[Législatives mars] Débat Environnement

[Angelina Fernandez]

Je ne suis pas sûr que la construction d'un tel tunnel soit très écologique et est des retombés très favorables sur notre environnement... Développer des bateaux plus propre permettrait de préserver l'environnement et augmenter le nombre de rotation permettrait de désenclaver un peu plus la Corse.

Le Rassemblement pour une Droite Forte souhaite aussi faciliter le développement de nouvelles technologies énergétiques par le secteur privé par de l'intéressement financier et des facilités d'expérimentations.

[Valentino Borgia]

Vous caricaturez Monsieur François.
Tout privatiser, n'est pas vendre au diable mais à des hommes comme vous et moi qui ont pour but de faire mieux toujours. Et en général, contrairement à l'Etat, lorsques ces hommes du privé construisent c'est qu'il y a un besoin.

L'ADL le dit et le répète. Le temps du gaspillage est terminé. L'ADL a lancé une mode et la perpétuera.

[Asuka Finacci]

Tout privatiser, c'est tout livrer à la culture du profit, si dans certains domaines, cette culture mène à une concurrence saine, dans d'autres elle est dangereuse et mène soit à une segmentation entre riches et pauvres soit à une baisse de la qualité pour les réductions de coût. Votre raisonnement est absolutiste plutôt que réfléchi, on attend autre chose que du simplisme pour diriger une puissance telle que la Frôce.

[Valentino Borgia]

Madame Finacci, j'ai dirigé ce pays et l'exercice que j'ai fait du pouvoir vous démontre que je suis tout sauf irréfléchi.

Des milliers de Frôceux ont encore leur emploi justement parce que j'ai mené une politique cohérente.

Depuis les réformes entreprises par le gouvernement que je menais, le pays ne s'est pas effondré à ce que je sache. Et pourtant, nous vivons tous sous l'ère économique libertarienne Madame Finacci, à l'heure même où nous parlons.

En terme environnement, cela se fera bientôt.

En terme de transport, idem, mêmes principes. L'idéologie n'a pas sa place dans ce domaine.

Ne parlons même pas de l'énergie qui doit faire place à une démarche réfléchie répondant à deux questions : le risque et le profit.
Quels risques ? et quels profits ?

[Asuka Finacci]

Vous n'avez pas été irréfléchi durant ce mandat car vous n'avez pas appliqué les pires points de votre programme, et bien que je n'aime pas les reniements, je serais tentée de dire que c'est tant mieux.

Vous parlez d'une ère libertarienne, je pense que vos collègues américains rigoleraient bien, aucune privatisation, et pour cause sans ça vous auriez eu toute la responsabilité dans l'affaire Sapporo-Gesca, les plus riches sont toujours imposés à 45 %, un taux qui leur provoquerait des ulcères, et tant mieux car c'est bénéfique à la redistribution. L'économie a pris un virage trop à droite, mais l'ère libertarienne dont vous parlez n'est qu'une formule.

[Valentino Borgia]

Pas de privatisation ? Regardez du côté des hôpitaux Madame Finacci et vous remarquerez que la réforme de Madame Tomas a permis la privatisation de certains hôpitaux.

Quant à l'ère libertarienne, non nous n'y sommes pas encore complètement, nous n'en sommes qu'au début. Vous avez raison.
Mais vous conviendrez qu'arriver à lancer toutes les réformes que j'ai lancé comme Premier Ministre en gouvernant avec les nationalistes est en soit un petit miracle.

[Fabio Martini]

La privatisation à outrance est une course aux profits. La course aux profits est très rarement en faveur de l'environnement mais plutôt à sa détérioration. Voulez vous que nous parlions des usines à charbon ? Des usines ne disposant pas de filtres antiparticules ?

[Asuka Finacci]

Je parlais des entreprises publiques ou partiellement publiques, pour moi les hôpitaux ne sont pas des entreprises, à ce sujet je sais que le sauvetage de Sapporo-Gesca est lié à la possession d'actions par l'Etat, preuve que l'ère libertarienne pure n'aurait pas que du bon.

Et faire avaler ces réformes aux nationalistes ne tient d'aucun miracle étant donné que vous avez vendu la peau de tous les immigrés aux nationalistes en reniant vos convictions.

[Valentino Borgia]

Le répéter à loisir n'en fera pas une vérité.

Les Frôceux sont conscients de ce qui a été fait. Et je referai cela, sans rien y changer si cela me permettait d'accomplir tout ce que j'ai pu faire avec le gouvernement en matière économique.

[Asuka Finacci]

Il n'y a pas besoin de le répéter, les frôceux peuvent voir d'eux-mêmes que vous avez vendu vos convictions rien qu'en lisant le projet Pastor.