Action politique

[Rosalinda Hanke]

C'est vrai que quelle que soit notre décision, on prend le risque d'être catalogués "centre gauche" ou "centre droit".

Mais il se trouve que nous sommes dans une position décisive et que refuser c'est prendre le risque d'avoir une union nationale contre nous ou de provoquer le chaos institutionnel.

A mon avis, il faut choisir (quitte à passer de l'autre côté le mandat suivant si les circonstances font que ça nous parait plus en phase avec les préoccupations des électeurs et la qualité des leaders), et vu l'effondrement de la droite et la personnalité de Bertrand, je pense qu'il est préférable de discuter avec la gauche modérée pour cette législature.

[Julian Robson]

Je fais une pause révisions pour venir aux nouvelles. Que vois-je? Nous arrivons en seconde position?

Concernant votre discussion et les propositions, Quelque soit le gouvernement voulu, l'ARC devra y être, sans ça, la constitution d'un gouvernement est impossible et nous nous mettons de côté tous seuls.
Je pense que l'ARC a sa place avec la gauche.

De toute manière, un parti centriste est vu comme tel tant qu'il n'est pas amené a créer une majorité. A partir de là, il est obligé de se mouillé et de faire un choix. C'est ce que nous devons faire.
Je pense que c'est aussi le moment de montrer que nous avons la tête sur les épaules, ue nous assumons nos idées et nos responsabilités!

[Thomas François]

Dernier message de Bertrand :

Monsieur le président,
Madame et messieurs,

Comme je l'ai affirmé en prenant contact avec chaque parti centriste, l'Union pour une Démocratie Républicaine souhaite travailler main dans la main avec l'ARC, le RSLP et le NPS. Il est nécessaire de travailler à constituer un gouvernement d'union nationale sans remettre en cause le suffrage exprimé par le peuple souverain.

L'UDR consent à contribuer à la rédaction d'un programme commun avec vous tous où il serait prévu d'appliquer des propositions économiques tendant vers un social libéralisme soucieux des entreprises afin de garantir la croissance mais aussi attentif aux intérêts des salariés pour éliminer les risques sociaux (chômage, précarité, salaire minimum bas). La solidarité étant un devoir national et républicain. L'UDR l'a souligné dans son programme et dans les débats sur l'économie.

Comme jadis, nous devons nous inspirer des expériences passées où des partis politiques aux convictions relativement divergentes ont su travailler ensemble au service de la République. J'en appelle donc à la bonne volonté de chacun d'entre vous pour faire passer l'intérêt général avant tout, pour rassembler au delà de la diversité idéologique.

C'est pourquoi je vous propose à vous, têtes de liste de la coalition centriste, et à vous monsieur le président la formation d'un gouvernement dont les membres seraient les suivants.

Ministre d'Etat, de l'Economie, des Finances et du Travail : Thomas François
Ministre Intérieur et de la Défense : Eric De Labarre
Ministre de la Justice & Institutions : Debora Da Silva
Ministre de l'Environnement, de l'Energie et des Transports : Julian Robson
Ministre de l'Education, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche : Charles de la Tour
Ministre de la Santé et des Affaires sociales : Anne-Lore Zahara
Ministre de la culture et des sports : Nafissatou Sougoufara
Ministre des affaires étrangères : Benjamin McGregor

Je regrette que certains préjugés à mon égard guident votre opinion sur une coalition centriste prometteuse pour l'avenir de notre pays. Et j'espère que si vous acceptez que l'on travaille tous ensemble, vous saurez comprendre une bonne fois pour toute que l'UDR n'est pas un parti ultralibéral, atlantiste, extrémiste ou que sais-je encore.

Je vous remercie.

Si aucune solution n'abouti, ou que vous souhaitez travailler avec l'ARC, je ne souhaite pas être dans le gouvernement. Je ferais le maximum de mon travail pour les Frôceux à l’assemblée nationale. Il apparait très clair pour moi, suite à l'acharnement de St Imberbe à nommer Bertrand PM et de Bertrand à faire les yeux doux que des pots de vins ont coulés entre les deux hommes.

[Charles de la Tour]

Je ne pense pas que cela soit nécessaire de refaire le débat. La majorité des membres de l'ARC sont contre un gouvernement avec comme premier ministre F. Bertrand. Les choses sont claires, pas besoin de redébattre, à moins que les avis aient changé

[Jean-Sébastien Boremanne]

J'ai comme l'impression que Debora Da Silva ne soutient pas vraiment son projet sur la réintégration de l'ISF. Vu la portée symbolique de cet impôt, je pensais qu'elle aurait avancé plus d'arguments.

[Thomas François]

J'ai comme l'impression que Debora Da Silva ne soutient pas vraiment son projet sur la réintégration de l'ISF. Vu la portée symbolique de cet impôt, je pensais qu'elle aurait avancé plus d'arguments.

Qu'est-ce qui te fait dire cela ?

[Jean-Sébastien Boremanne]

Je trouve qu'elle manque de hargne. C'est un projet symbolique et elle aurait pu renvoyer dans leurs cordes d'une manière plus dure l'ADL et l'UDR. Mais peut-être que je me trompe.

[Charles de la Tour]

C'est le premier poste national de Débora, je pense que ceci peut expliquer cela. C'est au fur et à mesure que l'on prend de la hargne et de la vigueur, notamment dans les débats politiques

[Jean-Sébastien Boremanne]

Le comportement de McGregor est intolérable. Comme le disait le Lion de Belfort « Un ministre, ça ferme sa gueule. Si ça veut l'ouvrir, ça démissionne. »

Bravo Charles pour ton discours.

[Charles de la Tour]

Je te remercie de ce soutien. Je ne pense pas avoir commis d'erreur en ce qui concerne ce discours. McGregor est un indépendantiste qui souhaite avoir le monopole sur les décisions gouvernementales. Il faudrait lui rappeler dans les plus brefs délais que s'il est au gouvernement, c'est parce que nous n'avons pas le choix que prendre en compte les positions du NPS.

Il souhaitait se rendre en Russie pour gérer le problème, je l'ai pris de cours : je me rends en visite surprise en Russie avant lui pour régler le problème et maintenir le traité avec ce pays en matière de gaz