AIF 17/01 - Interview des candidats aux législatives

[Arthur de Milon]

Sans aucun doute Monsieur McGregor. Mais sur la forme, les propos que vous avez échangé ici-même ainsi que le communiqué du PSD tout à l'heure sont d'une rare violence entre deux partis alliés.

[Benjamin McGregor]

Le Parti Social Démocrate n'apprécie pas vraiment je l'avoue que lorsqu'il critique la droite pour son absence à l'Assemblée, la gauche fait ce qui est reproché à la droite, vous n'êtes pas d'accord? Au fait, monsieur De Milon, bon retour parmi nous ! Benjamin McGregor parti et se retourna en lançant aux journalistes : " dites-lui que je lui offrirais un verre volontiers au CSL ! "

[Arthur de Milon]

Merci Monsieur McGregor !

[Marie Delaunay]

Déclaration de Marie Delaunay à la sortie d’une réunion au siège de l’Alliance Nationale :

« Bien évidemment que nous avons des différences à droite. Et je regrette d’ailleurs que la gauche s’empresse de dire que nous sommes déjà tous en réunion pour la formation d’un gouvernement majoritaire. Ce n’est pas le cas et ça ne sera jamais le cas tant que le vote sera ouvert à nos concitoyens et que les résultats auront vu le jour. Car oui, au contraire de la gauche frôceuse, merveilleuse dans son arrogance, nous n’avons pas cette habitude de trahir la confiance de nos électeurs pour une simple question de pouvoir. De la même manière, l’Alliance Nationale attendra les résultats pour décider en pleine connaissance de cause des décisions à prendre. Le pouvoir, c'est bien, les idées, c'est mieux. Pour l’instant, il n’y aura rien avec personne et nous ne renierons pas nos paroles de candidats une fois élus car j’ai quand même bien l’impression que nous allons renverser la table ce weekend ! »