Frôce - Archives V2

À deux mois de l'élection présidentielle, le quotidien Le Courrier a commandé un sondage à paraître demain. Celui-ci s'intéresse aux opinions des sympathisants des différentes tendances politiques frôceuses. De nombreuses enseignements peuvent être interprétrés des résultats obtenus.

En faisant le point à Gauche, on apprend ainsi que, globalement, les sympathisants réclament deux candidatures distinctes (62,5% le demandent à l'AGR et 68,5% à l'UGR).
On remarque également une certaine lassitude vis-à-vis des représentants politiques déjà ancrées. Hélène Le Menn n'obtient ainsi le soutien direct que de 53% de sa base (ce qui profite au "novice" Jean-Marie Lelouche). Du côté de l'UGR, c'est Zélie Saint-Déodat qui arrive en tête (29,5%) devançant Yevgueni Makhno (24,5%). Les visages neufs d'Askua Finacci et de Pedro Sanchez ont également le vent en poupe (19% et 16% respectivement).

Du côté des libéraux, l'expression des sympathisants est moins claire. Ce sont ainsi les personnalités d'Isabella Nerio et de Christian Valmont qui fnt la tête (18,5% chacun) mais l'on remarque également la présence de Sébastien Capell (17,5%) et de Vincent Valbonessi (14%). Si une personalité ne semble pas se détacher particulièrement cela n'a toutefois pas l'air de diviser les libéraux. Il en reste toutefois que la personne de Louis-Damien Lacroix-de-Beaufoy semble être à la seul à faire l'unanimité.
Les conservateurs ont de leur côté bien enterré l'idée de se présenter seuls (la faute à un manque de combattants). On ne compte que 20% d'interrogés souhaitant voir leur parti présenter un candidat. On remarque tout de même que 46,5% des conservateurs souhaitent se ranger derrière un candidat issue du ML contre 33,5% derrière les patriotes. L'électorat conservateur semble donc toujours un soutien de l'action gouvernementale.

Enfin, les sympathisants patriotes s'expriment à 65% derrière Marie Cossac contre May Maxson (35%). On peut en déduire que l'arrivée de la député à la tête de la Ligue n'est pas totalement acceptée par la base patriote attachée à l'ancienne candidate à la présidence.

Alberto avec un sourire ironique commenta :

Et ben moi j'y suis pas.