L'émission débute sous les applaudissements du public.
Mesdames, Messieurs, bonsoir, merci d'être toujours plus nombreux à regarder votre émission d'analyse politique.
Désaccord au sommet
Alors que la crise écologique devrait cimenter notre gouvernement en manque total de cohérence, des désaccords assez importants sont apparus entre le premier ministre, en éternel manque d'autorité, et son ministre de l'Intérieur, véritable Iznogoud.
Le ministre de l'Intérieur avait proposé de faire participer l'armée aux opérations de déblaiements et de nettoyage des côtes et des zones sinistrées. Mais cela était sans compter sur notre Premier ministre, qui a déclaré qu'il n'y songerait que si la situation s'empirait. Le ministre Pappa n'a pas manqué de s'emporter une fois rentrer dans son ministère. Après du pétrole dans l'eau, de l'eau dans le gaz....Affaire à suivre !
Ligne d'arrivée....
Voilà, dans 24 heures, nous connaîtrons le nom de notre futur président, homme aux pouvoirs importants, loin du rôle d'arbitre qui lui était jusqu'ici réservé.
Deux candidats sont encore en compétition : à ma gauche, le social-démocrate reconverti en socialiste convaincu George Montgomery, à ma droite , le conservateur centralisé François Bertrand.
Alors que de nombreux commentateurs prévoyait une campagne morne, du fait du statut d'ultra-favori de George Montgomery, on doit reconnaître que cette campagne s'est faite avec plusieurs rebondissements. Prenons le cas des débats, puis des meetings et enfin des surprises.
Les débats : alors qu'au premier tour, le candidat socialiste dominait les débats sur ses concurrents libertariens et de centre-droit, faisant sortir de ses gonds François Bertrand, la situation s'est inversée au second tour. On a pu y voir un François Bertrand professoral, calme et posé et un George Montgomery assez remonté, la victoire si certaine devenant hasardeuse. Aux invectives et insultes ont succédé les propositions concrètes, ce qui a fait monter en gamme les débats et les a rendu agréables à suivre.
Les meetings : disons clairement qu'en matière de meetings, pas de mauvaise surprise. Qu'il s'agisse du candidat NPS ou du candidat UDR, les machines militantes que sont leurs partis ont fonctionné à plein et ont permis de produire des meetings de qualité, un peu trop show aux yeux du commentateur politique que je suis, et ne servant en réalité qu'à renforcer les militants présents, plutôt qu'à convaincre des Frôceux indécis.
Enfin, les surprises : je dois reconnaître qu'il s'agit de la partie que préfère un journaliste politique. Et là nous avons été servi. Dans ce champ, on ne peut que constater la longueur d'avance prise par François Bertrand.
Lors de ces meetings, George Montgomery a fait venir tout le ban et l'arrière-ban de la sociale-démocratie européenne, venus soutenir leur candidat, mais aucune surprise de taille nationale ou internationale.
Dans ce domaine, dès le premier tour la surprise a été présente dans l'autre camp. En effet, est venu soutenir François Bertrand dès le premier tour l'ancien premier ministre, Benjamin McGregor, aujourd'hui sans étiquette. A ce dernier, viennent s'ajouter au second tour Paul Rogin, pour l'ADL, Valentino Borgia qui est revenu sur ces propos et choisi de soutenir François Bertrand, mais aussi Caroline Askalovitch, ministre de l’Éducation Nationale, sans oublier le président sortant, membre fondateur du NPS de monsieur Montgomery, Marc de St Imberb.
Si certains peuvent juger, à tort ou à raison, ces ralliements comme autant de marques d'opportunisme, l'honnêteté doit nous conduire à dire que s'il s'agissait d'opportunisme, ces personnes auraient rejoint le favori. Ces ralliements sont la preuve du parti réussi de François Bertrand de vouloir rassembler au-delà de son camp, et viennent apporter un démenti complet aux accusations d'être un candidat partisan.
Ces surprises seront-elles suffisantes pour renverser la vapeur, ou George Montgomery résistera-t-il à toutes ces attaques, la réponse dans 24 heures.....
Affaire à suivre !
Mesdames, Messieurs, bonsoir, merci d'être toujours plus nombreux à regarder votre émission d'analyse politique.
Désaccord au sommet
Alors que la crise écologique devrait cimenter notre gouvernement en manque total de cohérence, des désaccords assez importants sont apparus entre le premier ministre, en éternel manque d'autorité, et son ministre de l'Intérieur, véritable Iznogoud.
Le ministre de l'Intérieur avait proposé de faire participer l'armée aux opérations de déblaiements et de nettoyage des côtes et des zones sinistrées. Mais cela était sans compter sur notre Premier ministre, qui a déclaré qu'il n'y songerait que si la situation s'empirait. Le ministre Pappa n'a pas manqué de s'emporter une fois rentrer dans son ministère. Après du pétrole dans l'eau, de l'eau dans le gaz....Affaire à suivre !
Ligne d'arrivée....
Voilà, dans 24 heures, nous connaîtrons le nom de notre futur président, homme aux pouvoirs importants, loin du rôle d'arbitre qui lui était jusqu'ici réservé.
Deux candidats sont encore en compétition : à ma gauche, le social-démocrate reconverti en socialiste convaincu George Montgomery, à ma droite , le conservateur centralisé François Bertrand.
Alors que de nombreux commentateurs prévoyait une campagne morne, du fait du statut d'ultra-favori de George Montgomery, on doit reconnaître que cette campagne s'est faite avec plusieurs rebondissements. Prenons le cas des débats, puis des meetings et enfin des surprises.
Les débats : alors qu'au premier tour, le candidat socialiste dominait les débats sur ses concurrents libertariens et de centre-droit, faisant sortir de ses gonds François Bertrand, la situation s'est inversée au second tour. On a pu y voir un François Bertrand professoral, calme et posé et un George Montgomery assez remonté, la victoire si certaine devenant hasardeuse. Aux invectives et insultes ont succédé les propositions concrètes, ce qui a fait monter en gamme les débats et les a rendu agréables à suivre.
Les meetings : disons clairement qu'en matière de meetings, pas de mauvaise surprise. Qu'il s'agisse du candidat NPS ou du candidat UDR, les machines militantes que sont leurs partis ont fonctionné à plein et ont permis de produire des meetings de qualité, un peu trop show aux yeux du commentateur politique que je suis, et ne servant en réalité qu'à renforcer les militants présents, plutôt qu'à convaincre des Frôceux indécis.
Enfin, les surprises : je dois reconnaître qu'il s'agit de la partie que préfère un journaliste politique. Et là nous avons été servi. Dans ce champ, on ne peut que constater la longueur d'avance prise par François Bertrand.
Lors de ces meetings, George Montgomery a fait venir tout le ban et l'arrière-ban de la sociale-démocratie européenne, venus soutenir leur candidat, mais aucune surprise de taille nationale ou internationale.
Dans ce domaine, dès le premier tour la surprise a été présente dans l'autre camp. En effet, est venu soutenir François Bertrand dès le premier tour l'ancien premier ministre, Benjamin McGregor, aujourd'hui sans étiquette. A ce dernier, viennent s'ajouter au second tour Paul Rogin, pour l'ADL, Valentino Borgia qui est revenu sur ces propos et choisi de soutenir François Bertrand, mais aussi Caroline Askalovitch, ministre de l’Éducation Nationale, sans oublier le président sortant, membre fondateur du NPS de monsieur Montgomery, Marc de St Imberb.
Si certains peuvent juger, à tort ou à raison, ces ralliements comme autant de marques d'opportunisme, l'honnêteté doit nous conduire à dire que s'il s'agissait d'opportunisme, ces personnes auraient rejoint le favori. Ces ralliements sont la preuve du parti réussi de François Bertrand de vouloir rassembler au-delà de son camp, et viennent apporter un démenti complet aux accusations d'être un candidat partisan.
Ces surprises seront-elles suffisantes pour renverser la vapeur, ou George Montgomery résistera-t-il à toutes ces attaques, la réponse dans 24 heures.....
Affaire à suivre !