Frôce - Archives V2

Merci.

Je vais en discuter avec le Premier ministre.

On va dire que l’information a fuitée et que Sapporo-Gesca a fait des propositions à plusieurs intermédiaires du milieu.

D’autres repreneurs seraient ils intéressés ?

1 : Constructeurs européens
2 : Constructeurs nord-américains
3 : Constructeurs asiatiques
4-5-6 : Non les sites n’ont pas de valeurs pour eux

Bon au moins c’est clair, il n’y a que Finacci Motors sur le coup.

Sur demande de Borgia : l’entreprise Finacci Motors est-elle prête à faire un geste si l’Etat soutient sa reprise ? J’ai dit que le taux de licenciement serait de 70 % avant un éventuel geste. Gav, tu es le boss, j’attends la réponse du CA.

Le boss est prêt à faire un effort

1 : La boite est prête à faire un effort conséquent, les actionnaires les plus farouchement favorables à un plan drastique ne sont plus nécessaires.
2,3 : La boite est prête à faire un effort intéressant, le boss a trouvé les bons arguments
4,5 : La boite consent à un petit effort, mais impossible de faire plus tant le CA est divisé
6 : Pas d'effort possible, la majorité serait perdue

1 : Le plan social est remplacé par des départs en pré-retraite
2 : Le plan social ne concerne plus que 10 % des salariés
3 : Le plan social ne concerne plus que 20 % des salariés
4 : Le plan social ne concerne plus que 30 % des salariés

Le "plan social" consisterait en :

- Départs en pré-retraite des salariés ayant atteint l'âge suffisant
- Gel des embauches jusqu'à nouvel ordre
- Négociation d'accords de compétitivité avec les représentants syndicaux

Beaucoup de bol au tirage

Le double 1 gagnant ! Va falloir que Mme la Ministre joue au loto ce soir

Borgia passe un coup de téléphone à Sapporo Gesca et Gavroche Finacci pour leur indiquer que la chute du gouvernement remettait en cause l'accord intervenu entre le gouvernement et les deux entreprises.
Que le gouvernement ne pouvait plus accorder un soutien aux entreprises compte tenu de l'impossibilité de mettre en oeuvre les réformes nécessaires.

Borgia termine la conversation en disant qu'il comprendrait si Finacci souhaitait revenir sur ses engagements et si Sapporo souhaitait revenir à son plan social d'origine.

Coup de téléphone que Borgia n'a pas ébruité de son côté.