Et après ?

[François Bertrand]

Campagne terminée ! Bravo !

Bravo à toi aussi, on a fait du beau boulot

HRP : Demain j'ai mon partiel et dès que j'ai fini, je pense me reposer et profiter du samedi soir. Je reviendrai en forme dimanche en négociant dans les tractations qui auront lieu.

[Angelina Fernandez]

HRP : Ok, bonne chance et bon weekend.

[Angelina Fernandez]

Avec un rapide calcul, cela va être compliqué pour la droite d'avoir un coalition stable, non ?

[François Bertrand]

Avec un rapide calcul, cela va être compliqué pour la droite d'avoir un coalition stable, non ?

En fait (je parle sous le contrôle du MJ Silvio) la droite est la seule capable de faire une alliance : UPF-AN/RDF/ADL

La gauche ne peut faire une coalition (même RSE/PSD/ARC) sachant que le RSE et le PSD s'entendent mal.

Maintenant il y a plusieurs Premiers ministrables :

- Asuka Finacci (peu probable)
- Arthur Carapin (assez probable)
- Valentino Borgia (s'il arrive à réunir en faisant oublier l'éclatement de la coalition lorsqu'il était PM)
et moi.

[Angelina Fernandez]

Donc soit Arthur soit toi

[François Bertrand]

Message d'Arthur Carapin :

Mes chers amis,

Les Frôceux ont enfin ouverts les yeux. Malgré les difficultés du premier gouvernement de droite depuis des années, ils n'ont pas été endormis par les sirènes des lendemains qui chantent que leur vendait la gauche.

Aujourd'hui, le message est clair: les Frôceux veulent d'une politique de droite, conservatrice, libérale économiquement.

Nous avons su mener une campagne respectueuse, sans tomber dans nos travers, sans nous combattre. Cette harmonie doit se poursuivre. L'union de toutes les forces de droite doit enfin avoir lieu, sans exclusive.

Aussi, au vu des résultats, je vous annonce ma candidature au poste de Premier Ministre.

Cette candidature a pour but de travailler, de rassembler le RDF, l'ADL, l'AN et l'UPF.

Qu'en pensez-vous?

Message d'Asuka Finacci :

Messieurs,

Le Président de la République m'a proposé d'entamer des consultations sur la formation d'un gouvernement. Il semble catégorique sur le fait qu'il n'est pas souhaitable de nommer de personnalité nationaliste.

Etant donné qu'il est impossible de former une majorité de centre-gauche "classique" ou de centre-droit n'incluant pas les nationalistes, j'ai pensé qu'il serait souhaitable d'ajouter le parti de droite le plus modéré à une coalition de centre-gauche.

Vu la nature inhabituelle de ce projet de coalition, il me parait nécessaire d'accorder la pleine autonomie à chaque ministre et de proposer le titre de ministre d'Etat à monsieur Bertrand.

Cette offre peut-être valable pour constituer un gouvernement durable ou un gouvernement de transition ayant notamment pour charge de renégocier la loi électorale jusqu'à des législatives anticipées selon la volonté des partis engagés.

En attente de votre réponse,

Salutations républicaines.

[Angelina Fernandez]

Je ne sais pas ce que tu penses faire mais les deux propositions sont à étudier. Comme tu l'as dis, cela va joueur sur notre position futur dans l’échiquier politique.

Pour Asuka, j'irai dans sa voie mais le centre et la droite doivent avoir le Ministère de l’Économie pour ne pas le laisser aux mains du RSE.

Pour Carapin, travailler avec les nationalisations peut créer des problèmes.

[François Bertrand]

J'ai répondu à la droite en faisant un peu de chantage.

Je leur ai dit qu'il y avait la menace d'avoir un gouvernement allant de la gauche au centre et que Vincent Valbonesi était décidé à ne pas nommer de Premier ministre nationaliste.
S'ils veulent que la droite soit au pouvoir, je me suis proposé pour être leur candidat à la tête du gouvernement. S'ils refusent, nous irons dans le sens de la proposition d'Asuka Finacci.

D'ailleurs ce que propose Asuka Finacci me semble convenable : il s'agit d'un gouvernement de transition avant une réforme permettant de changer le mode de scrutin électoral.

[Angelina Fernandez]

Ok, est-ce qu'il a répondu ?

[François Bertrand]

Carapin insiste, j'ai contacté Paul pour lui faire entendre raison en lui donnant quelques garanties.

Si Paul m'écoute, ça marche. S'il ne m'écoute pas, le futur Premier ministre sera socialiste.