Re: Visite en Armorique - 14 novembre 2010
Posté : 06 déc. 2010, 12:40
Louis-Damien eut un sourire de forme et répondit :
- Pas vraiment, non. Je comprends tout à fait votre point de vue, cependant je dois vous informer que cette visite n'est en aucun cas une visite de soutien judiciaire aux personnes. Il faudra que les autorités gèrent cette affaire de présomption de faux témoignage, c'est à la Justice d'agir, vous comprendrez bien que ni vous ni moi n'avons à interférer là-dessus. Par conséquent, s'il s'avère que cette personne est coupable, elle devra assumer la peine qui lui sera prononcée. Ce qui m'intéresse avant tout c'est d'apporter un soutien moral à ces personnes qui ont été agressées. Mon pays prend très à coeur cet acte, qui serait réciproque si l'Armorique était à la place de la Frôce aujourd'hui. Et je ne doute pas que les familles seraient également rassurées.
Cette affaire lui paraissait fumeuse, mais il n'en laissa rien transparaître. Il proposa simplement :
- Pouvons-nous envisager une collaboration de nos moyens sur cette affaire afin de faire la lumière et de pouvoir apaiser les méfiance et les soupçons, tant de votre côté que du nôtre ? Soyons lucides, nous serons plus efficaces, et le message d'apaisement passera davantage. De plus, ça nous évitera de travailler chacun dans notre coin et de perdre un temps précieux que nous pourrions employer à différents partenariats ensemble. Je vous propose cette collaboration, en vous précisant que la Frôce se conformera au verdict de la justice si cette dernière devait avoir à le rendre.
- Pas vraiment, non. Je comprends tout à fait votre point de vue, cependant je dois vous informer que cette visite n'est en aucun cas une visite de soutien judiciaire aux personnes. Il faudra que les autorités gèrent cette affaire de présomption de faux témoignage, c'est à la Justice d'agir, vous comprendrez bien que ni vous ni moi n'avons à interférer là-dessus. Par conséquent, s'il s'avère que cette personne est coupable, elle devra assumer la peine qui lui sera prononcée. Ce qui m'intéresse avant tout c'est d'apporter un soutien moral à ces personnes qui ont été agressées. Mon pays prend très à coeur cet acte, qui serait réciproque si l'Armorique était à la place de la Frôce aujourd'hui. Et je ne doute pas que les familles seraient également rassurées.
Cette affaire lui paraissait fumeuse, mais il n'en laissa rien transparaître. Il proposa simplement :
- Pouvons-nous envisager une collaboration de nos moyens sur cette affaire afin de faire la lumière et de pouvoir apaiser les méfiance et les soupçons, tant de votre côté que du nôtre ? Soyons lucides, nous serons plus efficaces, et le message d'apaisement passera davantage. De plus, ça nous évitera de travailler chacun dans notre coin et de perdre un temps précieux que nous pourrions employer à différents partenariats ensemble. Je vous propose cette collaboration, en vous précisant que la Frôce se conformera au verdict de la justice si cette dernière devait avoir à le rendre.