[20/12/10] Visite du Président de la République
Posté : 22 déc. 2010, 00:34
HRP : Les évènements se passent le 20 décembre, je n'ai pas faire le sujet avant.
C'est au terme d'un voyage en avion que le Président de la République et son Porte-Parole, Arthur Perry arrivèrent à Lônes où une foule les attendait dans la bonne humeur. Avec l'aide de diverses associations locales et du Maire, on avait réussi à réunir de nombreux enfants et une troupe de parents aux visages certes préoccupés par leur condition mais heureux qu'on pense à eux. Après avoir salué l'amas de personnes de gestes de la main, Arthur et Louis-Damien furent conduits à la Maire de la ville où la distribution de cadeaux était annoncée. Lacroix avait chaleureusement salué la foule et le dirigeant de la ville puis il avait ensuite choisi de faire un discours :
- Je vous remercie à tous pour votre accueil, ma foi très enthousiaste. Je suis honoré d'être ici et à la fois non mécontent. C'est qu'il y a une sacrée différence de degrés actuellement entre Aspen et Lônes.
Des rires remontent de la foule alors qu'il poursuit :
- C'est aussi l'occasion pour moi, aujourd'hui de pouvoir expliquer les différents rendez-vous prévus par le Palais d'Anthelme, en Frôce. Vous ne vous y trompez pas, il n'existe pas à proprement parler de fête de la famille. Je l'appelle de mes voeux et l'appelation de cette fête est à titre purement indicatif, on pourrait l'appeler la fête des cadeaux, la fête de la solidarité. Mon but était de rendre le sourire aux familles qui sont défavorisées, rendre une période de fin d'année plus agréable aux enfants qui vivent dans des quartiers pauvres. J'ai bien conscience que cela ne va pas balayer leur misère du jour au lendemain. En tant que Chef d'Etat, j'ai suffisamment d'importance pour mettre en lumière un défi à relever et pour rompre un silence indigne de notre jeune République. La misère n'est pas muette et immatérielle, elle a un visage, celui de personnes fatiguées au quotidien par les aléas de la vie mais qui pour autant ne baissent jamais les bras. Le quotidien n'est pas tendre et pourtant chaque coup les rend plus forts, chaque entrave vous fait avancer. Le climat de fêtes, celui de Noël, pour ceux qui la célèbrent, est propice à toute forme de solidarité. C'est la période où les gens se retrouvent où l'on partage et où l'on offre à d'autres une part de soi, quelque chose. Les cadeaux semblent parfois dérisoires mais toute attention est importante, car elle montre que l'on se soucie d'une personne, que l'on souhaite lui faire plaisir, effacer pour un instant son quotidien difficile, lui offrir une main tendue. Tout le monde a le droit au bonheur et en braquant les projecteurs, en donnant un visage à cette misère et à cette pauvreté, nous ne faisons que mieux nous armer pour la combattre. Car c'est bien cela la finalité, combattre la misère jusqu'à son extinction. Et en attendant, rendons aux visages leurs sourires, amenons à ces personnes trop souvent ignorées, la preuve que nous ne les oublions pas. C'est cela que nous devons mettre en avant au delà de toute croyance religieuse, pour porter une valeur juste. Vos visages, vos sourires, cela me suffit personnellement comme cadeau.
Après une salve d'applaudissements, Louis-Damien commença la distribution de cadeaux, les enfants devenant particulièrement impatients.
C'est au terme d'un voyage en avion que le Président de la République et son Porte-Parole, Arthur Perry arrivèrent à Lônes où une foule les attendait dans la bonne humeur. Avec l'aide de diverses associations locales et du Maire, on avait réussi à réunir de nombreux enfants et une troupe de parents aux visages certes préoccupés par leur condition mais heureux qu'on pense à eux. Après avoir salué l'amas de personnes de gestes de la main, Arthur et Louis-Damien furent conduits à la Maire de la ville où la distribution de cadeaux était annoncée. Lacroix avait chaleureusement salué la foule et le dirigeant de la ville puis il avait ensuite choisi de faire un discours :
- Je vous remercie à tous pour votre accueil, ma foi très enthousiaste. Je suis honoré d'être ici et à la fois non mécontent. C'est qu'il y a une sacrée différence de degrés actuellement entre Aspen et Lônes.
Des rires remontent de la foule alors qu'il poursuit :
- C'est aussi l'occasion pour moi, aujourd'hui de pouvoir expliquer les différents rendez-vous prévus par le Palais d'Anthelme, en Frôce. Vous ne vous y trompez pas, il n'existe pas à proprement parler de fête de la famille. Je l'appelle de mes voeux et l'appelation de cette fête est à titre purement indicatif, on pourrait l'appeler la fête des cadeaux, la fête de la solidarité. Mon but était de rendre le sourire aux familles qui sont défavorisées, rendre une période de fin d'année plus agréable aux enfants qui vivent dans des quartiers pauvres. J'ai bien conscience que cela ne va pas balayer leur misère du jour au lendemain. En tant que Chef d'Etat, j'ai suffisamment d'importance pour mettre en lumière un défi à relever et pour rompre un silence indigne de notre jeune République. La misère n'est pas muette et immatérielle, elle a un visage, celui de personnes fatiguées au quotidien par les aléas de la vie mais qui pour autant ne baissent jamais les bras. Le quotidien n'est pas tendre et pourtant chaque coup les rend plus forts, chaque entrave vous fait avancer. Le climat de fêtes, celui de Noël, pour ceux qui la célèbrent, est propice à toute forme de solidarité. C'est la période où les gens se retrouvent où l'on partage et où l'on offre à d'autres une part de soi, quelque chose. Les cadeaux semblent parfois dérisoires mais toute attention est importante, car elle montre que l'on se soucie d'une personne, que l'on souhaite lui faire plaisir, effacer pour un instant son quotidien difficile, lui offrir une main tendue. Tout le monde a le droit au bonheur et en braquant les projecteurs, en donnant un visage à cette misère et à cette pauvreté, nous ne faisons que mieux nous armer pour la combattre. Car c'est bien cela la finalité, combattre la misère jusqu'à son extinction. Et en attendant, rendons aux visages leurs sourires, amenons à ces personnes trop souvent ignorées, la preuve que nous ne les oublions pas. C'est cela que nous devons mettre en avant au delà de toute croyance religieuse, pour porter une valeur juste. Vos visages, vos sourires, cela me suffit personnellement comme cadeau.
Après une salve d'applaudissements, Louis-Damien commença la distribution de cadeaux, les enfants devenant particulièrement impatients.