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Communiqués de la Vice-présidence du PPL
Posté : 11 sept. 2012, 22:23
par Yékèlz Tolöî
Communiqués en provenance de la Vice-présidence du Parti Pour la Liberté.
Re: Communiqués de la vice-présidence du PPL
Posté : 11 sept. 2012, 22:46
par Yékèlz Tolöî
Réaction de Yékèlz Tolöî, vice-président du Parti Pour la Liberté, suite à la composition du nouveau gouvernement :
Une fois de plus, la Frôce à mal.
Une fois de plus, la Frôce souffre de l'intelligencia socialiste qui ne cesse de multiplier alliances, contrats et ententes pour gouverner à tout prix un pays qui a tant besoin de réformes et de courage.
Alors que le PDF, grand gagnant des dernières législatives, nous promettait pendant la campagne de la stabilité, de l'honnêteté et du changement, voici que Monsieur Finacci compose une alliance avec le PSD et le RSE pour former un gouvernement ultra-socialiste. Le mot "centre" était déjà bien trop à droite pour qualifier le programme du PDF, nous voilà maintenant sûrs de nas pas nous être trompé : le PDF menera bien une politique de gauche, avec la gauche. Le rêve était trop beau : une liste centriste, se réclamant indépendante de tout parti, qui mène une campagne sérieuse et s'affiche intelligement hors de l'opposition "bloc de droite" contre "bloc de gauche", et parvient à séduire une grande partie des Frôceux, créant une attente et un espoir immense chez beaucoup d'entre eux. Le leurre n'aura durer que peu de temps; on ne peut évidemment pas gouverner avec 63 députés. Il fallait alors faire un choix : choisir de gouverner afin de prendre en compte toutes les sensibilités politiques du pays (notamment un éléctorat de droite déjà ignoré depuis plusieurs éléctions), ou s'allier avec l'éternelle armada socialiste et appliquer les traditionnelles politiques clientélistes et utopistes, comme le fit le RPR il y a quelques mois. On connaît malheureusement la suite. Le PDF à donc choisit, en dépit de sa victoire, de devenir le nouveau fifre du PSD. Ce PSD qui, à chaque éléction, parvient à s'allier avec le vainqueur, parvient à se maintenir au pouvoir, quitte à tourner sa veste (les conflits RSE - PSD s'oublient décidemment vite !) et à aller contre ses propres paroles.
Comment blâmer le RSE, qui revient de loin. Qui aurait, à leur place, refusé une telle opportunité : participer au gouvernement en faisant sensiblement le même score qu'un parti comme le PPL, premier parti d'opposition ? Sûrement des hommes honnêtes et courageux, fiers de leurs valeurs et de ce qu'ils représentent. On comprend donc aisemment leur choix.
Dans ce nouveau paysage politique, tout ce qui n'est pas à droite est beau, est merveilleux, est récompensé : on offre des postes à tout va (Gasparini à La Défense, attendons le massacre), on arrose les nouveaux "amis" et alliés (Fontaine à la Justice, Cypher à la santé), et on sait même recevoir les nouveaux (St Imberb à la Culture) ! On se félicite même de posséder 68% des sièges à l'Assemblée. Il faut dire que ces partis comptent bien plus vite le nombre de sièges qu'ils possèdent que le nombre de Frôceux qu'ils méprisent et ne représentent pas dans leur gouvernement.
Apogée de l'hypocrisie : dans ce nouveau paysage politique, on se permet même de condamner le PPL qui tente de mener le front de l'opposition en mobilisant toutes les forces de droites. Non pas par opportunisme, soif de reconaissance ou perdition politique : mais bel et bien pour empêcher de nouveau gourvenement de faire encore plus de mal à la Frôce.
Le PDF et ses alliés socialistes éxultent et montrent leurs vrais visages :
Exit les promesses de campagne, exit l'indépendance, exit les fameux "politiciens au service des Frôceux". Et bonjour la misère politique.
Nous étions en campagne, nous sommes aujourd'hui en lutte.
Re: Communiqués de la Vice-présidence du PPL
Posté : 15 sept. 2012, 21:14
par Yékèlz Tolöî
Réaction de Yékèlz Tolöî, vice-président du Parti Pour la Liberté, suite à l'éléction du Président de l'Assemblée Nationale.
L'embargo politique continue en Frôce.
Après avoir mis en place une alliance odieuse empêchant toute force politique qui ne serait pas de gauche de se faire entendre, l'omerta centro-socialiste vient une nouvelle fois de faire comprendre aux frôceux qu'aucun échappatoir à la politique socialiste ne serait envisageable.
L'alliance tripartite vient en effet de récidiver, pour élire le président de l'Assemblée Natinale en la personne d'Elise Lantier, personnalitée du RSE qui a mené la campagne pour son parti lors des législatives.
Le poste lui semblait promis, puisqu'elle fut la seule candidat du "bloc" en liste, face au député PPL Jean-Baptiste Marshall.
Ce titre de Président de l'Assemblée Nationale, bien qu'exposant son détenteur à une large exposition politique et médiatique, semble pourtant ne pas être en mesure d'empêcher un gouvernement d'agir ou de prendre une quelconque décision changeant la norme dans notre pays. A quoi bon, donc, vouloir absolument confier ce rôle à une personnalité de gauche ? Nous conaissons malheureusement la réponse, qui pourraît s'illustrer par des mots tels que Diktat (dans sa version la plus Allemande du terme) ou "petits arrangements entre amis".
Le message envoyé par les trois partis au pouvoir semble désormais clair : pas de place pour les autres personnalités politiques, quelle que soit leur expérience ou leurs opinions.
L'alliance prend le dessus sur tout. De toutes façons, l'alliance est au dessus de tout. Au revoir convictions, sagesse, indépendance et tolérance.
Nous attendons donc désormais de savoir à qui sera attribué le poste de Président de la République ? Qui a donc assez choyé les résultats du PDF et la campagne de Finacci pour obtenir ce poste, sensé être au dessus des partis ?
L'avenir proche nous le dira.
Re: Communiqués de la Vice-présidence du PPL
Posté : 27 sept. 2012, 22:25
par Yékèlz Tolöî
Communiqué de la vice-présidence du PPL suite à l'attitude anti-démocratique scandaleuse du gouvernement
Mes chers concitoyens et compatriotes, amoureux de la démocratie et fervents défenseurs de nos libertés les plus chères;
des heures sombres s'abattent aujourd'hui sur la Frôce, par le biais d'un gouvernement de plus en plus en contradiction et de plus en plus opposé à toute forme d'opposition et de débat.
Aujourd'hui, en plein mandat, le ministre de l'économie George Montgomery a ouvertement refusé de débattre de ses projets de loi à l'Assemblée Nationale, sous justification que le débat avait déjà était mené en place publique.
Celui-ci n'a d'ailleurs absolument pas pris en considération les arguments, exemples, prévisions et reproches faites à son texte par l'opposition, et même par des membres de son propre camp politique (qui, rappelons le, s'élargit de l'extrême gauche au pseudo-centre).
Le gouvernement veut nous faire comprendre, par cet odieux moyen de refus du débat, que vos députés démocratiquement élus ne servent à rien. Non, je n'éxagère pas ou n'altère pas les réalités. Vos députés sont élus et perçoivent un salaire pour présenter, ARGUMENTER, et défendre des projets, afin d'offrir à la Frôce les meilleurs lois et textes de lois pour son avenir. Il est de la responsabilité de chacun de prendre ne compte les avis opposés et de mener une politique crédible et concertée. Ces messieurs de la majorité sont en désaccord avec cela.
Monsieur de George Montgomery considère donc qu'un débat public (aussi houleux soit-il) sur un projet de loi suffit à valider celui-ci, sans concerter l'Assemblée Nationale, représentative du peuple. L'approbation de son macro, monsieur Finacci, suffit donc à obtenir le feu vert. Belle épreuve démocratique !
Ajoutons à celà les récentes contradictions observées dans l'opposition : critiques envers Madame Lantier -qui a nommé Jean-Baptiste Marshall au poste de Vice-Président de l'Assemblée Nationale- par ses alliés, un ministre de la santé qui présente un projet auquel est opposé le PSD, Madame Gasparini lynchée en place publique par ses alliés pour son attaque envers un Juge de la Cours Suprême, projets de loi en contradiction avec les discours de campagne de Finacci...
Ce gouvernement découlant d'une union factice et opportuniste semble donc à bout de souffle, et se comporte sur la défensive en refusant tout réel débat, en mettant sur la touche les opposants et en feignant ne pas comprendre les appels à la sagesse qu'il reçoit.
Et pendant ce temps, c'est la Frôce qui souffre.