Questions au Gouvernement
- Maxime Dellas
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Re: Questions au gouvernement
Madame la députée Gasparini,
Je vous ai énoncé l'accord entre le RPR et le PSD qui porte exclusivement sur la croissance et un refus de la règle d'or.
Maintenant je m'en vais répondre à votre question sur la baisse du Salaire Minimum :
D'abord, je trouve cela saugrenu que tout le monde mette l'Assemblée Nationale sans-dessus-dessous pour un texte qui n'a à ce jour été proposé qu'au débat publique et qui vient d'être introduit en Conseil des Ministres.
Mais soit, mon gouvernement veut la croissance ! La Ministre de l'Economie met tout en oeuvre pour cela, malgré les critiques incessantes de députés qui pourtant dans mon souvenir voulaient également la croissance. Si son cabinet, ses experts, et des économistes réputés nationaux et internationaux estiment que la baisse du SMC n'est pas une entrave à la croissance, ce projet de la Ministre ne va pas à l'encontre de notre accord ni du programme du gouvernement.
L'important est la croissance et pour cela, je vous invite à me rappeler quand nous aurons des premiers chiffres, encourageants je l'espère !
Je vous ai énoncé l'accord entre le RPR et le PSD qui porte exclusivement sur la croissance et un refus de la règle d'or.
Maintenant je m'en vais répondre à votre question sur la baisse du Salaire Minimum :
D'abord, je trouve cela saugrenu que tout le monde mette l'Assemblée Nationale sans-dessus-dessous pour un texte qui n'a à ce jour été proposé qu'au débat publique et qui vient d'être introduit en Conseil des Ministres.
Mais soit, mon gouvernement veut la croissance ! La Ministre de l'Economie met tout en oeuvre pour cela, malgré les critiques incessantes de députés qui pourtant dans mon souvenir voulaient également la croissance. Si son cabinet, ses experts, et des économistes réputés nationaux et internationaux estiment que la baisse du SMC n'est pas une entrave à la croissance, ce projet de la Ministre ne va pas à l'encontre de notre accord ni du programme du gouvernement.
L'important est la croissance et pour cela, je vous invite à me rappeler quand nous aurons des premiers chiffres, encourageants je l'espère !

Ex-Premier Ministre
Ex-Ministre
Ex-Président du PSD
Ex-Président de l'Assemblée Nationale
Ex-Ministre
Ex-Président du PSD
Ex-Président de l'Assemblée Nationale
- Alessandra Gasparini
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Re: Questions au gouvernement
Monsieur le Premier Ministre
Enfin une réponse de plus d'une phrase!
Il est normal qu'une telle mesure alerte ceux des députés qui n'ont pas oublié qu'ils étaient de gauche ou tout simplement attachés à la justice sociale.
Concernant le fond, il révèle votre profonde méconnaissance des mécanismes économiques à l'oeuvre. Tout comme votre ministre de l'économie, vous bottez admirablement en touche en ne donnant aucun exemple concret mais en employant de grands poncifs et en évoquant d’hypothétiques "experts" et "spécialistes", qui nous éclaireraient de leurs lanternes, mais pas aujourd'hui, pas en ce lieu, parce quau'aujourd'hui c'est piscine...
On vous comprend, car la seule fois où votre très chère Ministre s'est aventurée à citer un cas en débat public (la crise argentine), cela m'a permis de lui prouver par A+B, citations de ceux qui ont jugulé la crise à l'appuis, qu'elle avait fondamentalement tord, sur tout la ligne. Elle a préféré clôturé le débat plutôt que d'apporter des réponses.
Vous ne pouvez pas sérieusement demander aux députés qui ont encore un peu de sens de la justice sociale de la mettre en sourdine le temps que les premiers effets de la casse sociale opèrent. Les effets d'une baisse des salaires sont biens connus, car c'est le "remède" prescrit par le FMI et la Banque Mondiale dans le monde entier depuis des décennies. Cela aboutit à une baisse de la consommation, de la croissance, de l'activité économique, à une contraction de la demande, à des pertes fiscales pour l'Etat et à la récession. On peux voir cela à l'oeuvre actuellement en Grèce ou en Espagne pour ne citer que l'Europe et dans des dizaines de pays plus fragiles.
Vous voyez donc que nul besoin d'attendre les effets "miracle" d'une telle mesure lorsqu'on se renseigne un tant soit peu sur les expériences similaires. Cessez donc de prendre les représentant du peuple pour des enfants.
J'ai donc une autre question pour vous. Vous qui vous réclamez de la gauche et du socialisme, comment pouvez vous cautionner à titre personnel de diriger un gouvernement où on ampute les salariés les plus en difficultés d'une part importante de leur salaire?
Enfin une réponse de plus d'une phrase!
Il est normal qu'une telle mesure alerte ceux des députés qui n'ont pas oublié qu'ils étaient de gauche ou tout simplement attachés à la justice sociale.
Concernant le fond, il révèle votre profonde méconnaissance des mécanismes économiques à l'oeuvre. Tout comme votre ministre de l'économie, vous bottez admirablement en touche en ne donnant aucun exemple concret mais en employant de grands poncifs et en évoquant d’hypothétiques "experts" et "spécialistes", qui nous éclaireraient de leurs lanternes, mais pas aujourd'hui, pas en ce lieu, parce quau'aujourd'hui c'est piscine...
On vous comprend, car la seule fois où votre très chère Ministre s'est aventurée à citer un cas en débat public (la crise argentine), cela m'a permis de lui prouver par A+B, citations de ceux qui ont jugulé la crise à l'appuis, qu'elle avait fondamentalement tord, sur tout la ligne. Elle a préféré clôturé le débat plutôt que d'apporter des réponses.
Vous ne pouvez pas sérieusement demander aux députés qui ont encore un peu de sens de la justice sociale de la mettre en sourdine le temps que les premiers effets de la casse sociale opèrent. Les effets d'une baisse des salaires sont biens connus, car c'est le "remède" prescrit par le FMI et la Banque Mondiale dans le monde entier depuis des décennies. Cela aboutit à une baisse de la consommation, de la croissance, de l'activité économique, à une contraction de la demande, à des pertes fiscales pour l'Etat et à la récession. On peux voir cela à l'oeuvre actuellement en Grèce ou en Espagne pour ne citer que l'Europe et dans des dizaines de pays plus fragiles.
Vous voyez donc que nul besoin d'attendre les effets "miracle" d'une telle mesure lorsqu'on se renseigne un tant soit peu sur les expériences similaires. Cessez donc de prendre les représentant du peuple pour des enfants.
J'ai donc une autre question pour vous. Vous qui vous réclamez de la gauche et du socialisme, comment pouvez vous cautionner à titre personnel de diriger un gouvernement où on ampute les salariés les plus en difficultés d'une part importante de leur salaire?
Maire de Sainte-Marie-les-Bains
Vice-Présidente et Porte Parole du NPS
Ancienne Représentante Parlementaire
Ancienne Ministre d'Etat, de la Défense et des Affaires Etrangères
Ancienne Ministre du Travail, de l'Industrie, de la Solidarité, chargée des affaires familiales
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Ancienne Représentante Parlementaire
Ancienne Ministre d'Etat, de la Défense et des Affaires Etrangères
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- Maxime Dellas
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Re: Questions au gouvernement
Madame Gasparini,
Je vous répondrai simplement que si je moi je suis au gouvernement et si moi je dirige la Frôce c'est parce que je suis un social-démocrate qui applique la social-démocratie !
Et de plus, je vous le répète car, manifestement, il y a besoin de vous le répéter, le texte n'est pas encore passé en Conseil des Ministres, par conséquent ce projet n'a pas encore l'aval de mon gouvernement. Merci.
Applaudissements dans les rangs des députés PSD !
Je vous répondrai simplement que si je moi je suis au gouvernement et si moi je dirige la Frôce c'est parce que je suis un social-démocrate qui applique la social-démocratie !
Et de plus, je vous le répète car, manifestement, il y a besoin de vous le répéter, le texte n'est pas encore passé en Conseil des Ministres, par conséquent ce projet n'a pas encore l'aval de mon gouvernement. Merci.
Applaudissements dans les rangs des députés PSD !

Ex-Premier Ministre
Ex-Ministre
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Ex-Président de l'Assemblée Nationale
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Re: Questions au gouvernement
Hugo Salinovitch prit la parole:
Monsieur le premier ministre,
Question langue de bois, nous avons avec vous le pompom. Au-dela de répondre aux questions avec la nonchalance qui caractérise votre mandat, vous ne cessez de répéter tel un perroquet, votre manque d'arguments. Ma question est simple, car j'ai compris qu'avec votre majorité de droite, il faut faire simple pour être, peut être, j'ose l'espèrer, compris.
Vous dîtes que le projet dénoncé par ma collègue n'est pas encore passé en Conseil des ministres. Aussi, il n'aurait pas l'aval de votre gouvernement.
Monsieur le premier ministre;êtes-vous en train d'avouer que vous ne tenez pas les membres de votre gouvernement, qui organise des débats, avec l'utilisation de fonds publics, sur des sujets aussi grave, et ils n'auraient pas votre soutien? Dans ce cas, je vous demande solennellement de suspendre le ministre concerné ou au moins de lui faire un rappel à l'ordre public. En l'absence d'une telle action, ceci attesterait de votre soutien inconditionnel au projet, et de votre virage à droite. Vous avez beau nous répéter sociale-démocratie, sociale-démocratie, nous voulons des actes, non des paroles. Merci
Applaudissements dans les ranges RSE.
Monsieur le premier ministre,
Question langue de bois, nous avons avec vous le pompom. Au-dela de répondre aux questions avec la nonchalance qui caractérise votre mandat, vous ne cessez de répéter tel un perroquet, votre manque d'arguments. Ma question est simple, car j'ai compris qu'avec votre majorité de droite, il faut faire simple pour être, peut être, j'ose l'espèrer, compris.
Vous dîtes que le projet dénoncé par ma collègue n'est pas encore passé en Conseil des ministres. Aussi, il n'aurait pas l'aval de votre gouvernement.
Monsieur le premier ministre;êtes-vous en train d'avouer que vous ne tenez pas les membres de votre gouvernement, qui organise des débats, avec l'utilisation de fonds publics, sur des sujets aussi grave, et ils n'auraient pas votre soutien? Dans ce cas, je vous demande solennellement de suspendre le ministre concerné ou au moins de lui faire un rappel à l'ordre public. En l'absence d'une telle action, ceci attesterait de votre soutien inconditionnel au projet, et de votre virage à droite. Vous avez beau nous répéter sociale-démocratie, sociale-démocratie, nous voulons des actes, non des paroles. Merci
Applaudissements dans les ranges RSE.
- Jean-Baptiste Marshall
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Re: Questions au gouvernement
Jean-Baptiste baya en assistant à ce triste spectacle, cette prise de bec entre socialistes, l'air amusé. Il parla avec son voisin et collègue du PPL tout en tapotant sur son smartphone de temps à autre.
Ancien Leader de la Droite Libérale Conservatrice frôceuse
Ancien Président de la Cour Suprême
Ancien Vice-Président de l’Assemblée Nationale
Ancien Représentant Parlementaire à l'Assemblée Nationale
Chevalier de l'Ordre de la République
Ancien Président de la Cour Suprême
Ancien Vice-Président de l’Assemblée Nationale
Ancien Représentant Parlementaire à l'Assemblée Nationale
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- Luca Pappa
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Re: Questions au gouvernement
Luca Pappa assistait au "spectacle" et rigola avec le chef de groupe de ses députés..
Discipline stalinienne, ils savent ce que c'est eux!
Ensuite, Luca et l'ensemble de ses députés se levèrent et quittèrent l'Assemblée Nationale.
Discipline stalinienne, ils savent ce que c'est eux!
Ensuite, Luca et l'ensemble de ses députés se levèrent et quittèrent l'Assemblée Nationale.
Re: Questions au gouvernement
Le représentant parlementaire Arthur Carapin prit la parole
Monsieur le président, mes chers collègues,
Ma question s'adresse à monsieur le ministre de la Justice. Monsieur le ministre, je me suis adressé à vous il y a quelques jours, suite à l'invitation à le faire faites ici même par le chef de votre gouvernement, monsieur Dellas. Je vous ai demandé une audience publique. Vous avez refusé, m'accusant entre les lignes de chercher un show médiatique.
Monsieur le ministre, comme tous mes collègues, de tous les partis, si je siège ici c'est par la volonté des Frôceux. Aussi, si je vous demande une audience pour évoquer un problème, ceci est un problème qui concerne les frôceux. En refusant de vouloir me recevoir, et me proposant plutôt des échanges informels, vous manquez de respect non pas à moi, mais aux frôceux que je représente ici. Vous faîtes preuve d'un sectarisme politique hautement inquiétant.
Aussi, puisque je n'ai pas eu le droit de vous interpeller sur le sujet dans votre bureau, je le fais ici.
Monsieur le ministre,
La dernière majorité, que vous souteniez avant de vous vendre au RPR, a mis en place une vérité d'Etat sur la période allant de la fin de la Seconde Guerre mondiale à la fin de notre siècle. Il est dorénavant impossible dans notre pays d'avoir la moindre parole libre sur cette période, et certains héros d'alors sont aujourd'hui contraints au silence et à l'exil, pour éviter une justice politique. Comme je l'ai indiqué, je pense sincèrement que votre gouvernement, votre majorité, n'aura ni le courage et encore moins la clairvoyance politique de revenir sur ces lois.
Aussi, monsieur le ministre, je vous demande au nom de la représentation nationale d'ouvrir des enquêtes sur les crimes, meurtres, disparitions orchestrées par les opposants lors de cette période. Nous savons que de nombreux Frôceux ont péri, disparu, du fait de ces agents de l'étranger. Ces affaires n'ont jamais été élucidées. Monsieur le ministre, les Frôceux ont le droit de connaître la vérité. Merci
Applaudissements dans les rangs UPF
Monsieur le président, mes chers collègues,
Ma question s'adresse à monsieur le ministre de la Justice. Monsieur le ministre, je me suis adressé à vous il y a quelques jours, suite à l'invitation à le faire faites ici même par le chef de votre gouvernement, monsieur Dellas. Je vous ai demandé une audience publique. Vous avez refusé, m'accusant entre les lignes de chercher un show médiatique.
Monsieur le ministre, comme tous mes collègues, de tous les partis, si je siège ici c'est par la volonté des Frôceux. Aussi, si je vous demande une audience pour évoquer un problème, ceci est un problème qui concerne les frôceux. En refusant de vouloir me recevoir, et me proposant plutôt des échanges informels, vous manquez de respect non pas à moi, mais aux frôceux que je représente ici. Vous faîtes preuve d'un sectarisme politique hautement inquiétant.
Aussi, puisque je n'ai pas eu le droit de vous interpeller sur le sujet dans votre bureau, je le fais ici.
Monsieur le ministre,
La dernière majorité, que vous souteniez avant de vous vendre au RPR, a mis en place une vérité d'Etat sur la période allant de la fin de la Seconde Guerre mondiale à la fin de notre siècle. Il est dorénavant impossible dans notre pays d'avoir la moindre parole libre sur cette période, et certains héros d'alors sont aujourd'hui contraints au silence et à l'exil, pour éviter une justice politique. Comme je l'ai indiqué, je pense sincèrement que votre gouvernement, votre majorité, n'aura ni le courage et encore moins la clairvoyance politique de revenir sur ces lois.
Aussi, monsieur le ministre, je vous demande au nom de la représentation nationale d'ouvrir des enquêtes sur les crimes, meurtres, disparitions orchestrées par les opposants lors de cette période. Nous savons que de nombreux Frôceux ont péri, disparu, du fait de ces agents de l'étranger. Ces affaires n'ont jamais été élucidées. Monsieur le ministre, les Frôceux ont le droit de connaître la vérité. Merci
Applaudissements dans les rangs UPF
- Ernest Fontaine
- Citoyen électeur
- Messages : 390
- Enregistré le : 18 mai 2012, 19:55
- Type de compte : Principal
Re: Questions au gouvernement
Monsieur les Représentants Parlementaires,
Monsieur Carapin,
Contextualisons. Il est aisé de venir à une tribune est de déblatérer de la sorte. Une chose est sûre, j'ai considéré qu'un entretien de la sorte dans le bureau ministériel n'avait aucunement vocation à faire la une des tabloïds. Une autre encore est vraie, celle ou j'ai considéré que votre objectif dans le cas ou vous refusiez de prendre audience avec moi ne montrerai que la fin politique de votre action. Vous venez de m'en apporter la preuve.
Suite à votre demande d'entretien, je vous ai contacté pour celui-ci. Vous avez souhaitez répéter, toujours en public, allez savoir l'utilité, votre demande, déjà posé aux questions au gouvernement et rappelé lors de votre demande d'audience.
Je vous cite une partie de ma réponse, dans le cas où vous ne m'auriez guère écouté :
Je suis disposé à prendre audience avec toute personne sur une question relevant de ma fonction.
Cela s'applique toujours à vous, mais je ne vous forcerai pas la main.
Passons outre le débat inutile qui a tenté d'être instauré.
Ce cas va être étudié. Je me questionne encore sur l'éventualité d'une Commission d'Enquête Parlementaire sur ce sujet. Le gouvernement tentera d'apporter des réponses aux questions toujours en suspend qui peuvent se poser.
Monsieur Carapin,
Contextualisons. Il est aisé de venir à une tribune est de déblatérer de la sorte. Une chose est sûre, j'ai considéré qu'un entretien de la sorte dans le bureau ministériel n'avait aucunement vocation à faire la une des tabloïds. Une autre encore est vraie, celle ou j'ai considéré que votre objectif dans le cas ou vous refusiez de prendre audience avec moi ne montrerai que la fin politique de votre action. Vous venez de m'en apporter la preuve.
Suite à votre demande d'entretien, je vous ai contacté pour celui-ci. Vous avez souhaitez répéter, toujours en public, allez savoir l'utilité, votre demande, déjà posé aux questions au gouvernement et rappelé lors de votre demande d'audience.
Je vous cite une partie de ma réponse, dans le cas où vous ne m'auriez guère écouté :
Vous avez décidé de vous classer dans le second camps. C'est regrettable.Pour discuter du projet que vous portez, et qui me semble tout du moins parfaitement honorable, je suis à votre entière disposition.
Néanmoins, si votre acte n'a que pour objectif d'ébranler qui que ce soit ou quoi que ce soit, les médias vous fournirons un oratoire suffisant.
Je suis disposé à prendre audience avec toute personne sur une question relevant de ma fonction.
Cela s'applique toujours à vous, mais je ne vous forcerai pas la main.
Passons outre le débat inutile qui a tenté d'être instauré.
Ce cas va être étudié. Je me questionne encore sur l'éventualité d'une Commission d'Enquête Parlementaire sur ce sujet. Le gouvernement tentera d'apporter des réponses aux questions toujours en suspend qui peuvent se poser.
Garde des Sceaux - Ministre de la Justice et des Institutions
Représentant Parlementaire
Président du Parti Social Démocrate
Ex Porte-Parole du Parti Social Démocrate
Ex Vice-Président du Parti Social Démocrate
Représentant Parlementaire
Président du Parti Social Démocrate
Ex Porte-Parole du Parti Social Démocrate
Ex Vice-Président du Parti Social Démocrate
Re: Questions au gouvernement
Assis sur son siège, Arthur Carapin se contenta de répondre:
L'art de la rhétorique, pas de doute, il l'a ce ministre. Comment ne aps répondre clairement à une question simple...
L'art de la rhétorique, pas de doute, il l'a ce ministre. Comment ne aps répondre clairement à une question simple...
Re: Questions au gouvernement
Monsieur le Président,
Mes chers collègues,
Ma question est posée à Monsieur le premier ministre, enfin si un jour on en retrouve un, Rires dans l'hémicycle
Monsieur le premier ministre,
Depuis quelques jours, l'archipel de Cofonoria se retrouve soumis à la violence d'un groupuscule indépendantiste. Les bâtiments publics sont occcupés, parfois dégradés, le personnel insulté, et les usagers pris à parti. Sans oublier que parfois notre drapeau national est retiré.
Face à ceci, aucune réaction de votre gouvernement! Vous n'avez même pas daigné vous déplacer sur cette île pour manifester le soutien du gouvernement aux Frôceux de Cofonoria. Au sein de votre gouvernement, seul monsieur Bertrand a eu le courage d'agir, dans sa qualité de ministre de l'Interieur. Alors que, par exemple, notre cher ministre de la Justice, Maître en rhétorique, demeure silencieux.
Ma question est simple. Monsieur le premier ministre, allez-vous vous décidez à agir pour faire arrêter les intimidations de ces terroristes? Une loi sur les troubles à l'ordre public est-elle à l'ordre du jour? Ou vous défaussez-vous sur les députés pour la rédiger?
Merci.
Vifs applaudissements sur les bancs UPF
Mes chers collègues,
Ma question est posée à Monsieur le premier ministre, enfin si un jour on en retrouve un, Rires dans l'hémicycle
Monsieur le premier ministre,
Depuis quelques jours, l'archipel de Cofonoria se retrouve soumis à la violence d'un groupuscule indépendantiste. Les bâtiments publics sont occcupés, parfois dégradés, le personnel insulté, et les usagers pris à parti. Sans oublier que parfois notre drapeau national est retiré.
Face à ceci, aucune réaction de votre gouvernement! Vous n'avez même pas daigné vous déplacer sur cette île pour manifester le soutien du gouvernement aux Frôceux de Cofonoria. Au sein de votre gouvernement, seul monsieur Bertrand a eu le courage d'agir, dans sa qualité de ministre de l'Interieur. Alors que, par exemple, notre cher ministre de la Justice, Maître en rhétorique, demeure silencieux.
Ma question est simple. Monsieur le premier ministre, allez-vous vous décidez à agir pour faire arrêter les intimidations de ces terroristes? Une loi sur les troubles à l'ordre public est-elle à l'ordre du jour? Ou vous défaussez-vous sur les députés pour la rédiger?
Merci.
Vifs applaudissements sur les bancs UPF