Frôce - Archives V2

Excellent programme environnemental, Sébastien. Sincèrement.

Néanmoins je suis sceptique sur ce point :

Sébastien Capell a écrit : - Création de bonus-malus environnementaux dans l'automobile.

Je crains qu'à terme cette mesure s'avère un peu trop coûteuse pour l'Etat Frôceux, nos concitoyens privilégiant les voitures les moins polluantes donc bénéficiant du bonus. Et où se situe le retour sur investissement lorsque la majorité de nos véhicules sont produits à l'étranger?
Ou bien cette mesure est pertinente si elle s'accompagne d'un plan massif de retour d'une production automobile en Frôce, dont les véhicules seraient très peu gourmands en énergies. Un volet Recherche et Développement sur les Véhicules Electriques peut également être envisagé.

C'est vrai que cette mesure peut être un risque pour le budget de l'Etat. Il y a un constructeur automobile en Frôce, Finacci Motors. Certes pour l'instant il ne fabrique pas de voiture électrique ou d'hybride. On est face à un problème, en même temps pour l'instant le bonus-malus on peut l'oublier. Il nous faut une très grand plan de recherche.

Il faudrait également que les constructeurs frôceux s'allies avec des constructeurs étrangers, en particuliers les japonais. Ils sont très bon pour les véhicules "non-polluant", en particulier les hybrides. Pour l'instant je ne fais pas confiance aux véhicules tout électrique. Il faut promouvoir l'échange de technologies.

J'avais demandé le mot "gouvernement" pour éviter de mettre "pays", mais si ce mot ne convient pas non plus, on pourrait alors mettre "régime".
Le terrorisme est l'ennemi de la démocratie, et les régimes qui le soutiennent sont nos ennemis aussi.

Je suis contre la suppression du point concernant la promotion des droits de l'homme et de la démocratie. On n'est pas obligé pour autant de faire de l'ingérence et de déclarer la guerre à toutes les dictateurs, ou même de rompre complètement les liens avec les dictatures. Mais notre action diplomatique doit aller dans le sens de d'expansion de la démocratie dans le monde.
Promouvoir ces deux concepts n'est pas incompatible avec la realpolitik, tout est question de dosage et de réalisme.

De mon côté ça me convient tout à fait.

Mays -> Peux-tu développer ce que tu sous-entends lorsque tu dis "Mais notre action diplomatique doit aller dans le sens de d'expansion de la démocratie dans le monde."? As-tu des exemples concrets?

Par ailleurs, je me permets de prendre en main les thèmes du Travail et de l'Education, pour lesquels je vous ferai une proposition de programme d'ici peu. Si bien sûr personne ne souhaitait s'en charger ou avait déjà produit du contenu sur ces sujets.

Vous attendez des propositions en matière d'économie ? Je veux bien en faire quelques unes si personne ne s'en charge.

Ce serait super Vincent

Sylvain Kelmann a écrit :Mays -> Peux-tu développer ce que tu sous-entends lorsque tu dis "Mais notre action diplomatique doit aller dans le sens de d'expansion de la démocratie dans le monde."? As-tu des exemples concrets?

Il y a plusieurs manières de faire ça.

Tout d'abord, grâce aux conventions internationales : nous pouvons signer des traités avec des pays pour assurer le respect des droits de l'homme dans chacun des pays concernés (HRP : comme la convention européenne des droits de l'homme, qui n'existe probablement pas dans le jeu).
Dans des États de droit, les traités sont des normes juridiques tout aussi respectées que les normes internes, donc une telle posture diplomatique peut se révéler très fructueuse, même si c'est surtout avec des pays alliés et théoriquement déjà démocratiques et respectueux des droits de l'homme.

Ensuite, rien ne nous empêche, lorsqu'un pays dictatorial commet telle ou telle exaction, de dénoncer sur la scène internationale. Du style "La Frôce dénonce le génocide commis dans tel pays". Juridiquement, ça ne vaut rien, c'est sûr, mais cela nous permet de réaffirmer nos valeurs.
Après, au niveau des contrats, le tout est d'y aller doucement. "Je veux bien signer ce contrat, qui nous intéresse tous les deux, mais faites un effort sur les droits de l'homme". Ça ne paie pas à chaque fois, mais il faut le faire quand même, sinon on n'avancera jamais à rien.

Enfin, nous pouvons nous joindre à des mouvements de contestation internationale, comme vis-à-vis de la Corée du Nord (HRP : je ne sais pas si la situation de ce pays est la même dans notre monde que dans le monde réel, mais l'illustration parle d'elle-même malgré tout). Notre parole est également importante si un territoire demande son indépendance, si un pas essaie d'annexer un territoire qui ne lui appartient pas, etc.

Il y a énormément de sujets internationaux dans lesquels les droits de l'homme peuvent entrer dans l'équation, et il faut saisir toutes les opportunités, dans la limite du réalisme et de nos propres intérêts.