Legislative Janvier 2013 :

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Thomas Rolland
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Re: Legislative Janvier 2013 :

Message par Thomas Rolland »

Vous l'aurez pour demain matin, j'étais dessus là, mais j'ai besoin de laisser encore reposer tout ça un peu.
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Noah Gayet
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Re: Legislative Janvier 2013 :

Message par Noah Gayet »

Ok. :ok:
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Thomas Rolland
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Re: Legislative Janvier 2013 :

Message par Thomas Rolland »

Désolé pour le retard :s
Frôceuses, Frôceux, mes chers compatriotes,

Attendez-vous à ce que ça ne soit pas une courte intervention, l’enjeu ne le permet pas. Je tiens tout d’abord à vous remercier d’être venu si nombreux, autant que vous êtes à ce premier meeting de campagne. Aspen est une belle ville, j’y habite d’ailleurs et y travail, c’est la ville de tout les frôceux.
Bien sur, tous le peuple de Frôce n’est pas ici ce soir, et certains pour des raisons qu’ils finiront bien par regretter : nos voisins les français ont connu un énorme spectacle, des plus cyniques ces dernières semaines et ont semblé accepter avec humour (surement riaient-ils jaunes) l’exil fiscal d’un certain Depardieu. Les français ne sont pas les seuls touchés par la lâcheté fiscal des plus hauts revenus, en Frôce aussi nous sommes touché, mais le cas français, de leur réaction face à cela est, somme toute, assez particulière : leur gouvernement de social démocrate a accepté, comme si c’était une mode encré dans les mœurs, que des espèces de nantis aillent voir ailleurs. Cet exemple anodin, mes chers compatriotes est une bonne illustration de ce qu’on ne doit pas faire en politique.
Ca m’a toujours fait doucement rire de voir ces nantis crier l’amour de leur pays, chanter l’hymne nationale, de se sentir pleinement frôceux et pourtant refuser de participer à l’effort collectif du peuple. Mais mes chers compatriotes, qu’est-ce qu’un peuple ? Certains vont vous dire qu’un peuple est une ethnie partageant le même sang… Oui on entend encore ça à droite là bas, chez l’AN et l’UPF. Ca tient pas la route, pas une seconde (accroché vous, c’est un peu technique) : pour ceux-là, la nationalité frôceuse se transmet par le droit du sang. Cela présuppose que la nationalité frôceuse soit un donné naturel de l’histoire et qu’elle ne soit pas issue d’un processus historique où le peuple est une création politique. Car si le peuple est issu d’une convention entre des individus qui décident d’être ensemble le peuple frôceux, la proposition subie une incohérence logique : les premiers frôceux issu de cette convention et qui, par cette convention, se sont faits frôceux n’étaient pas fils de frôceux et leurs enfants ne le seront pas non plus si on applique stricto sensu le droit du sang. Car je le rappel : le Royaume de Frôce fut créé à la suite d‘un traité en 1598. Donc, rien que la, l’UPF et l’AN se trompent radicalement, surtout quand on sait que notre pays s’est formé à partir de plusieurs cultures différentes. L’amour de la république n’est pas une question de sang ou de préférence national, « l’amour de la république est un sentiment, non une suite de connaissance » disait Montesquieu.

Moi, je vais vous dire ce qu’est un peuple puisque ceux qui se disent patriotes se lourdent comme pierre qui tombe sur ce sujet, et non en vous donnant une définition, mais en retournant la question : par quoi un peuple est un peuple ? Là ça commence à devenir intéressant : et bien, par convention, que cela soit de manière tacite comme dans les tribus ou explicite par les lois. Un peuple est un peuple quand il accepte non de vivre de manière égoïste, mais quand il accepte la loi, la convention en y reconnaissant l’incarnation de la liberté. Car attention, le libertarisme n’est rien d’autre qu’une idéologie antirépublicaine : un peuple est une pluralité d’individu ramené à l’unité, ce n’est pas une agrégation, mais une association. Se sentir du peuple Frôceux, c’est éprouver dans son unité l’union avec une communauté. Or le libertarisme c’est cette idéologie qui veut satisfaire les désirs de chacun ! Je ne suis pas en train de dire, qu’on n’a pas le droit de désirer, mais on à bien le droit de pas être d’accord ! Or ce libertarisme qu’à l’ADL ils défendent, j’ai envie de vous dire, qu’il vous empêche d’être un peuple. Je m’en vais vous l’expliquer : accepter tout, comme on peut tout accepter à un enfant, c’est exercer sur lui une mauvaise éducation (il ne comprend pas ce qui est bien et ce qui est mal) et ne pas lui expliquer pourquoi une chose est bonne, c’est peut-être même plus grave. Accepter, au niveau politique toute liberté, qu’elle soit acceptable ou non, c’est rabibocher les plaisirs de quelqu’un au lieu de réconcilier le peuple avec des droits dont il peut en discuter ; c’est rompre l’union qui est à respecter et à construire sous un accord commun, c’est même interdire le droit d’autrui de discuter de ce qui est acceptable ou non, et finalement de détruire toute les valeurs et toute éducation morale possible. L’idéologie de monsieur Borgia est une idéologie antirépublicaine, tant sur le plan philosophique et politique, que sur le plan économique !
Car sur le papier ça à l’aire beau : « Une économie libre pour plus d'emploi, moins de charges, moins d'impôts, et la libre disposition de votre argent » ; Que c’est joliment dit, hein ? Moi, ma grand-mère me disait toujours, « il n’y a pas de justice pour les petits ». Et monsieur Borgia compte régler l’injustice, l’inégalité, la souffrance en laissant faire, comme les révolutionnaires attendant le Grand Soir, en restant les bras croisés que le monde devienne juste et parfait de lui-même ? Monsieur Borgia doit comprendre que le monde n’est pas là pour nous faire plaisir, et ceci n’a jamais été aussi vrai qu’aujourd’hui. Moi, j’accuse monsieur Borgia d’être un attentiste qui n’a aucune conscience des réalités, préférant une idéologie néolibéral à un pragmatisme politique ! Et tant que monsieur Borgia continuera à tenir de tel propos, je ne pourrais que le ranger dans la classe des ennemies de la république : les financiers, les traders, les exilés fiscaux, les patrons coupables de Plan Sociaux injustifiés.
Le monde, mes camarades, il est fait de forces. Qu’importe l’échelle, le domaine (économique, social, politique,…) il est fait de forces qui s’opposent, se sont toujours opposées selon un rapport tenant lieu du pouvoir que l’une pouvait exercer sur l’autre. Quand il y a un plan de restructuration d‘entreprise, c‘est-à-dire un plan de licenciement, vous savez très bien, tout comme moi qu‘un rapport de force se joue entre les salariés et les dirigeants, qui les uns comme les autres défendent leurs intérêts et dans la lutte exercent leurs forces. Dans un tel monde, le libéralisme de l’ADL ou l’ADF n’est qu’une condamnation du peuple Frôceux à une aliénation au pouvoir économique. Mais regardons de plus près leur programme à l’Alliance Démocratique Libertarienne : « Abrogation des lois basées sur le concept de "Salaire Minimum ou Garanti" » ; vous savez ce que ça veut dire ça ? Ca c’est une grande demande du patronat. Ca dit que pour régler le chômage, on va supprimer toute base de salaire, autrement dit, on embauchera les gens non en fonction de leur compétence mais c’est à celui qui acceptera d’être payer au taux horaire le plus bas qui sera embauché. Et aux autres salariés de l’entreprise de faire de même pour se mettre à niveau ! Il n’y a pas, mes camarades de niveaux de misère acceptable. C’est ça que propose l’ADL ?! Attendez, ce n’est pas finie « Mise en place de négociations entreprise par entreprise concernant la durée du temps de travail » : vous croyez, qu’avec un tel niveau de chômage, de tel risque économique contingent, les salariés vont pouvoir négocier ? Vu le contexte actuel on ne leur donnera plus d’autre choix que le travail à flux tendu et une hausse du temps hebdomadaire de travail. Une autre : « Rendre l'accès au logement libre de contraintes imposées par l'Etat » : non, mais vous savez sur quoi légifère l’Etat, monsieur Borgia ? Sur les normes de salubrités minimales exigées qui respectent la vie humaine, et c’est ça que vous voulez supprimer pour lutter contre les prix des loyers ? Rendre possible, acceptable, le fait de loger des personnes dans des 5m² ? Et là, attention, c’est le pompon ! C’est dans la mesure qu’ils appellent le « grand plan Emplois » : « mise en place de modalités afin de faciliter […] la mise au chômage partiel des salariés, s'accompagnant d'un effort financier de la direction et des actionnaires, pouvant se concrétiser sous la forme d'une baisse temporaire des salaires pour les premiers et des dividendes pour les seconds. », là c’est l’exemple même de ce qui ne faut pas faire. Déjà, l’effort financier se pose au conditionnel, et en plus c’est un véritable trompe l’œil : on vous met au chômage, donc nous on baisse nos revenus… Non mais attendez, parce qu’une personne qui se trouve au chômage perd proportionnellement plus de pouvoir d’achat que ces pourris toujours aussi gavé d’argent bien qu’ils baissent leur revenue. L’un est condamné à la misère tandis que l’autre n’ira pas chez Gucci dimanche ; et puis des capitalistes accepter de se baisser leur revenu… Moi je ne demande pas leurs avis. C’est à croire qu’on ne vie pas dans le même monde ! Ce n’est pas comme ça qu’on dirige un pays ! Un vrai homme politique, mes camarades, il se tient devant vous, comme moi et vous dit avec la plus grande des fermetés « Non mes chers compatriotes, vous ne paierez pas la crise ! » et croyez-moi que ce d’en haut vont nous entendre !

Et, au lieu de ce libéralisme qui n’est rien d’autre, ainsi que je l’ai souvent dis, une volonté de se laisser faire, de se soumettre aux volontés du pouvoir économique, car oui, l’économie est un pouvoir, un pouvoir maintenant lâché du zeste par le pouvoir politique, nous au Rassemblement Socialiste et Ecologiste nous voulons un pouvoir politique qui lutte ! Peuple de Force, nous sommes des insoumis ! Quand un plan social tombe sur des salariés, que doit faire le politique selon vous ? Allez voire les ouvriers, un casque sur la tête ? Non, il agit, use de son pouvoir et entend faire de l’économie un domaine du politique, et vous savez comment ? Par la loi ! Si le rapport de force est une question de pouvoir, le politique doit en user pour défendre ce qui est juste et aider la masse salariale productive à défendre son outil de travail. C‘est son devoir. Le rapport de force est le processus par lequel l’économie redeviendra un domaine du politique. Les autres ne savent pas le faire ? Non on peut, les textes sont déjà prêts s’il le faut. Car aujourd’hui on vit en période de crise, les chiffres sont tombés comme un courroux, mais mes camarades, l’espoir demeure. Une crise, c’est le moment où tout peut s’effondrer, comme tout peut se relever, mais mes compatriotes, il y a encore des personnes de gauches avec des mesures de gauche dans ce pays, et ils ne sont nulle par ailleurs qu‘ici. Car il y en a qui ont l’angoisse d’une dette (vous l’avez vu vous, récemment ?), et d’autres, assis entre deux chaises, la rose en berne à la main, ne sachant plus quoi faire. Mes chers compatriotes, la raison et le cœur sont à gauches, et le Rassemblement Socialiste et Ecologiste, se voulant d’un volontarisme pour le bien commun et l’avenir de nos enfants, entend agir sur les deux fronts : défendre vos emplois et agir face à la crise par une politique de relance.
J’entends déjà ceux qui risquent de nous dire « aucun politique ne dis le contraire », sauf que nous avons un discours de vérité : Pour sortir de la crise, la solution est une vraie politique de gauche. Je vais donc essayer de vous faire montrer en quoi la solution ne peut venir que de la gauche, non en vous présentant notre programme économique, sur lequel mon camarade Dimitri interviendra plus longuement, mais sur le domaine de l’écologie politique.
En tant que ministre de l’Education, de la Santé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, j’ai travaillé à ce que l’innovation soit une priorité sur le long terme pour notre économie : cela fait partie du processus historique qu’un peuple soit en avance sur le reste du monde. L’humanité n’est pas toujours resté à l’âge de pierre, dès lors il devient évident économiquement de développer des secteurs d’activités inédits ou naissant. Il est clair que nous ne pouvons nous mettre sur le niveau de la Chine du point de vue des salaires, mais est-ce pour autant la seule variable ? Nous avons une main d’œuvre ouvrière et intellectuel de qualité dans notre pays. La sortie de crise ne peut se faire si nous n’exploitons pas notre potentiel productif. Si nous sommes les premiers sur les marchés, nous serons les premiers à embaucher, les premiers à exporter. Nous devons être la source même de notre autonomie. Cela ne se fait pas sans impulsion, surtout quand le contexte économique est dès plus moroses, or, nous vivons dans un âge d'or de l'avancement technologique. Ainsi il faut faire de l’Etat le premier moteur de l’impulsion économique. C’est à l’Etat de faire des plans de relance, et beaucoup sont envisageables. C’est là que se concentre l’essentiel de notre écologie politique : elle doit être populaire, c’est-à-dire pour le peuple et par le peuple.
Quelque chose qu’on pourrait lancer rapidement : je suis allé à Orgues-les-Bains le mois dernier, discuter avec le maire et camarade Hugo Salinovitch ; mais il y en a des choses qu’on peut faire dans nos régions et dans nos villes ! Outre la mise en place d'un programme de reforestation dans les zones urbaines et périurbaines je pense par exemple à la construction de tunnels ferroviaires. Pourquoi on ne ferrait pas ça ? On a de l’argent, alors faisons tourner les machines, remplissons les bons de commandes, aidons les PME non en leur réduisant leurs charges seulement, mais en leur faisant produire de la richesse. Il n’y a rien de plus logique, c’est une évidence première auquel l’Etat doit contribuer si l’impulsion ne vient pas d’ailleurs. Mais il y a beaucoup de travail à trouver de ce côté-là : on peut développer un grand réseau de Fret ferré public ou créer une ligne à grande vitesse reliant la Provence à la Catalogne. Ca donne du travail tout ça, dans les bâtiments et travaux publics.
Tiens d’ailleurs, autre chose, puisqu’on parle du BTP : pas loin du village dans lequel je suis né, des familles ont construite des maisons, ma fois somme toute, assez modeste, pas plus grand qu’un T3 avec cuisine et tout cela, mais entièrement écologique. Attendez, moi je vous parle pas de l’écologie à des prix exorbitants : ils avaient une petite éolienne de maison, de quoi récupérer l’eau de pluie, ils se chauffaient au bois. Mais, pourquoi ne pas appliquer cela aux Habitations à Loyer Modérés ? On pourrait aider des entreprises à ce lancer sur des prototypes d’installations écologiques bon marché, pour que chacun produise son énergie et baisse sa facture d’électricité. C’est une idée à faire germer dans les entreprises que les « HLM Vert » telles que nous les appelons au Rassemblement Socialiste et Ecologiste. C’est une innovation qui ne demande pas des années d’études, et qui peuvent être sous-traité dans beaucoup d’entreprises. En voilà une idée concrète.
Vous voyez, c’est comme ça qu’on relance, par des idées concrètes et l’aide à l’innovation. Imaginez, vous avez une idée d’entreprise écologique, et aucune banque ne veut vous prêter d’argent. L’Etat a le contrôle de sa banque, on vous fait un prêt à taux zéro ! L’argent existe, il ne faut pas le laisser dormir, et vu que les nantis n’investissent pas, l’Etat le fera. En plus, cela nous permettra aussi d’engager la transition vers la sortie du nucléaire et de lancer, à partir du pôle public de recherche sur lequel nous avons travaillé, un investissement massif dans les énergies renouvelables. Aucune piste pour l’emploi et la relance ne doit être écarté, surtout quand ces pistes riment avec innovation.
Voyez comment le Rassemblement Socialiste et Ecologiste a déjà dans ses cartons nombre de solutions pour les emplois de demain. Nous faisons le pari de l’action concrète, tant sur le plan écologique comme vous avez pu l’entendre, que sur le plan économique, tel que vous en parlera mon camarade Dimitri.
Pour l’heure Frôceuse, Frôceux, le temps est à la conviction que c’est par une politique de Gauche, qui régule et pose des plans contre le chômage et pour l’emplois par le moyen peuple qui se nomme l’Etat, que notre pays sortira de crise. N’ayons pas peur de retrousser les manches, nous avons d’ors et déjà les solutions concrètes qui aideront les PME à produire et à ce créer dans une écologie politique. Frôceuses, Frôceux, mes chers compatriotes, vous allez être amené à voter, encore une fois ce 20 janviers. Je vous demande et vous annonce donc, que le bulletin que vous mettrez, si ce dernier est celui du Rassemblement Socialiste et Ecologiste, ce bulletin sera de cœur et de raison à Gauche, car ce n’est que par une gauche de gauche que nous resterons la nation fier et forte que nous sommes ! Mes chers camarades, donnons-nous le pouvoir de cette réussite, soyons-en convaincu dans nos cœurs, car l’espoir vient de la gauche. Non peuple de Frôce, vous ne paierez pas la crise ! Non peuple de Frôce vous subirez injustement la précarité ! Non, peuple de Frôce ton histoire et ton destin ne sont pas finis ! Nous incarnons tous ensemble la force productive de ce pays à qui il manque une politique ambitieuse, concrète et de Gauche. Alors n’ayez plus peur de le dire « nous sommes de gauche ! » et allons mettre à ces nantis, ces ploutocrates, ces financiers, ces fraudeurs, ces exilés fiscaux, à ces actionnaires, à ces marchands de délocalisations, le 20 janviers le bulletin de gauche « Rassemblement Socialiste et Ecologiste » !
Vive le socialisme, vive la république, vive la Frôce !
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Re: Legislative Janvier 2013 :

Message par Noah Gayet »

Bon travail. Je vais le mettre en page et on pourra le diffuser ce soir. :)

HRP/ Rappelle-moi c'est qui ton avatar ?
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Thomas Rolland
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Message par Thomas Rolland »

Alexis Tsipras
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Re: Legislative Janvier 2013 :

Message par Noah Gayet »

C'est avec une certaine fierté que je vous annonce que le meeting RSE d'aujourd'hui est fin prêt :

http://www.republique-froceuse.com/foru ... 377#p96377

Il en a de la gueule !
J'ai retouché quelques endroits de vos discours pour y ajouter des réactions du public.
Je pense qu'on démarre en fanfare, je sais pas ce que vous en pensez, mais je suis remonté à bloc. :D
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Thomas Rolland
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Re: Legislative Janvier 2013 :

Message par Thomas Rolland »

Très bon boulot Noah, j'apprécie beaucoup tes retouches. On attend 19h00 pour le publier ?
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Re: Legislative Janvier 2013 :

Message par Noah Gayet »

Oui. C'est mieux. ^^
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Thomas Rolland
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Re: Legislative Janvier 2013 :

Message par Thomas Rolland »

Je le ferai alors :)
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Re: Legislative Janvier 2013 :

Message par Noah Gayet »

Etant donné que le meeting sur la santé sera à mon sens le clou du spectacle, on va alterner les deux restants.

C'est à dire prévoir le meeting sur la sécurité et la justice pour le 15 janvier soit mardi. Stefano fait la partie sécurité, je fais la partie justice. On a prévu une séance de questions/réponses en introduction puis en conclusion de nos participations une séquence "discours". Si vous avez des idées de questions, n'hésitez pas à les dire à la suite, ça ne fera qu'enrichir le meeting.

Et donc on va finir par le meeting sur la santé, l'éducation et la culture. Donc je récapitule, j'ouvre le meeting, nous faisons ensuite une transition avec Hugo. A la fin de son discours, il y a une séquence concert DJ puis Thomas fait son discours sur l'éducation. Suite à celui-ci, nouvelle entracte musicale. Puis après, je propose que nous montions, tous les quatre sur la scène, avec Stefano, et que Thomas fasse un discours de cloture "global". Qu'est-ce que vous en pensez ?
Verrouillé

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