Réactions au Fil infos AIF

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

Louis-Damien avait reçu sa dépêche et après avoir lu la réussite de la rencontre entre le syndicaliste Menri et Vincent, il ne put être que réjoui. Voilà un conflit social qui était évité. Quant aux commentaires qui avaient suivi l'annonce, il n'en fut pas étonné. Callet qui parlait d'intérêt pour le pays et de vide à gauche... Vide qu'il persistait à alimenter à chaque fois qu'il prenait la parole sans argument. Et puis la Cossac qui ressortait la vieille économie poussiéreuse à bout de souffle. Enfin l'élément le plus sérieux restait la grêve de Bonneuil. Cet huluberlu n'avait pas l'air de voir que son acte, en déséquilibrant l'économie allait surtout précipiter de façon logique la privatisation? Evidemment que non. Mais pouvait-on en vouloir à un communiste de ne jamais parvenir à voir plus loin que le bout de sa faucille? Un discours allait devoir s'imposer... Sous peu.

[Sébastien Capell]

Interrogé sur la dernière dépêche AFP, le ministre du Développement Durable, Sébastien Capell, avait tenu à réagir :

J’ai été nommé, officiellement, membre de la Cour de Justice, le 1er août dans la soirée. J’ai d’ailleurs un message du président de l’époque, Isaac Echkol, pour le prouver. Avant cette date je n’avais pas accès à mon bureau de la Cour de Justice. Je me demande bien comment j’aurais pu participer à cette soirée, qui a eut lieu selon le magazine "Bouba" au mois de juillet.

De plus, je n’ai jamais rencontré le contre-amiral Saint-Philippe.

[May Maxson]

Je suis scandalisée qu'un tel personnage, aux mœurs plus que nauséabondes, ose prétendre aux fonctions qu'il occupe.
J'espère que monsieur Capell saura prendre ses responsabilités et laisser la place à des personnes plus fréquentables que lui-même, ou que le Premier ministre saura user de son autorité.

[Sébastien Capell]

Comme d'habitude, Mme Maxson et ses sbires accusent sans preuves. Je l'ai déjà dit il y a quelques heures, je ne pouvais pas me trouver dans mon bureau au mois de juillet, malgré ce que avance le magazine Bouba.

[Alain Akoub]

Le respect de la vie privé de Mr Cappel est sa première liberté.
Qu'un magazine s'adonne à de telles attaques est une chose grave. Mais elle prend une toute autre dimension dans la bouche d'un politicien. Les propos de Mr Maxson sont tout à fait déplacés. Des excuses publics devraient être présentés, si l'honneur n'avait pas quitté certains d'entre ceux qui s'expose pourtant aux suffrages populaires.
Mr Cappel ne devrait ni se justifier, ni même répondre à de pareils bassesses.

[May Maxson]

Il y a des moments où la vie privée ne concerne plus seulement la personne publique. Les valeurs morales de ceux qui nous gouvernent, ainsi que leur proximité avec des idéologies telles que le national-socialisme, ne sont pas seulement de l'ordre du privé, l'électeur a le droit le plus fondamental d'en être au courant.
De même, monsieur Akoub, je vous prierai à l'avenir de bien m'appeler madame Maxson, car vos allusions dégoûtantes sont bien plus déplacées que mon attachement à la moralité. Si l'un d'entre nous deux doit présenter des excuses, c'est vous-même, et à l'attention de toutes les femmes du monde que vous avez insultées en si peu de mots.

[Alain Akoub]

Mr Capell peut bien faire des saluts nazis dans sa chambre, nul n'a le droit de l'en délégitimer dans l'exercice de sa fonction. Peut il bien participer à des originalités sexuels en compagnie d'adultes consentants, que nul n'a droit de regard.
Seule une morale gangrénée et débarrassée de tout sens peut s'en sentir agressée. Les pulsions malsaines de voyeurismes n'ont pas de place en politique.

[Julien Vinel]

Interrogé sur « l’affaire » Cappel, Julien Vinel répondit :

La vie privée du président de la Cour de Justice m’intéresse très peu. Cependant si les faits sont exacts, une chose me pose un sérieux problème : le lieu de ces « activités ». Cela ne serait pas acceptable. Mais, jusqu’à preuve du contraire, ces faits ne sont pas établis.

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

Louis-Damien fut interrogé par un journaliste, lors d'un point presse, sur la question de la réélection de Vincent à son poste de Président de l'Assemblée Nationale :

- Vous me voyez ravi que l'Assemblée Nationale ait élu son Président, car le Gouvernement va pouvoir poursuivre son travail et soumettre ses projets à la législature. Quant au choix effectué par les Députés et les Représentants Parlementaires, cela ne regarde qu'eux et l'institution, je serais mal avisé de donner mon opinion.

[John Estrade]

John lâchât devant quelque journalistes

C'est une honte d'assister à de telles..."choses"...Moi à sa place, je me cacherais chez moi. Espérons juste que ces informations sont fausses sinon je plaint les futurs ministres et juges qui vont siéger dans des salles où il y à eu ces séances Hoo... c'est inqualifiable, c'est contre-nature...

Il s'arrêta sur une mine de dégout