Re: Faut-il négocier avec AQMI ?
Posté : 06 mai 2011, 22:30
Et puis même, le fait d'intégrer a aussi une tare : si c'est de l'assimilation pour en faire de bon citoyen obéissant, c'est limite, et si il y n'y a pas intégration, il y a parcage et les méfaits du communautarisme et son replis sur soi.
Après, la société américaine a en son sein ce politiquement correct qui veut que l'on dise "natif américain"... Ca me fait penser à ces épisodes de south park sur les crimes de haine ou sur le politiquement correct envers un peuple que l'on a anéanti.
Moi ma position, quelque peu philosophique, c'est de savoir comment on forme une identité. Il y en a qui disent qu'on forme notre identité nous-mêmes (l'existence précède l'essence), d'autre disent l'inverse, c'est la société qui le permet (holisme, déterminisme et autre). Moi je serais d'une autre opinion : il y a une part de notre identité qui est lié à la mémoire, c'est claire. Prenons un exemple : quand je me réveil le matin, si je me rappel qui je suis à mon réveil, c'est que je me souviens avoir été un "je", je me souviens être un "je". La mémoire conditionne l'identité car sans la mémoire, on serait tous des amnésiques. Cela dit, rajoutons une couche : la mémoire est-elle dépendante de l'âme ou du monde extérieur ? Est-elle conditionné par l'extérieur ou non ?
Moi, mon intuition me dit que non. Nous choisissons une bonne part de notre mémoire (pas tout !) et ce qui forme notre identité.
Ainsi, notre identité serait une sorte de mur : on y pose et choisi les briques que nous avons nous-mêmes choisi. Nous somme en perpétuel évolution, nous posons au fur et à mesure d'autres briques.
Cela dit, revenons au sujet de l'identité, du problème de l'assimilation ou du sectarisme. Je pense qu'il faudrait que l'on construise tous ensemble ce qui peut être un ensemble de mur identitaire où chaque personne en sera un ciment. Si l'on assemble dans une harmonie qui tient dans des accords multilatéraux idéals, alors la société ne sera ni un replis sur soi, ni une assimilation, mais une identité commune et en même temps individuel, une harmonie complète où chacun est important et unique. Ce sera une culture en constante révolution ou évolution, mais qui tiendra sur des principes que représentent chaque homme individuellement pris dans un ensemble.
Cela peut paraitre abstrait ou même irréaliste, mais c'est mon intuition. Et cela ne reste qu'une intuition...
Désolé d'être sorti du sujet
Après, la société américaine a en son sein ce politiquement correct qui veut que l'on dise "natif américain"... Ca me fait penser à ces épisodes de south park sur les crimes de haine ou sur le politiquement correct envers un peuple que l'on a anéanti.
Moi ma position, quelque peu philosophique, c'est de savoir comment on forme une identité. Il y en a qui disent qu'on forme notre identité nous-mêmes (l'existence précède l'essence), d'autre disent l'inverse, c'est la société qui le permet (holisme, déterminisme et autre). Moi je serais d'une autre opinion : il y a une part de notre identité qui est lié à la mémoire, c'est claire. Prenons un exemple : quand je me réveil le matin, si je me rappel qui je suis à mon réveil, c'est que je me souviens avoir été un "je", je me souviens être un "je". La mémoire conditionne l'identité car sans la mémoire, on serait tous des amnésiques. Cela dit, rajoutons une couche : la mémoire est-elle dépendante de l'âme ou du monde extérieur ? Est-elle conditionné par l'extérieur ou non ?
Moi, mon intuition me dit que non. Nous choisissons une bonne part de notre mémoire (pas tout !) et ce qui forme notre identité.
Ainsi, notre identité serait une sorte de mur : on y pose et choisi les briques que nous avons nous-mêmes choisi. Nous somme en perpétuel évolution, nous posons au fur et à mesure d'autres briques.
Cela dit, revenons au sujet de l'identité, du problème de l'assimilation ou du sectarisme. Je pense qu'il faudrait que l'on construise tous ensemble ce qui peut être un ensemble de mur identitaire où chaque personne en sera un ciment. Si l'on assemble dans une harmonie qui tient dans des accords multilatéraux idéals, alors la société ne sera ni un replis sur soi, ni une assimilation, mais une identité commune et en même temps individuel, une harmonie complète où chacun est important et unique. Ce sera une culture en constante révolution ou évolution, mais qui tiendra sur des principes que représentent chaque homme individuellement pris dans un ensemble.
Cela peut paraitre abstrait ou même irréaliste, mais c'est mon intuition. Et cela ne reste qu'une intuition...
Désolé d'être sorti du sujet
