Ah tu parles de l'emprunt sur les marchés. Je pensais que tu parlais de la création de pièces et billets. Vu comme ça, je suis d'accord.
Admettre des touches de planifications, par exemple dans les secteurs clé et/ou vitaux ce n'est pas du tout la même chose que de dire que l'ensemble de la production est centralisée et planifiée par l'Etat. Dans tous les cas il est faux de croire que cela nous isolerait car c'est un vieil argument qu'utilisent les libéraux pour nous faire renoncer. Cuba à une expression que j'aime bien sur le sujet, ils parlent de "capitalisme extérieur pour financer le socialisme intérieur". Je n'ai pas de modèle tout fait attention

Dans ce cas l'inflation pourrait toujours toucher les secteurs qui ne sont pas considérés comme vitaux, c'est bien sûr moins grave, mais ça reste ennuyeux comme les produits de confort peuvent être un vrai plus pour certaines familles moyennes. Comme déjà dit, 14 % d'un coup ça me parait beaucoup, mais faire de 8 plz par heure un objectif à moyen terme, ça ne me gène pas.
Non ce n'est pas ça du tout. Quelle drôle de notion que ce "mérite"... Ce n'est jamais comme ça que le salaire minimum à été calculé, quel que soit le pays ou l'époque. Le salaire minimum à toujours été conçu (là où il existe...) comme le salaire à verser pour que son ouvrier puisse se loger, s'habiller et se nourrir e basta... Donc si on estime qu'en dessous ce n'est pas assez, on ne peux pas condamner des gens à vivre ainsi.
Si on estime que le salaire minimum est le minimum de survie, il faut porter l'AMA au niveau du salaire minimum, ce qui n'incitera pas grand monde à travailler. Le salaire minimum se doit d'être au dessus du minimum de survie pour "récompenser" les travailleurs pour leurs efforts. (Ca n'empêche pas d'augmenter l'AMA qui est bien trop basse).
Tu sais bien que la question de trouver les revenus est centrale. Encore une fois c'est minime et bien plus juste que cela repose sur l’impôt. Au final les gens payerons, mais aussi les classes plus aisées qui ne prennent pas (pour l'instant) les transports en commun.
OK, vu comme ça.
Je crois que le problème vient de notre écart de compréhension du mot "carte scolaire". Bien sûr que cela est contraignant... Je partage totalement ton avis sur la question de la mixité sociale.
La définition naturelle d'une carte est purement géographique, le but du "busing" est de trafiquer la carte pour atteindre le but de mixité. Mais on peut parler d'une carte scolaire spécifiquement étudiée pour promouvoir la mixité pour clarifier le tout.
Pas tous lorsque l'on sort de la caricature médiatique. Je vais faire une liste mais ne sautez pas au plafond...

Ca me parait pas mal, mais il faudra être très vigilants sur les termes afin que cette alliance serve avant tout de dissuasion et de vecteur de solidarité.
Je suis d'accord et particulièrement sensible aux différentes cultures. Travaillons à un consensus sur cette question.
On pourrait peut être proposer le français et la langue régionale dans les régions concernées ?