Frôce - Archives V2

Seuls les MJ, Alessandra et moi-même pouvons intervenir sur ce sujet

Suite à l'appel de félicitations de Mario Monti, président du conseil, nous souhaitons être reçu par lui, ou son représentant en cas de problème d'emploi du temps afin de discuter des rapports entre nos deux pays et plus particulièrement d'un traité dispensant de visa les frôceux en Italie et les italiens en Frôce.

1,4,5 : Mario Monti se charge lui-même de l'accueil.
2,6 : Son Ministre des AE s'en occupe.
3 : L'ambassadeur frôceux se charge de l'accueil, mais conseille de revenir plus tard à cause d'une surcharge d'emploi du temps pour le Gouvernement italien.

Ambiance :

1 : Très chaleureuse
2,4,5 : Chaleureuse
3 : Un peu froide, à cause de la présence de Gavroche, qui avait soutenu le rattachement de la Sicile !
6 : Neutre

Alors que l'avion diplomatique frôceux se posait à Rome, sur une piste privée, Mario Monti sortit de sa voiture de fonction et marcha vers la rampe d'accès pour accueillir ses visiteurs. Quand Gavroche et Alessandra arrivèrent sur le tapis rouge déroulé pour l'occasion, Mario Monti s'avança et leur fit une franche poignée de main. Tout sourire, il posa avec ses homologues pour les journalistes présents et les salua chaleureusement :

- Monsieur Finacci, Madame Gasparini, je vous souhaite la bienvenue en Italie ! C'est un plaisir pour moi de vous accueillir au nom du peuple italien et de l'amitié qui nous unit. J'espère que votre voyage a été agréable et que vous avez faim. J'ai en effet fait préparer un repas avec certains membres de mon Gouvernement, un repas modeste, bien entendu, vous savez, avec la crise...

Ce plaisir est partagé, monsieur le président du Conseil, nos deux peuples partagent des liens historiques importants, et je suis particulièrement heureux que nous nous inscrivions dans cette continuité. Je comprends le choix la modestie pour le repas, c'est une période particulièrement compliquée pour l'Italie et si de meilleurs rapports entre nous deux pays pouvaient être favorables au sort des italiens, j'en serais comblé.

- Et moi donc pensez-vous ! Cette crise est compliquée, mais nous parviendrons à la surmonter. L'Italie est une grande nation, elle a connu des épreuves bien plus difficiles ! Mais nous aurons tout le temps d'en discuter posément. Je vous propose de déjeuner et ensuite de nous entretenir directement dans mon bureau, êtes-vous d'accord avec ce programme ?

Il observa les deux ministres frôceux, à tour de rôle, en affichant toujours son sourire ravi.

Aucun souci, monsieur le président du conseil, déjeunons donc.

Après un trajet sans encombre, Mario Monti reçoit Gavroche et Alessandra dans son salon privé, en compagnie d'autres personnalités :


1 : Les ministres les plus importants sont présents
2,3 : Seuls les ministres de l'intérieur, de l'économie et des AE sont présents
4,5 : Pareil qu'au dessus, avec en plus quelques députés.

Ambiance :

1 : Un peu plus frileuse.
2,4 : Neutre
3,5 : Chaleureuse

L'ambiance étant un peu frileuse, Mario Monti en profite pour placer ses invités et leur parler de quelques banalités. Alors qu'on allait servir l'entrée, il s'enquit de la santé d'Asuka :

- Monsieur Finacci, comment se porte votre épouse ? Nous avons appris ce qu'il s'est passé, quel drame ! Si nous pouvons vous aider à cette enquête n'hésitez pas, ce sera avec plaisir !


1 : Le Ministre de l'Intérieur grimace légèrement.
2,3 : Il acquiesce avec énergie.
4 : Il reste attentif et ne montra aucune réaction.

Dieu merci, elle va bien, mais hélas, tout le monde n'a pas eu sa chance. Si vous pouvez nous aider par un quelconque moyen ce serait bien sûr une joie, je reconnais que la police frôceuse n'est pas la plus efficace du monde au vu des troubles par lesquels nous sommes passés, mais je ne voudrais pas qu'une affaire qui n'a rien à voir avec l'Italie soit coûteuse à votre pays en une période si compliquée.