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Re: [Bar-Restaurant] Le Piemonte Bistrot

Posté : 16 juin 2013, 21:53
par Marie-Claire Savary
Marie-Claire était sur le point d’accepter la proposition de Marc d’une ballade en plein air dans les rues sombres d’Aspen lorsque l’ancienne Présidente du Parlement fit une entrée pour le moins claquante dans le bar aspinois. N’ayant pas d’autres solutions que de la laisser faire, elle se contenta de quelques mots.

« Bien, je vois que vous êtes un homme visiblement très pris Marc. Je vous laisse entre de bonnes mains. Bonne fin de soirée »

Rodrigo, le garçon de café, qui terminait son service au même moment attrapa le manteau de la journaliste de Canal 4 et le lui enfila. Il lui proposa de l’accompagner jusqu’à un bar latino, ce qu’elle accepta. Il connaissait son penchant pour les danses latines où la température monte bien vite. Elle ne daigna pas jeter un seul regard sur Marc et Elise entrain de danser, un slow probablement, lorsqu’elle sortait, bras dessus, bras dessous avec le serveur latino.

Re: [Bar-Restaurant] Le Piemonte Bistrot

Posté : 16 juin 2013, 22:23
par Marc de St Imberb
Marc lâcha vivement la main de Lantier lorsqu'il vit la journaliste sortir.

"Foutez-lui la paix, à votre président !"

Dépité, Marc sortit du bar, seul. Comme il y était entré. Il n'avait pas le courage de courir après Savary. Il fit quelques pas, puis s'assit sur un banc, face à la méditerranée. Avec une bouteille de Whisky prise dans le bar du Piemonte. Quelle vie de chien.

Il lança la bouteille dans le port, après l'avoir à moitié vidée, puis hurla :

"C'est toi la personne qu'il me manque ! MERDE !"

Re: [Bar-Restaurant] Le Piemonte Bistrot

Posté : 18 juil. 2013, 12:03
par Gaspard Salcedo
Gaspard entra dans le restaurant pour la première fois. Il avait hésité avec un autre boui-boui aspinois mais il s'était finalement dit que, maintenant qu'il commençait à "faire son trou" dans le coin, il était légitime désormais de casser la croûte aux bons endroits. Gaspard n'osait même pas imaginer le nombre de députés, ministres, journalistes, hauts fonctionnaires, hommes d'affaires qui avaient du pousser la porte de ce restaurant pour s'asseoir sur une banquette et discuter autour de spécialités piémontaises.
Le porte-parole de l'UDR s'assit à une table et fit signe au serveur. Celui-ci s'approcha.


"- Dis-moi bonhomme, qu'est-ce que tu me sers de bon ce midi ?

- Deux plats au choix monsieur, comme tous les midis. En l’occurrence, il s'agit d'un bar en filet accompagné d'une tartelette aux légumes ou bien d'un filet de bœuf sauce poivre accompagné de trois purées. Pour l'entrée, vous avez le choix entre une entrée de tomates à la mozzarella ou d'un œuf cocotte. Je rappelle à monsieur que le peu de choix vient du fait que le chef cuisinier ne choisit que des produits frais et ne cuisine en aucun cas des produits congelés.

- Eh bien ce sera l’œuf cocotte suivi du filet de bœuf. Tu me mettras une bouteille de Pic Saint-Loup également ! Merci bonhomme."