L'émission débute sous les applaudissmeents du public
Mesdames, Messieurs, Bonsoir, merci de votre fidélité.
Ce soir, émission spéciale consacrée aux remous gouvernementaux.
Mais que se passe-t-il au gouvernement ?
Alors que l'AIF rapporte les réactions au discours du ministre des Affaires Étrangères, discours évoqué ici même en avant première, réactions hautement négatif, cette affaire fait des remous....au sein du gouvernement.
Le baptême du feu de notre ministre est sévèrement jugé par ses homologues étrangers. L'AIF évoque même une possible remise en cause de l'accord que notre pays avait signé avec la Fédération de Russie, permettant aux Frôceux de bénéficier de gaz à moindre frais, accord obtenu par le défunt Arthur Carapin.
Si les réaction à l'étranger sont négatives, on peut en dire autant des réactions en Frôce. Le leader de l'opposition, François Bertrand n'y va pas par quatre chemins , je cite « c'est absurde d'être aussi condescendant » et même « Le discours de notre courageux ministre me rappelle ceux d'un certain Ronald Reagan ou pire encore, d'un certain George W. Bush. Vraiment M. de la Tour, sortez de votre écran de télévision et informez vous de manière critique et lucide sur la situation. »
Si cette position n'est pas réellement surprenante, celle par contre de Benjamin McGregor l'est bien plus. En effet, je vous rappelle que monsieur McGregor est membre du même gouvernement que monsieur de la Tour, et que dit monsieur McGregor ? Nous l'écoutons :
Si ceci s'avère réel, nous sommes en droit d'être plus qu'inquiets quand à notre politique étrangère et surtout quand aux répercussions que des initiatives unilatérales, même louables, pourraient avoir.
Signe que le débat fait rage, monsieur de la Tour a réagit aux accusations lancées contre lui par son opposant et son allié. Concernant monsieur Bertrand, je cite « Je ne souhaite pas, au contraire de Monsieur Bertrand, laisser faire, laisser massacrer les populations civiles. Je ne suis pas de ceux qui faire une diplomatie de représentation (...)En tout cas, je m'étonne de voir que Monsieur Bertrand devient l'ami de pays dont la démocratie et les droits de l'Homme ne sont pas les meilleurs représentants. »
Le minimum que nous pouvons dire est que le débat ne vole pas haut du tout. Le ministre se met à attaquer François Bertrand tout azimut, mais de façon, on en conviendra très caricatural. On aurait pu s'attendre à des arguments de fond, monsieur de la Tour préfère dénoncer les propos du président de l'UDR en s'en moquant.
Quand à sa réponse à son collègue Mc Gregor, je vous laisse savourer:
Le ministre des Affaires Étrangères rappelle donc à l'ordre son collègue : manque de cohésion de groupe, problème de positionnement et manque de dignité dans l’exercice de ses fonctions, soutien aux dictatures, mais aussi cette petite pique : « notre ministre de l'Environnement ».
Monsieur de la Tour rappelle à Monsieur McGregor qu'il n'est que ministre de l'Environnement, poste bien moins glorieux et secondaire dans l'ordre protocolaire en comparaison avec sa responsabilité personnelle.
On savait que les deux hommes ne s'appréciaient guère, mais de là à voir ce spectacle....
Une autre réaction est venue ponctuer ces échanges, celle inattendue de notre discrète ministre de l’Économie, qui je cite sait où se trouve sa place au Gouvernement, rappelant à monsieur McGregor qu'il n'est pas le Premier Ministre.
On voit que les alliés de l'ARC et du RSLP s'unissent pour ramener le frondeur McGregor à la raison ?
On notera l'absence de réaction officielle du NPS.
Suite à toutes ces déclarations, nous pouvons parier sur un Conseil des Ministres où l'ambiance risque d'être orageuse.
Selon nos sources, G. Montgomery, le locataire de Tallard n'aurait d'ailleurs pas cacher son soutien à Benjamin McGregor dès l'ouverture du Conseil des Ministres. Il aurait d'ailleurs violemment condamner le discours de Charles de la Tour et demandé au Premier Ministre de condamner également ce discours, qu'il présente comme une initiative personnelle.
Il est à souligne le silence assourdissant du Premier Ministre qui voit de plus en plus son autorité se disloquer. Affaire à suivre....
Mesdames, Messieurs, Bonsoir, merci de votre fidélité.
Ce soir, émission spéciale consacrée aux remous gouvernementaux.
Mais que se passe-t-il au gouvernement ?
Alors que l'AIF rapporte les réactions au discours du ministre des Affaires Étrangères, discours évoqué ici même en avant première, réactions hautement négatif, cette affaire fait des remous....au sein du gouvernement.
Le baptême du feu de notre ministre est sévèrement jugé par ses homologues étrangers. L'AIF évoque même une possible remise en cause de l'accord que notre pays avait signé avec la Fédération de Russie, permettant aux Frôceux de bénéficier de gaz à moindre frais, accord obtenu par le défunt Arthur Carapin.
Si les réaction à l'étranger sont négatives, on peut en dire autant des réactions en Frôce. Le leader de l'opposition, François Bertrand n'y va pas par quatre chemins , je cite « c'est absurde d'être aussi condescendant » et même « Le discours de notre courageux ministre me rappelle ceux d'un certain Ronald Reagan ou pire encore, d'un certain George W. Bush. Vraiment M. de la Tour, sortez de votre écran de télévision et informez vous de manière critique et lucide sur la situation. »
Si cette position n'est pas réellement surprenante, celle par contre de Benjamin McGregor l'est bien plus. En effet, je vous rappelle que monsieur McGregor est membre du même gouvernement que monsieur de la Tour, et que dit monsieur McGregor ? Nous l'écoutons :
Monsieur McGregor met clairement en cause son collègue, et la cohésion même du gouvernement. La position défendue à New-York serait donc celle d'un parti, le 2ème de la coalition, et non celle du gouvernement? Et aucune concertation n'aurait donc eut lieu ?J'ai moi même du mal à croire que l'on ai pu s'exprimer devant l'ONU au nom de la Frôce et du Gouvernement frôceux sans même avoir consulté le Gouvernement sur la teneur du discours. Je ne sais pas si c'est réel, autorisé, où si j'ai été tenu à l'écart, mais pour moi, cela aurait plus normal. (...) Monsieur De La Tour devrait clairement agir en ministre de la République Frôceuse et pas en ministre des Affaires Etrangères de l'Alliance Républicaine et Citoyenne
Si ceci s'avère réel, nous sommes en droit d'être plus qu'inquiets quand à notre politique étrangère et surtout quand aux répercussions que des initiatives unilatérales, même louables, pourraient avoir.
Signe que le débat fait rage, monsieur de la Tour a réagit aux accusations lancées contre lui par son opposant et son allié. Concernant monsieur Bertrand, je cite « Je ne souhaite pas, au contraire de Monsieur Bertrand, laisser faire, laisser massacrer les populations civiles. Je ne suis pas de ceux qui faire une diplomatie de représentation (...)En tout cas, je m'étonne de voir que Monsieur Bertrand devient l'ami de pays dont la démocratie et les droits de l'Homme ne sont pas les meilleurs représentants. »
Le minimum que nous pouvons dire est que le débat ne vole pas haut du tout. Le ministre se met à attaquer François Bertrand tout azimut, mais de façon, on en conviendra très caricatural. On aurait pu s'attendre à des arguments de fond, monsieur de la Tour préfère dénoncer les propos du président de l'UDR en s'en moquant.
Quand à sa réponse à son collègue Mc Gregor, je vous laisse savourer:
La concorde doit vraiment régner au sein de ce gouvernement....Bientôt notre gouvernement n'aura plus besoin de son opposition.Vous savez, Monsieur McGregor a des difficultés avec la cohésion de groupe, avec la cohésion gouvernementale. Vous savez il y a des personnes comme cela qui, même si elles ne sont pas Premier Ministre ou Président de la République veulent tout savoir, donner leur accord sur tous, donner des directives à tout le monde. Ce fut déjà le cas lors de la mise en place des feuilles de route(...) Mais notre ministre de l'Environnement préfère sûrement un gouvernement de désunion, du moins un gouvernement sans Charles de la Tour et sans le Premier Ministre. Mais, cette personne ne m'intéresse pas plus que cela. (…) Après, si Monsieur McGregor soutient la répression du régime syrien, c'est son problème. Personnellement, je préfère condamner la guerre civile et appeler à la paix. Si je dois agir en ministre de la République frôceuse, mon collègue devrait agir en ministre, tout simplement.
Le ministre des Affaires Étrangères rappelle donc à l'ordre son collègue : manque de cohésion de groupe, problème de positionnement et manque de dignité dans l’exercice de ses fonctions, soutien aux dictatures, mais aussi cette petite pique : « notre ministre de l'Environnement ».
Monsieur de la Tour rappelle à Monsieur McGregor qu'il n'est que ministre de l'Environnement, poste bien moins glorieux et secondaire dans l'ordre protocolaire en comparaison avec sa responsabilité personnelle.
On savait que les deux hommes ne s'appréciaient guère, mais de là à voir ce spectacle....
Une autre réaction est venue ponctuer ces échanges, celle inattendue de notre discrète ministre de l’Économie, qui je cite sait où se trouve sa place au Gouvernement, rappelant à monsieur McGregor qu'il n'est pas le Premier Ministre.
On voit que les alliés de l'ARC et du RSLP s'unissent pour ramener le frondeur McGregor à la raison ?
On notera l'absence de réaction officielle du NPS.
Suite à toutes ces déclarations, nous pouvons parier sur un Conseil des Ministres où l'ambiance risque d'être orageuse.
Selon nos sources, G. Montgomery, le locataire de Tallard n'aurait d'ailleurs pas cacher son soutien à Benjamin McGregor dès l'ouverture du Conseil des Ministres. Il aurait d'ailleurs violemment condamner le discours de Charles de la Tour et demandé au Premier Ministre de condamner également ce discours, qu'il présente comme une initiative personnelle.
Il est à souligne le silence assourdissant du Premier Ministre qui voit de plus en plus son autorité se disloquer. Affaire à suivre....