[RDF] Le RDF à l'Assemblée Nationale

[Arthur de Milon]

Évidemment François, cela va de soi. Toutes mes excuses pour ne pas y avoir pensé d'emblée. Si je suis élu Président de la République, tu pourras récupérer mes fonctions ministérielles et parlementaires. Je n'y vois aucun inconvénient. Si Valentino et Arthur sont d'accord bien entendu. Toutefois, si je venais à perdre l'élection, je pense que je retrouverai mon portefeuille. C'est en tout cas ce que je vais essayé de négocier avec le Premier Ministre.

[Arthur Le Guen]

Il est normal de ne pas y avoir pensé d'emblée puisque tu n'as pas toujours été très actif, mais si tu nous certifies que tu seras présent et particulièrement actif au ministère de la Justice et des Institutions dans le cas où Arthur est élu à la Présidence, je ne m'y opposerai absolument pas.
Tu dois nous promettre d'être actif en tant que ministre, car si nous nous engageons auprès du premier ministre sur ce point, nous devons le respecter. Ce serait l'image du RDF qui en prendrait un coup, non seulement aux yeux des frôceux mais aussi à ceux de nos partenaires politiques, si on occupait un ministère sans agir.

[François Bertrand]

Je comprend très bien pourquoi on n'a pas pensé à moi puisque je n'étais pas présent aux moments où il le fallait et je n'ai jamais contredit cet état de fait. Simplement c'était une façon pour moi de dire que j'étais disponible sans pour autant regretter de ne pas avoir été la roue de secours qu'il fallait en cas d'élection à la présidence d'Arthur car à votre place je n'aurai pas non plus pensé à quelqu'un qui a disparu de la circulation sans prévenir.
Mais soit, je promets d'être là quand il le faut et si je ne le peux pas, je ne disparaîtrai pas sans prévenir. J'assumerai mes responsabilités et sache Arthur (Le Guen), que je compte cette fois ci rectifier le tir. Je veux me donner les moyens d'agir pour défendre les idées du parti pour compenser mon absence durant cette campagne. Et ce, avec la même vigueur et le même dynamisme que l'autre Arthur !... Car oui, je suis fasciné par ta présence dynamique un peu partout en Frôce de Milon

[Arthur Le Guen]

Très bien, très bien.
Dans ce cas, je vais en parler avec Borgia. Il pense te confier l'Education, et ainsi reprendre l'Environnement. Le ministère de la Justice et des Institutions serait repris par Arthur (HRP : sous un autre perso).

[François Bertrand]

Je n'ai rien à exiger et si vous jugez bon de me confier l'éducation alors soit, mon devoir sera d'accepter. Mais quelque soit vos décisions, je tâcherai de faire mon boulot avec rigueur. Ce n'est que par le mérite qu'on accède à plus de prétentions et qu'on a son mot à dire.

[Arthur Le Guen]

Autre chose, je viens d'apprendre que tu as contredit Madame de Cassagne, ministre de l'Economie, des Finances et du Travail dans ce débat public : http://www.republique-froceuse.com/foru ... 304#p99304

C'est plus que mal venu. Nous sommes membre de la même coalition, cela ne se fait pas. Si tu as des choses à dire, envoie un MP à la personne concernée. Mais ne rentre pas en confrontation avec un membre de la coalition gouvernementale. Nous devons être uni. L'opposition se charge très bien de charger notre gouvernement, elle n'a pas besoin d'aide extérieure je crois.
Ce ne doit plus se reproduire, je compte sur toi.

[François Bertrand]

Qu'en pense M. Borgia ? C'est un homme de débat et je ne pense pas qu'il soit de ton avis

Je n'ai pas contredit madame de Cassagne sur son projet. Bien au contraire je le défends. Seulement la majorité se doit d'avoir un comportement irréprochable et intellectuellement honnête pour être crédible face à une opposition qui tente de l'être et qui pense nous mener vers la voie du débat d'Hommes et non du débat d'idées, par des attaques incessantes qui tendent à être des attaques personnelles dissimulées. Le béni-oui oui ce n'est pas mon genre et c'est bien parce que je ne suis pas au gouvernement que je m'autorise à exprimer un certain désaccord sur la forme. Sur le fond, et tu l'auras remarqué, je suis à 100% favorable à ses propositions.
Bien entendu et si je deviens membre du gouvernement, je n'exprimerais mes désaccords sur certains aspects qu'en privé. Soit au conseil des ministres soit en parlant directement avec l'intéressé.

Si Catherine a pensé que je lui voulais du mal, alors je peux lui envoyer un mot lui expliquant ma démarche. Mais entendons nous bien, la susceptibilité ne fait pas un Homme politique.

[Arthur Le Guen]

Valentino a beau être un homme de débat, il est de mon avis.

D'ailleurs, si je me permets de te faire la remarque, c'est que Borgia et de Cassagne m'en ont fait part lors du conseil des ministres.

[François Bertrand]

Je n'ai pas envie de me mettre à dos des gens qui ont des idées que je défends. D'ailleurs ce n'est pas ce qui m'intéresse, simplement je pense qu'on gagne à faire preuve d'autocritique sur certains aspects. Nous prônons la responsabilité, la liberté, la vérité et le travail, il est donc normal d'agir de façon responsable en joignant nos actes à nos paroles.

Si certaines personnes sont dérangées, il y a une façon très simple de régler ça, c'est d'en discuter de façon posée et adulte. Pour ça il faudrait que les intéressés m'en parlent, je ne mords pas
Mais quoiqu'il en soit je le redis, une place de ministre ne m'autorisera certainement pas à agir de la même manière. Cohérence gouvernementale oblige.

[Arthur Le Guen]

Ministre, tu le seras d'ailleurs. Je te le confirme.

J'en ai parlé à nouveau avec Borgia par téléphone. Il rendra la chose officielle dès la fin du conseil des ministres.