AFP - Nouvelles de Salésie

[John Wilson]

Scandale Financier en Principauté de Salésie

Selon le journal « Le Salésien » paru en date du 13 février 2011, plusieurs personnalités frôceuses seraient impliquées dans un scandale financier, sans pour autant donner plus de précisions à ce sujet.
Seule information confirmée, Richard Gilbert, Conseiller Princier de la justice tiendra une conférence de presse en fin d’après midi.
Rappelons que la principauté de Salésie, dirigée par le Prince souverain Philippe II de Salésie, est située au Sud Est de la Frôce, et qu’elle représente depuis plusieurs années un véritable paradis fiscal prisé par de nombreuses entreprises et personnalités étrangères et notamment frôceuses.

[Richard Mathieu Phillippe Pierre Le Maud]

Richard déclara à un micro-trottoir, où quelques filles de joie exerçaient leur noble métier ancestral :

- Le Prince et son Conseiller ont le bon goût de s'appeler respectivement Philippe et Richard, comme moi, d'utiliser leur argent dans des hôtels de luxe, avec des femmes de luxe, comme moi, de placer leur argent dans des paradis fiscaux, comme moi. Ils sont aussi intelligents que moi. J'ai l'impression que l'on me plagie. Bon, excusez-moi, ou pas, de toute façon je m'en moque, j'ai une jeune femme à satisfaire, allez, poussez-vous...

[John Wilson]

Suite du Scandale Financier en Principauté de Salésie

Le 14 février avait lieu la conférence de presse du conseiller princier à la justice salésienne,Richard Gilbert. Il avait expliqué que sur demande du prince Philippe II le département financier du cabinet noir (sûreté de l’état) pour le volet international ainsi que la procureur princier pour le volet national avaient été chargés de mener une enquête administrative et judiciaire . Il avait aussi demandé aux Salésiens de collaborer pleinement à cette enquête. Il faut savoir que dans la législation salésienne un étranger ne peut être poursuivi devant les tribunaux que s’il y a eu enquête préalable du cabinet noir, seul service habilité à enquêter sur les ressortissants étrangers.

Les premiers éléments de l’enquête ont révélé qu'un cabinet d’avocats frôceux aurait fermé les yeux sur certains agissements suspects de la banque d’investissement Opuz Divinz, leur client lors d'une affaire, en échange de fortes sommes d’argent. Cet argent aurait été encaissé sous forme de conventions de prêts afin d'échapper à la vigilance des instances financières.