des travaux d’intérêt général pour les faits mineurs, ainsi que le développement du bracelet électronique pour les peines courtes (moins de 2 ans).
Nous ne devons également plus tolérer que les priosnniers soient mélangés, quelq eu soit leur délit ou crime, risquant de transformer un petit délinquant en un homme encore plus violent. pour ceci, le RDS défend la séparation des lieux d’emprisonnement selon le type d’infraction.
La réinsertion sera notre priorité pour la sécurité de toutes et de tous, avec des mesures concrètes, comme la mise en place d’une politique de réinsertion axée sur le suivi des détenus durant et après leur peine afin de favoriser le retour à la société; la création de Centres de Réinsertion Sociale des Détenus. mais aussi la mise en place d’ateliers artistiques de groupe au sein des prisons favorisant l’aspect créatif et la vie en groupe des individus et surtout la mise en place de cours en prison.
Le RDS entend réconcilier la justice avec les citoyens: la rendre dure avec ceux qui le méritent, mais la rendre aussi humaine afin de transformer nos délinquants en citoyens de demain, afin de rétablir la sécurité, le bien être dans notre République!!
La justice est notre bien à tous, et particulièrement aux plus faibles, qui ne peuvent que compter sur elle pour les défendre.
La justice est la seule garante de la République, de ses valeurs et idéaux.
Dépassant les faux semblants, et les volontés de retour en arrière, les propositions du RDS pour une justice au service des citoyens, une justice républicaine sont claire:
Nous défendons une Justice qui ne veut pas être la vengeance, mais la recherche de la vérité, pour cela, nous proposons d'encadrer les interrogatoires, et permettre aux présumés coupables de garder le silence en l'absence de leur avocat. Cette mesure que certains dénonceront et pourtant le socle permettant d'avoir des aveux réels, justifiés et valables pour le procèes. Des aveux obtenus dans ces conditions ne pourront être remis en cause apr la suite et éviter des scandales judiciaires.
Afin d'éviter tout débordement, nous prônons pour l'instauration d’un système de mandat d’arrêt et de perquisition uniquement sur décision de justice après présentation de l’enquête de la police aux Juges de Proximité. Ceci donnera une légitimité accrue aux forces de police chargée d'enquêter et de marcher main dans la main avec les autorités judiciaires.
En tant que Républicains et que Socialistes, nous ne pouvons tolérer que certains de nos citoyens ne soient pas en capacité de se défendre correctement. Afin de rendre juste la justice, nous mettrons en place une Aide Juridique d’État, allocation versée aux avocats d’individus ayant des revenus mensuels inférieurs à 2500 plz, permettant la prise en charge intégrale des frais de justice.
Je note les débats sur la peine de mort, que nous refusons totalement en tant qu'humanistes. La justice n'a pas a être aussi barbares que certains individus. Pour ceci nous défendons une hospitalisation d'office en cas de risque de récidive. Ceci est une vraie alternative eprmettant à la justice de faire son travail sereinement.
Mais parler de la justice, c'est aussi parler de la prison: Le RDS entend faire de la prison un lieu de privation de liberté, mais aussi et surtout un lieu de réinsertion pour éviter toute récidive. Les partis mettant en avant des mesures dite de choc devraient s'inspirer des exemples étrangers. Jamais uen sévérité idiote, non pédagogique n'a servi la société.
Pour cette raison, nous proposons le développement des travaux d’intérêt général pour les faits mineurs, ainsi que le développement du bracelet électronique pour les peines courtes (moins de 2 ans).
Nous ne devons également plus tolérer que les priosnniers soient mélangés, quelq eu soit leur délit ou crime, risquant de transformer un petit délinquant en un homme encore plus violent. pour ceci, le RDS défend la séparation des lieux d’emprisonnement selon le type d’infraction.
La réinsertion sera notre priorité pour la sécurité de toutes et de tous, avec des mesures concrètes, comme la mise en place d’une politique de réinsertion axée sur le suivi des détenus durant et après leur peine afin de favoriser le retour à la société; la création de Centres de Réinsertion Sociale des Détenus. mais aussi la mise en place d’ateliers artistiques de groupe au sein des prisons favorisant l’aspect créatif et la vie en groupe des individus et surtout la mise en place de cours en prison.
Le RDS entend réconcilier la justice avec les citoyens: la rendre dure avec ceux qui le méritent, mais la rendre aussi humaine afin de transformer nos délinquants en citoyens de demain, afin de rétablir la sécurité, le bien être dans notre République!!
- Richard Cypher
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Re: [Législatives décembre] Débat justice
M.Valbonesi, ce que vous nous proposer ici c'est une justice répressive, c'est bien cela? Au RDS nous préférons valoriser l'aide et la réinsertion plutôt que la répression. A quoi cela nous avancera? Cela va creuser le fossé entre les jeunes délinquants et la justice! Cela ne les dissuadera en aucun cas de commettre un acte puisqu'ils croiront qu'on les as abandonnés! Au contraire en proposant des réinsertions et des aides pour les délinquants, ils se sentiront à nouveau intégré à la Frôce et c'est justement cette seconde chance qui les dissuadera de tout perdre pour une récidive. Voila ce qui nous intéresse! Non pas de punir mais d'aider! Et c'est ce que nous ferons si nous somme élus! Il faut réconcilier les jeunes et la justice!
Maire de Farelle
Trésorier et Vice-Président du RSE
Président de la Fédération Frôceuse de Kayak
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- Dimitri Zemmour
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Re: [Législatives décembre] Débat justice
C'est n'importe quoi ce que vous dîtes Monsieur ! Les peines aujourd'hui ne sont pas respecter et nous voyons bien que même les petites peines ne sont pas appliquer, on nous parle de réintégration mais lorsqu'on nait tueur on reste tueur, du moins pour les récidivistes qui ne méritent que la peine de mort !
La perpétuité réelle doit être appliquer aussi, car les tueurs en série ne peuvent pas se balader en Froce librement aujourd'hui
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Re: [Législatives décembre] Débat justice
Plus de fermeté pour une plus grande cohésion sociale. Voici les maitres mots qui conduiront notre action en matière de justice et sécurité. Je suis ici pour parler de la réforme que nous souhaitons donner à la justice frôceuse. Trop laxiste, celle ci est devenu qu'un amusement pour les délinquants qui ne la craignent plus. Au pire, ils passeront entre les mailles du filet, au mieux ils n'auront pas été inquiéter un seul instant. Dès lors, notre action en terme de justice s'appuiera sur ces deux piliers :
Prévenir la récidive notamment chez les jeunes délinquants
Une justice plus ferme et une stricte application des peines
Pour ce faire, nous supprimerons les aménagements de peine ainsi que la liberté conditionnelle pour les personnes condamnées à trois ans ou plus de prison. Il est anormal que lorsqu'on commet des actes sévèrement punissables, que l'on puisse passer au travers en réduisant les peines comme on réduit une casserole sur le feu. c'est pourquoi il faudra également sanctionner plus fermement les primo-délinquants, notamment les jeunes, afin de les responsabiliser et d’éviter l’engrenage de la récidive. Nous considérons que chaque personne peu s'en sortir, et que la violence n'est pas innée. C'est une question de volonté et chacun doit être maitre de ses actes et être puni lorsque ses actes sont délictueux. En responsabilisant les jeunes délinquants, nous leur offrirons une chance de se réintégrer et d'espérer un monde meilleur, sans violence, sans vol, sans actes délinquants. C'est pourquoi nous créerons des centres spécialisés pour les mineurs délinquants afin de les sortir de leur environnement familial et social, en vue d'une meilleure réinsertion. Nous souhaitons également, toujours dans ce but de respobsabiliter supprimer l'excuse de minorité et instaurer la majorité pénale à 13 ans. Ah oui j'entends déjà la gauche crier au scandale, de nous dire que le droit de vote est à 18 ans, et la majorité pénale à 13 ans. Oui ! Car personne ne nait en voulant commettre des actes violents et ces actes doivent être assumés, même dès l'adolescence. Le droit de vote en revanche demande une réflexion qui ne peut se faire qu'à l'issu de l'âge adulte.
De plus nous sanctionnerons avec la plus grande sévérité tout appel à la désobéissance civile ou toute action visant à empêcher l’application des lois. Il est inacceptable aujourd'hui que des personnes ne respectent pas les lois en vigueur ou commettent des actes illégaux. Le code pénal doit être sévèrement revu, afin d'y incorporer des peines exemplaires qui dissuaderont tout délinquant de commettre des actes interdits.
Enfin en ce qui concerne le contrôle de la Justice, nous voulons permettre aux citoyens de saisir la Cour suprême en cas de faute d’un magistrat. Si un citoyen estime qu'un Juge ne respecte pas soit les droits de l'accusation ou de l'accusé, ou soit les procédures civils ou pénales, il apparait important qu'un contrôle soit réaliser par la plus haute instance juridique frôceuse, garante de la Constitution.
Voici donc le projet justice de notre programme qui est à mettre en relation avec le projet sécurité, les deux garantissant une société plus sure, plus équitable et plus juste pour nos citoyens.
Prévenir la récidive notamment chez les jeunes délinquants
Une justice plus ferme et une stricte application des peines
Pour ce faire, nous supprimerons les aménagements de peine ainsi que la liberté conditionnelle pour les personnes condamnées à trois ans ou plus de prison. Il est anormal que lorsqu'on commet des actes sévèrement punissables, que l'on puisse passer au travers en réduisant les peines comme on réduit une casserole sur le feu. c'est pourquoi il faudra également sanctionner plus fermement les primo-délinquants, notamment les jeunes, afin de les responsabiliser et d’éviter l’engrenage de la récidive. Nous considérons que chaque personne peu s'en sortir, et que la violence n'est pas innée. C'est une question de volonté et chacun doit être maitre de ses actes et être puni lorsque ses actes sont délictueux. En responsabilisant les jeunes délinquants, nous leur offrirons une chance de se réintégrer et d'espérer un monde meilleur, sans violence, sans vol, sans actes délinquants. C'est pourquoi nous créerons des centres spécialisés pour les mineurs délinquants afin de les sortir de leur environnement familial et social, en vue d'une meilleure réinsertion. Nous souhaitons également, toujours dans ce but de respobsabiliter supprimer l'excuse de minorité et instaurer la majorité pénale à 13 ans. Ah oui j'entends déjà la gauche crier au scandale, de nous dire que le droit de vote est à 18 ans, et la majorité pénale à 13 ans. Oui ! Car personne ne nait en voulant commettre des actes violents et ces actes doivent être assumés, même dès l'adolescence. Le droit de vote en revanche demande une réflexion qui ne peut se faire qu'à l'issu de l'âge adulte.
De plus nous sanctionnerons avec la plus grande sévérité tout appel à la désobéissance civile ou toute action visant à empêcher l’application des lois. Il est inacceptable aujourd'hui que des personnes ne respectent pas les lois en vigueur ou commettent des actes illégaux. Le code pénal doit être sévèrement revu, afin d'y incorporer des peines exemplaires qui dissuaderont tout délinquant de commettre des actes interdits.
Enfin en ce qui concerne le contrôle de la Justice, nous voulons permettre aux citoyens de saisir la Cour suprême en cas de faute d’un magistrat. Si un citoyen estime qu'un Juge ne respecte pas soit les droits de l'accusation ou de l'accusé, ou soit les procédures civils ou pénales, il apparait important qu'un contrôle soit réaliser par la plus haute instance juridique frôceuse, garante de la Constitution.
Voici donc le projet justice de notre programme qui est à mettre en relation avec le projet sécurité, les deux garantissant une société plus sure, plus équitable et plus juste pour nos citoyens.
Vera Kalachnikova
Вера Калашниковa
-- Présidente du Parti Républicain Frôceux --
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Re: [Législatives décembre] Débat justice
La majorité pénale à 13 ans, et pourquoi pas à 5 ans t'en qu'on y est Madame Kalachnikova.....Rien de concret dans vos propos pour lutter contre la récidive. De plus, vous entendez briser la spirale de la violence chez les primo-délinquants, et pour ceci vous proposez de les enfermer. Hé bien non, Madame, por briser cette spirale, il nous font au contraire encadrer ces jeunes, leur donner une instruction, une formation et pas de simples leçons de morale!!!
Quand aux propos de M. Zemmour, maître dans l'art de l'excès, je le laisse avec ses mots sur une espèce de déterminisme à la naissance....
Quand aux propos de M. Zemmour, maître dans l'art de l'excès, je le laisse avec ses mots sur une espèce de déterminisme à la naissance....
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Re: [Législatives décembre] Débat justice
M.Salinovitch, les mesures sévères en terme de justice ne gène que ceux qui ont quelque chose à se reprocher. Je n'ai rien à me reprocher, et tous les adolescents de 13 ans qui n'ont rien à se reprocher ne seront pas gêner par cette loi.
Dois je en tirer la leçon que vous soutenez la délinquance juvénile ? Je ne tomberai pas dans cette caricature, bien heureusement. Pour vous répondre, nous entendons bel et bien briser la spirale des primos délinquants. Comme je l'ai dit, nous devons les responsabiliser et un séjour en maison d'arrêt est un moyen de responsabilisation. Des peines plus importantes en cas de récidive sont une moyens de dissuasion qui aura pour effet de les responsabiliser. Qui voudrait retourner en prison ? Et pour plus longtemps.
Je pense que la gauche veut faire des prisons des milieux de bien être, ou les délinquants sont chauffés, logés, nourris, blanchis au frais du contribuable. Ce n'est pas acceptable. La prison doit être un lieu où personne n'a envie d'aller. Où personne n'a envie d'y retourner.
Dois je en tirer la leçon que vous soutenez la délinquance juvénile ? Je ne tomberai pas dans cette caricature, bien heureusement. Pour vous répondre, nous entendons bel et bien briser la spirale des primos délinquants. Comme je l'ai dit, nous devons les responsabiliser et un séjour en maison d'arrêt est un moyen de responsabilisation. Des peines plus importantes en cas de récidive sont une moyens de dissuasion qui aura pour effet de les responsabiliser. Qui voudrait retourner en prison ? Et pour plus longtemps.
Je pense que la gauche veut faire des prisons des milieux de bien être, ou les délinquants sont chauffés, logés, nourris, blanchis au frais du contribuable. Ce n'est pas acceptable. La prison doit être un lieu où personne n'a envie d'aller. Où personne n'a envie d'y retourner.
Vera Kalachnikova
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