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[FRANCOIS II] Prise d'otage au Soudan

Posté : 09 juil. 2013, 17:18
par Thomas François
Chers Ministres,

La prise d'otage a été revendiqué par le groupe Al-Shabbaab qui contrôle une partie de la Somalie voisine sur un site internet affilié. Dans son communiqué, ce groupe terroriste réclame du Gouvernement frôçeux la somme de cinq cents milles dollars contre la libération de la famille otage.

Je ne souhaite en aucun la mort des otages. Je ne souhaiterai qu'aucunes informations prises ne sortent d'ici pour ne pas ameuter les journalistes et par conséquent la vie même des otages.

Céder trop vite à leur chantage, c'est le risque de la multiplication des prises d'otages.

J'ai besoin de vous.

Re: [FRANCOIS II] Prise d'otage au Soudan

Posté : 10 juil. 2013, 01:09
par Debora Da Silva
100.000 $ par tête. La question n'est pas de savoir si nous avons les moyens de débloquer cet argent, mais de savoir ce qu'ils en feront. Cet argent devra être utilisé comme garantie, mais pas comme monnaie d'échange.

Quels sont les délais? Quels sont leur motif ou leur revendication?

Re: [FRANCOIS II] Prise d'otage au Soudan

Posté : 10 juil. 2013, 01:14
par Rosalinda Hanke
Nous devrions explorer la piste d'un assaut avec les autorités locales.

Par ailleurs, nous devrions nous assurer du soutien des autorités locales, nous avons eu des problèmes dans le passé avec le Soudan, s'ils ne coopèrent pas, nous avons une occasion de nous "débarrasser" d'un état voyou.

Re: [FRANCOIS II] Prise d'otage au Soudan

Posté : 10 juil. 2013, 20:33
par Jean-Sébastien Boremanne
Jean-Sébastien sursauta en entendant Rosalinda Hanke

Rosalinda, cela fait bien longtemps qu'il n'y a plus d'autorités locales ou nationales en Somalie. Et même si elles existaient encore, je pense que notre confiance devrait être plus que limité. Pour ce qu'il est de l'utilisation de la rançon, ne nous leurrons pas ... elle servira en premier lieu à acheter des armes et à préparer d'autres kidnappings. Nous devons privilégier la force tout en négociant, ce qui permettra de gagner du temps et ainsi de situer le lieu de détention des otages.

Re: [FRANCOIS II] Prise d'otage au Soudan

Posté : 11 juil. 2013, 16:08
par Léon Boniface
Je pense que Rosalinda faisait référence aux autorités locales du Soudan et non de Somalie si j'ai bien compris.
Il est hors de question pour ma part que cette prise d'otages devienne le prétexte d'une intervention pour éjecter le régime en place, si l'on parle bien sur du Nord Soudan, le Grand Soudan ayant été subdivisé en deux pays distincts.

Re: [FRANCOIS II] Prise d'otage au Soudan

Posté : 11 juil. 2013, 18:09
par Thomas François
Je ne veux pas la vie de nos otage plus en danger qu'elle ne l'ai. De plus, il est hors de question de céder au chantage financier aussi facilement.

Nous devions entamer un premier contact avec les ravisseurs.

Re: [FRANCOIS II] Prise d'otage au Soudan

Posté : 11 juil. 2013, 19:06
par Jean-Sébastien Boremanne
Je rejoins tout à fait les analyses de Léon et du Premier ministre. Il ne faut pas que nous nous lançions dans une croisade contre le gouvernement du Nord Soudan. Pour le premier contact avec les ravisseurs, je propose que nous appuyons sur nos diplomates en poste au Nord Soudan et sur nos services de renseignements.

Re: [FRANCOIS II] Prise d'otage au Soudan

Posté : 12 juil. 2013, 22:37
par Rosalinda Hanke
Béchir est un criminel qui a déjà laissé faire une prise d'otage sur un président frôceux.

S'il ne met pas de la bonne volonté sur ce coup-ci, ce serait un signe de faiblesse de ne mener aucune représailles.

Re: [FRANCOIS II] Prise d'otage au Soudan

Posté : 13 juil. 2013, 00:41
par Debora Da Silva
Il nous faut à tout pris éviter le bain de sang. Il faut garder l'intervention militaire en ultime recours.
L'heure est à la négociation. Ils ne prendront pas le risque d'avoir un énnemi à leur porte (par rapport au Soudan).

Re: [FRANCOIS II] Prise d'otage au Soudan

Posté : 13 juil. 2013, 01:43
par Rosalinda Hanke
Bien sûr que la priorité est la négociation, je pense cependant que nous devrions convenir du fait qu'il doit y avoir représailles si la négociation est entravée par les autorités soudanaises.