Salon du Premier Ministre (PM, Mr Dellas,Mme Van de,Mr Milo)
Posté : 10 févr. 2012, 12:55
Laurent de Montredon a invité ses collaborateurs et en particulier Monsieur de Milon, Monsieur Dellas et Madame Van de Sensualist pour un conseil réduit.
Madame, messieurs,
Je vous ai convié car je souhaite que l'on discute en comité réduit des mesures que l'on peut prendre pour assurer à la Frôce une stabilité économique durable.
Je suis conscient que les solutions préconisées par Monsieur de Milon ne seront pas les mêmes que celles préconisées par Madame Van de Sensualist mais je souhaite que l'on trouve un terrain d'entente.
Il est évident que, dans un premier temps, les mesures voulues par Monsieur de Milon ont, pour nous gens de gauche, le terrible défaut de faire du mal aux classes populaires.
Et il est évident que les mesures préconisées par certains politiques de gauche se font, selon les politiques de droite, au détriment de l'économie du pays.
Je pense que ces deux visions peuvent trouver des points communs. C'est pour ça que nous sommes ici également.
Geler le SHG est une chose mais elle n'est pas l'unique manière de parvenir à nos fins. D'autant plus que, les prix augmentant, nous donnons un premier signal peu agréable aux classes populaires.
Pour moi il est hors de question de laisser des gens dans la misère, le froid, de les priver d'un revenu correct. Si j'ai accepté de geler le SHG, c'est parce que j'ai considéré que celui ci avait permis aux petits revenus d'améliorer considérablement leurs précédents salaires au moment de la création du SHG.
Désormais, il nous faut trouver des solutions qui prendront également l'argent où il se trouve.
Si nous devons freiner les réformes sociales, nous ne devons pas pour autant reculer sur les avancées qui ont été faites dans ce domaine dernièrement.
Par exemple, je m'opposerai toujours à la baisse du SHG. Le devoir des politiques n'est pas de faire marche arrière. Et surtout pas d'aller constamment dans le sens de ce qui nous environne. Je veux dire par là que l'augmentation de l'inflation peut également être dûe à autre chose que la politique menée dernièrement. Nous vivons dans un contexte très instable au niveau de l'économie mondiale. Notre économie qui s'aligne également sur celle des pays du Maghreb a logiquement été affectée par le printemps arabe, sans oublier que l'Europe, à laquelle nous sommes traditionnellement et culturellement attachés, subit l'une des pires crises de son histoire.
J'aimerais donc que l'on soit constructif et que nous ne tombions pas dans le réflexe de la panique et des mesurettes à court terme.
Madame, messieurs,
Je vous ai convié car je souhaite que l'on discute en comité réduit des mesures que l'on peut prendre pour assurer à la Frôce une stabilité économique durable.
Je suis conscient que les solutions préconisées par Monsieur de Milon ne seront pas les mêmes que celles préconisées par Madame Van de Sensualist mais je souhaite que l'on trouve un terrain d'entente.
Il est évident que, dans un premier temps, les mesures voulues par Monsieur de Milon ont, pour nous gens de gauche, le terrible défaut de faire du mal aux classes populaires.
Et il est évident que les mesures préconisées par certains politiques de gauche se font, selon les politiques de droite, au détriment de l'économie du pays.
Je pense que ces deux visions peuvent trouver des points communs. C'est pour ça que nous sommes ici également.
Geler le SHG est une chose mais elle n'est pas l'unique manière de parvenir à nos fins. D'autant plus que, les prix augmentant, nous donnons un premier signal peu agréable aux classes populaires.
Pour moi il est hors de question de laisser des gens dans la misère, le froid, de les priver d'un revenu correct. Si j'ai accepté de geler le SHG, c'est parce que j'ai considéré que celui ci avait permis aux petits revenus d'améliorer considérablement leurs précédents salaires au moment de la création du SHG.
Désormais, il nous faut trouver des solutions qui prendront également l'argent où il se trouve.
Si nous devons freiner les réformes sociales, nous ne devons pas pour autant reculer sur les avancées qui ont été faites dans ce domaine dernièrement.
Par exemple, je m'opposerai toujours à la baisse du SHG. Le devoir des politiques n'est pas de faire marche arrière. Et surtout pas d'aller constamment dans le sens de ce qui nous environne. Je veux dire par là que l'augmentation de l'inflation peut également être dûe à autre chose que la politique menée dernièrement. Nous vivons dans un contexte très instable au niveau de l'économie mondiale. Notre économie qui s'aligne également sur celle des pays du Maghreb a logiquement été affectée par le printemps arabe, sans oublier que l'Europe, à laquelle nous sommes traditionnellement et culturellement attachés, subit l'une des pires crises de son histoire.
J'aimerais donc que l'on soit constructif et que nous ne tombions pas dans le réflexe de la panique et des mesurettes à court terme.