Frôce - Archives V2

(Yékèlz monta le premier sur l’estrade, afin de débuter ce qui doit être le dernier meeting de la campagne.
Des applaudissements accompagnent la montée du Représentant Parlementaire, très présent en cette fin de campagne.)

Chers amis, chers sympathisants ou membres du PPL, chers compatriotes !
Nous voilà de nouveau réunis, en une seule et même famille, en un seul et même corps ce soir, pour clôturer cette campagne qui nous a une nouvelle fois montrée à quel point le PPL s’est imposé dans le paysage politique Frôceux !

Nous sommes à 24h du suffrage, suffrage durant lequel il faudra voter, faire voter, et offrir une victoire nette au PPL afin de peser le plus possible dans le futur gouvernement. Durant toute cette campagne nous avons défendu notre programme, votre programme ! Nous avons défendu les idées de réussite, de libre entreprise, de morale, d’éthique, d’avenir, de succès et de confiance. Avec vous, tout au long de cette campagne, nous avons pu voir la bassesse et la médiocrité de ceux qui nous ont assimilés à des extrémistes ou à des épouvantails du libéralisme. Ils auront au moins eu le mérite de nous faire rire, et de nous rassembler toujours plus nombreux pour défendre nos valeurs, notre pays !
Lors du meeting d’hier à Angles, j’ai pu voir une foule débordante d’attente, d’espoir, de volonté. J’ai pu voir ces hommes et ces femmes qui se déplacent pour se rendre compte qu’un autre avenir que celui de l’assistanat est possible, que la réussite n’est plus un sujet tabou et que des citoyens, aujourd’hui en Frôce, sont prêts à prendre leur destin en main pour avoir les représentants qu’ils méritent. Et je les revois ce soir, et je vous vois ce soir !
(Applaudissements dans la salle, de plus en plus enthousiaste.)

Vous l’avez compris, l’heure n’est plus au consensus, aux discussions ou aux négociations. Non, l’heure est aujourd’hui au vote, au vote qui permettra au Parti pour la Liberté d’encore progresser et de toujours mieux vous représenter, de toujours plus se rapprocher du pouvoir, d’emmener aux sommets toujours plus d’élus qui ne vivent que pour le bonheur de leur pays et de leur peuple, et non pas pour satisfaire des élites ou groupes sociaux prédéfinis comme nous avons eu le malheur de l’observer lors des précédents mandants.
(Le public hue ceux-ci)

Que de lois, que de décisions, que de négociations qui ont mis à mal notre pays au nom d’une idéologie socialiste éprise d’assistanat et de résignation. Combien de citoyens mis sur la touche au nom de cela ? Combien de travailleurs, d’entrepreneurs, de patrons laissés pour compte, juste spoilés de leurs revenus pour financer encore et toujours plus d’étatisme, de marchés publics, de fonctionanire et d’incohérence économiques ? Nous ne pouvons plus continuer ainsi, nous devons remettre le travail et le mérite de chacun au centre de la logique étatiste, au centre de notre société. C’est pourquoi le PPL s’engage à reformer la fiscalité de fond en comble, pour offrir à chacun le droit de profiter de ses revenus, du fruit de son travail.
C’est aussi pourquoi le PPL s’engage à limiter la présence de l’état sur les marchés qui couvrent notre territoire, pour permettre à nos entreprises de se développer, d’embaucher et de gagner en compétitivité.
La logique du PPL, c’est de pousser au succès, à l’investissement et à la réussite. D’encourager nos entreprises à aller conquérir de nouveaux marchés, à innover, à toujours défendre ses intérêts quand d’autres ne pensent qu’à profiter et à redistribuer.
La réussite de nos entreprises, c’est le synonyme de plein emplois, d’hausse naturelle des salaires, d’une évolution positive du niveau de vie global. C’est aussi de meilleures infrastructures pour tous, la présences d’entreprises privés qui, par le billet de la concurrence, innovent et nous fournissent les meilleurs services à des prix constamment en baisse.
C’est ça, la logique du PPL, une logique courageuse et ambitieuse au service de ses citoyens et de sa patrie !
(La foule applaudie, galvanisée par la scène.)
En parlant de patrie, qui aujourd’hui peut se vanter d’avoir un programme ambitieux pour celle-ci et ses intérêts ? Qui peut se targuer de vouloir préserver notre mode de vie et d’offrir à notre nation un avenir décent ?
Le PSD ? Ils sont bien trop occupés à mettre un programme ayant pour but de vider les caisses de l’état. (Huées dans la salle.) LE RPR ? Non, l’immobilisme n’a jamais triomphé. (Nouvelle huée dans le public.)
Le RSE ? Quelqu’un sait ce que c’est ? (Rires du public.)
Le PDF ? Comment un parti qui confond les mots « centre » et « gauche » peut-il mener notre pays sur de bons chemins ? (Huée spectaculaire, le public ne semble vraiment pas apprécier ce parti…)
Non, aucun. Nous sommes seuls mes amis, seuls à avoir foi en nos moyens et notre avenir, seul à croire en nos capacités et nos valeurs. Nous n’acceptons pas d’être résignés, nous n’acceptons pas d’être fatalistes, nous n’acceptons pas d’être assistés. Non !

Vous comprenez désormais notre volonté d’autoriser le port d’arme pour chaque citoyen, vous comprenez aussi aisément notre souhait d’alourdir les peines pour les délits majeurs et les multirécidivistes : nous voulons préserver la vie, offrir le droit d’être en sécurité à chacun, trouver un équilibre qui ne nous rende pas dépendant de l’état et nous offre malgré tout la sérénité.
Pensons à toutes ces victimes d’agressions, à ces familles déchirées après avoir perdu un proche qui ne pouvait pas se défendre, à ces compatriotes écoeurés par une justice qui prône constamment la compassion et ne punit pas les criminels à la hauteur de leurs méfaits. Pouvons-nous continuer ainsi ? Avons-nous le droit de les laisser seuls dans leur combat, combat qui se heurte au laxisme et à l’indulgence de l’état ? Tout cela doit changer, et le PPL s’engage à mettre les victimes au cœur des décisions judiciaires, et à punir comme il se doit les criminels et multirécidivistes. Nous ne voulons plus jamais voir la justice à genoux durant une instance, des policiers terrorisés à l’idée d’avoir fait leur devoir, et des familles abandonnées de toutes parts. Notre programme s’y applique et met tout en œuvre pour y parvenir : suppression de l’excuse de minorité, durcissement des peines, mise en place de la perpétuité réelle pour l’ensemble des crimes, ainsi qu’une évidente augmentation massive des places de prisons, afin que d’éternels récidivistes ne se promènent pas sereinement en liberté comme n’importe quel citoyen.

Les médias affirment que le thème de la sécurité est cher au PPL, que nous en faisons notre fond de commerce. Je leur répond que c’est probablement parce que nous sommes le seul parti à s’intéresser aux vrais problèmes des Frôceux que nous mettons en place un VRAI programme, qui n’a pas peur de briser les tabous et les piliers du politiquement correct.
Et c’est pour cela, qu’avec mon ami Jean Baptiste Marshall, toute l’équipe du PPL et tous ceux qui se mobilisent derrière nous, nous irons chercher la victoire qui nous donnera raison, qui montrera à nos confrères ce que notre pays vaut vraiment ! Nous n’avons jamais douté, jamais faibli, jamais laissé le moindre bout de terrain idéologique à nos adversaire. Nous ne sommes pas un de ces partis opportunistes qui accepte de faire campagne en fonction des sondages ou du climat extérieur, nous ne sommes pas un de ces partis qui fait du clientélisme pour une frange de la population et feint de ne pas entendre la majorité appeler à l’aide. Faites-nous confiance, faites-vous confiance ! Quoi que disent sondages, médias et autres chantres du socialisme, nous ne vous laisserons pas tomber. Ayez confiance en monsieur Marshall, un des seuls hommes politiques Frôceux qui n'a jamais renié ses opinions pour un quelconque poste ou une quelconque alliance. Ayez confiance en notre équipe de campagne, qui se bat tous les jours lors de tractages, débats et meeting pour montrer au Frôceux que l'alternative éxiste en Frôce, et qu'un autre avenir est possible !

Mes amis, merci pour votre attention, merci pour tout, je laisse désormais la parole à celui qui guide cette campagne fabuleuse depuis le début, à celui qui se bat sans cesse pour nous représenter et lutter contre l’obscurantisme. Jean-Baptiste, c’est à toi mon ami !
(Tonnerre d’applaudissement dans la salle ! Les gens sont debout, excités et motivés !)

Voila JB, je t'ai mis entre parenthèses les "quotes" exterieurs, réactions du publics etc.
A toi de jouer

Petite faute sans grande importance Yekelz mais tu as mis PSE au lieu de RSE. Sinon ce discours me semble rassembleur des droites sauf au niveau du RPR!

Merci Paul, oui en effet j'ai raté un R... Jb, prends en compte lors de la publication !

HRP Edite on message ce sera plus simple pour JB il aura pas besoin d'y penser comme ça! HRP

Fait

Meeting publié.

Parti Pour la Liberté
Meeting de clôture du Parti Pour la Liberté (PPL)
- Aspen (Île de l'Agrume) -



_____

Le meeting de clôture du PPL se tient à l'intérieur du grand parc des expositions d'Apsen, pouvant accueillir plus de 50 000 personnes. Mais devant le succès rencontré par les réservations de places, il a été décidé il y a une semaine d'organiser une retransmission en direct des images de la réunion publique en extérieur, maximisant ainsi le nombre de militants-spectateurs pouvant assister à cette démonstration de force.

Dès 11 heures, ce jeudi matin, les militants PPL et divers droite ont commencé à remplir le hall 4 du grand parc des expositions d'Aspen, qui s'étend sur 50 000 m2, soit plus de 5 terrains de foot. Au regard de la foule agitant des drapeaux tricolores frôceux, le PPL a réussi son pari.

Ce meeting de clôture s'annonce comme une démonstration de force sans précédent pour la Droite libérale conservatrice.
La foule est chauffée à blanc. Quelques clips de campagne sont diffusés sur l'écran géant sur scène. Une vidéo retraçant le parcours politique de Jean-Baptiste Marshall fut fortement appréciée et chaleureusement applaudit. Egalement, un certain nombre de personnalités viennent au micro prononcer leur intervention devant des militants de plus en plus exaltés. Chefs d'entreprises, auto-entrepreneurs, avocats, pasteurs, curés et rabbins. Des témoignages précieux qui viennent valider les thèses et propositions du Parti Pour la Liberté.

Il est 20 heures lorsque les lumières baissent d'intensité, laissant ainsi apparaître le dernier clip musical avant l'arrivé de Yékèlz Tolöî, Vice-président du PPL et directeur de campagne pour ces élections, qui est chargé d'introduire le discours de Jean-Baptiste Marshall.

Une fois le clip musical terminé, Yékèlz Tolöî fait son entrée sur scène sous les applaudissements nourris des supporters présents.

Chers amis, chers sympathisants ou membres du PPL, chers compatriotes !

Nous voilà de nouveau réunis, en une seule et même famille, en un seul et même corps ce soir, pour clôturer cette campagne qui nous a une nouvelle fois montrée à quel point le PPL s’est imposé dans le paysage politique Frôceux !

Nous sommes à 24h du suffrage, suffrage durant lequel il faudra voter, faire voter, et offrir une victoire nette au PPL afin de peser le plus possible dans le futur gouvernement. Durant toute cette campagne nous avons défendu notre programme, votre programme ! Nous avons défendu les idées de réussite, de libre entreprise, de morale, d’éthique, d’avenir, de succès et de confiance. Avec vous, tout au long de cette campagne, nous avons pu voir la bassesse et la médiocrité de ceux qui nous ont assimilés à des extrémistes ou à des épouvantails du libéralisme. Ils auront au moins eu le mérite de nous faire rire, et de nous rassembler toujours plus nombreux pour défendre nos valeurs, notre pays !
Lors du meeting d’hier à Angles, j’ai pu voir une foule débordante d’attente, d’espoir, de volonté. J’ai pu voir ces hommes et ces femmes qui se déplacent pour se rendre compte qu’un autre avenir que celui de l’assistanat est possible, que la réussite n’est plus un sujet tabou et que des citoyens, aujourd’hui en Frôce, sont prêts à prendre leur destin en main pour avoir les représentants qu’ils méritent. Et je les revois ce soir, et je vous vois ce soir !

Applaudissements dans la salle, de plus en plus enthousiaste.

Vous l’avez compris, l’heure n’est plus au consensus, aux discussions ou aux négociations. Non, l’heure est aujourd’hui au vote, au vote qui permettra au Parti pour la Liberté d’encore progresser et de toujours mieux vous représenter, de toujours plus se rapprocher du pouvoir, d’emmener aux sommets toujours plus d’élus qui ne vivent que pour le bonheur de leur pays et de leur peuple, et non pas pour satisfaire des élites ou groupes sociaux prédéfinis comme nous avons eu le malheur de l’observer lors des précédents mandants.

Le public hue ceux-ci.

Que de lois, que de décisions, que de négociations qui ont mis à mal notre pays au nom d’une idéologie socialiste éprise d’assistanat et de résignation. Combien de citoyens mis sur la touche au nom de cela ? Combien de travailleurs, d’entrepreneurs, de patrons laissés pour compte, juste spoilés de leurs revenus pour financer encore et toujours plus d’étatisme, de marchés publics, de fonctionanire et d’incohérence économiques ? Nous ne pouvons plus continuer ainsi, nous devons remettre le travail et le mérite de chacun au centre de la logique étatiste, au centre de notre société. C’est pourquoi le PPL s’engage à reformer la fiscalité de fond en comble, pour offrir à chacun le droit de profiter de ses revenus, du fruit de son travail.
C’est aussi pourquoi le PPL s’engage à limiter la présence de l’état sur les marchés qui couvrent notre territoire, pour permettre à nos entreprises de se développer, d’embaucher et de gagner en compétitivité.
La logique du PPL, c’est de pousser au succès, à l’investissement et à la réussite. D’encourager nos entreprises à aller conquérir de nouveaux marchés, à innover, à toujours défendre ses intérêts quand d’autres ne pensent qu’à profiter et à redistribuer.
La réussite de nos entreprises, c’est le synonyme de plein emplois, d’hausse naturelle des salaires, d’une évolution positive du niveau de vie global. C’est aussi de meilleures infrastructures pour tous, la présences d’entreprises privés qui, par le billet de la concurrence, innovent et nous fournissent les meilleurs services à des prix constamment en baisse.
C’est ça, la logique du PPL, une logique courageuse et ambitieuse au service de ses citoyens et de sa patrie !

La foule applaudie, galvanisée par la scène.

En parlant de patrie, qui aujourd’hui peut se vanter d’avoir un programme ambitieux pour celle-ci et ses intérêts ? Qui peut se targuer de vouloir préserver notre mode de vie et d’offrir à notre nation un avenir décent ?
Le PSD ? Ils sont bien trop occupés à mettre un programme ayant pour but de vider les caisses de l’état.

Huées dans la salle.

Le RPR ? Non, l’immobilisme n’a jamais triomphé.

Nouvelles huées dans le public.

Le RSE ? Quelqu’un sait ce que c’est ?

Rires du public.

Le PDF ? Comment un parti qui confond les mots « centre » et « gauche » peut-il mener notre pays sur de bons chemins ?

Huée spectaculaire, le public ne semble vraiment pas apprécier ce parti ...

Non, aucun. Nous sommes seuls mes amis, seuls à avoir foi en nos moyens et notre avenir, seul à croire en nos capacités et nos valeurs. Nous n’acceptons pas d’être résignés, nous n’acceptons pas d’être fatalistes, nous n’acceptons pas d’être assistés. Non !

Vous comprenez désormais notre volonté d’autoriser le port d’arme pour chaque citoyen, vous comprenez aussi aisément notre souhait d’alourdir les peines pour les délits majeurs et les multirécidivistes : nous voulons préserver la vie, offrir le droit d’être en sécurité à chacun, trouver un équilibre qui ne nous rende pas dépendant de l’état et nous offre malgré tout la sérénité.
Pensons à toutes ces victimes d’agressions, à ces familles déchirées après avoir perdu un proche qui ne pouvait pas se défendre, à ces compatriotes écoeurés par une justice qui prône constamment la compassion et ne punit pas les criminels à la hauteur de leurs méfaits. Pouvons-nous continuer ainsi ? Avons-nous le droit de les laisser seuls dans leur combat, combat qui se heurte au laxisme et à l’indulgence de l’état ? Tout cela doit changer, et le PPL s’engage à mettre les victimes au cœur des décisions judiciaires, et à punir comme il se doit les criminels et multirécidivistes. Nous ne voulons plus jamais voir la justice à genoux durant une instance, des policiers terrorisés à l’idée d’avoir fait leur devoir, et des familles abandonnées de toutes parts. Notre programme s’y applique et met tout en œuvre pour y parvenir : suppression de l’excuse de minorité, durcissement des peines, mise en place de la perpétuité réelle pour l’ensemble des crimes, ainsi qu’une évidente augmentation massive des places de prisons, afin que d’éternels récidivistes ne se promènent pas sereinement en liberté comme n’importe quel citoyen.

Les médias affirment que le thème de la sécurité est cher au PPL, que nous en faisons notre fond de commerce. Je leur répond que c’est probablement parce que nous sommes le seul parti à s’intéresser aux vrais problèmes des Frôceux que nous mettons en place un VRAI programme, qui n’a pas peur de briser les tabous et les piliers du politiquement correct.
Et c’est pour cela, qu’avec mon ami Jean Baptiste Marshall, toute l’équipe du PPL et tous ceux qui se mobilisent derrière nous, nous irons chercher la victoire qui nous donnera raison, qui montrera à nos confrères ce que notre pays vaut vraiment ! Nous n’avons jamais douté, jamais faibli, jamais laissé le moindre bout de terrain idéologique à nos adversaire. Nous ne sommes pas un de ces partis opportunistes qui accepte de faire campagne en fonction des sondages ou du climat extérieur, nous ne sommes pas un de ces partis qui fait du clientélisme pour une frange de la population et feint de ne pas entendre la majorité appeler à l’aide. Faites-nous confiance, faites-vous confiance ! Quoi que disent sondages, médias et autres chantres du socialisme, nous ne vous laisserons pas tomber. Ayez confiance en monsieur Marshall, un des seuls hommes politiques Frôceux qui n'a jamais renié ses opinions pour un quelconque poste ou une quelconque alliance. Ayez confiance en notre équipe de campagne, qui se bat tous les jours lors de tractages, débats et meeting pour montrer au Frôceux que l'alternative éxiste en Frôce, et qu'un autre avenir est possible !

Mes amis, merci pour votre attention, merci pour tout, je laisse désormais la parole à celui qui guide cette campagne fabuleuse depuis le début, à celui qui se bat sans cesse pour nous représenter et lutter contre l’obscurantisme. Jean-Baptiste, c’est à toi mon ami !

Tonnerre d’applaudissement dans la salle ! Les gens sont debout, excités et motivés.

A l'entente de son nom, l'immense foule de supporters entamèrent une ovation longue de 3 minutes.
Jean-Baptiste arriva sur ces encouragements et salua la foule, serra la main de son ami Yékèlz au passage et s'installa derrière le pupitre.
Il faisait face à la plus de 55 000 personnes. Sans compter les 35 000 personnes qui assistaient au rassemblement à l'extérieur sur des écrans géants.
Une fois les dizaine de milliers de militant calmé, Jean-Baptiste prit la parole.

Mes chers amis,

Vous êtes 90 000 !

Cris de joie et applaudissements nourris.

90 000 ! 55 000 ici même et un peu plus de 35 000 en extérieur. Merci, merci à toutes et à tous pour votre présence en ce jour si important pour la Droite libérale et conservatrice frôceuse, un jour si important pour la Frôce.

Applaudissements.

Quel accueil, quel enthousiasme, et mon dieu quelle chaleur.

Explosions de rires dans la salle où les 35 degrés ont largement été atteint.

Le mot rassemblement prend tout son sens aujourd'hui. Regardez par vous-même. Vous êtes si nombreux. En somme, c'est un évènement à la hauteur d'une campagne rondement menée. Une campagne passionnante qui nous a permise, une fois de plus, de faire passer notre message : "Pour moins d'Etat, moins d'Impôts et plus de Valeurs".

Les supporters se levèrent pour applaudir tout en agitant les drapeaux frôceux en l'air.

Plus les semaines passent, plus les mois passent et plus les années passent, plus nos solutions font leur bonhomme de chemin, et oui, j'y crois, demain, nous serons en mesure de les mettre en pratique, pour le bien de notre pays, pour le bien de vous tous ainsi que pour le bien de vos enfants et de vos petits-enfants.

Ovation.

Nous avons un devoir envers les générations futures. L'un des plus important est de ne pas leur léger un pays au bord du gouffre et de gérer le budget de l'Etat comme son propre portefeuille. La règle essentielle devant être que l'on ne peut dépenser l'argent que l'on a pas.
Non, nous ne devons pas accepter toujours plus de dépenses publiques, non, nous ne devons pas accepter toujours plus d'impôts et de taxes en tout genre, non, nous ne devons pas accepter que l'Etat contrôle nos vies.

Vives acclamations.

Les partis politiques frôceux, du RSE au PDF en passant par le PSD sont tous entrainés dans une dérive gauchiste illimitée et deviennent, chaque jour encore un peu plus que la veille, d'une nullité intellectuelle crasse.

Tous les militants se mirent à siffler.

Ces derniers se succèdent depuis des années et pratique au fond la même politique étatiste et socialiste. N'est-il pas temps de tourner la page ?

Les gens se mirent à applaudirent tout en criant "Si".

Plus que jamais, l'heure du choix approche. Soit nous limitons la croissance, soit nous limitons la taille du gouvernement. Nous, au PPL, nous avons choisi de limiter le gouvernement.

Vives acclamations.

Le PPL est le seul parti sur la scène politique frôceuse et dans cette campagne à mettre la liberté au centre de toutes ces propositions.
Les grandes lignes de notre projet pour demain sont les suivantes : déréglementation, retour à la liberté d'entreprise, baisse des dépenses de l'Etat, baisse de la pression fiscale, baisse des charges aux fins que les entreprises puissent investir et que les entrepreneurs puissent entreprendre. D'autres part, nous libérerons les ressources énergétiques du pays aux fins que celui-ci ne dépende plus des pays actuellement producteurs de pétrole.
Le PPL sera également au rendez-vous pour défendre le mariage et la famille dans sa conception judéo-chrétienne ainsi que pour défendre la vie, de la conception jusqu'à la mort naturelle.

Jean-Baptiste prit une gorgée d'eau sous les vivats des militants.

Le Parti Pour la Liberté se fixe comme objectif de désengager l'Etat des domaines qui ne le concerne pas. L'Etat n'a pas vocation à intervenir dans la moindre petite parcelle de nos vie. La seule mission de l'Etat est d'assurer ses prérogatives régaliennes, à savoir, garantir les droits des individus, organiser leur sécurité tant sur le plan intérieur qu'extérieur et enfin, d'assurer la justice égale pour tous.
Nos adversaires tentent de faire croire aux frôceux que notre société est devenu bien trop complexe pour être contrôlée par la discipline de chacun et que le gouvernement mené par une élite était bien davantage supérieur au gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
Or, si selon ces gens, personne n'est capable parmi nous de se gouverner lui-même, qui donc parmi nous à la capacité d'en gouverner un autre ?

Ovation.

Un grand homme, Ronald Reagan, a dit en son temps que l'Etat n'était pas la solution à nos problème, mais bel et bien le problème. C'était le cas à l'époque et je vais vous faire une petite concession : ça l'est toujours encore à l'heure actuelle.

Seconde ovation.

Ronald Reagan avait également dit qu'un gouvernement ne pouvait pas contrôler l'économie sans contrôler les gens et que lorsqu'un gouvernement se propose de faire cela, il doit user de la force er de la coercition pour arriver à ses fins. Donc nous sommes arrivés au temps du choix, avait-il ajouté.
Oui, nous sommes arrivé au temps du choix.
Le choix entre deux visions antagonistes de la société. Celle que nos adversaires prône est synonyme de davantage d'Etat, d'avantage d'Impôts et de taxes, et de moins en moins de Valeurs.
Nous, il s'agit plus qu'un slogan de campagne, c'est une conception de l'avenir, notre projet, à savoir : "Moins d'Etat, moins d'Impôts et plus de Valeurs".

Les valeurs. Parlons-en. Celles-ci sont foulées au pied chaque jour encore un peu plus. On légalise les mariages entre deux personnes de même sexe. On permet à ces même couple d'adopter des enfants. On autorise l'euthanasie. On accepte la boucherie qu'est l'avortement.
Que nous réserve l'avenir ?
Rendre légale la polygamie ? Les mariages forcés ? L'avortement post-natal ? La pédophilie ?
Nous sommes en droit de nous poser la question. Vous avez tous dû entendre parler de la proposition de Monsieur Finacci sur la légalisation des lolicons ?

Tous l'assistance se leva et hua le nom de Gavroche Finacci.
Certains des militants lancèrent des insultes : "Pédophile", "Sal*pard", etc.

Ces ignobles et honteux dessins représentants des relations sexuelles entre des jeunes filles mineures et des adultes.
Ceci est une véritable honte. Une telle proposition n'a pas sa place dans un pays comme la Frôce, ni dans aucun autre pays au monde.
Monsieur Finacci, honte à vous !

Huées et applaudissements s'entremêlés.

Nos adversaires nous offrent là un pitoyable spectacle. Un lamentable projet. Une triste vision de l'avenir !
Nous, nous n'en voulons pas ! Nous refusons la fatalité et nous continuerons à nous battre, jusqu'à ce que nous arrivions au pouvoir pour changer les choses.
Il n'est pas trop tard, rien n'est joué.
Chaque jour, nous sommes plus fort. Chaque jour, notre message s'impose. Demain, nous avons la possibilité de rendre le destin de la Frôce et de chaque frôceux bien meilleur.
Les hommes ont été dotés par leur Créateur de droits inaliénables, parmi lesquels la vie, la liberté et la poursuite du bonheur. Nous souhaitons préserver et défendre ces droits. Faites-nous confiance, rejoignez-vous ! Nous ne vous décevrons pas, nous ne vous trahirons pas.

Que Dieu vous bénisse tous, que Dieu bénisse le Parti Pour la Liberté et par dessus tout, que Dieu bénisse la République Frôceuse.

Merci !

L'ensemble des 55 000 personnes présentent se levèrent pour réserver une véritable ovation à Jean-Baptiste Marshall, très vite rejoins par son amis et collègue Yékèlz Tolöî. Ballons et confettis bleu, blanc et rouge sont lâchés.
5 minutes passent, les applaudissements et les cris perdurent.
Tout à coup l'hymne frôceux retentit, Jean-Baptiste et Yékèlz appela leurs amis respectives à les rejoindre sur scène au premier rang pour entonner ensemble l'hymne national.
La femme de Jean-Baptiste, Sarah était là avec ces 5 enfants.

Une fois l'hymne terminé, Jean-Baptiste et Yékèlz descendirent tous deux de la scène, fendirent la foule en serrant un maximum de mains.
La fête allait se prolonger jusqu'à minuit.

J'adhère totalement, très bonne mise en scène et bon discours, je pense que ce meeting nous rapportera pas mal de points !