I - 2 : Création du Conseil National du Sport (CNS)

[Arthur Carapin]

Arthur qui avait écouté la réponse du Ministre reprit la parole:

Monsieur le Ministre,

Si le débat vous déplaît, et que vous ne souhaitez pas que l'opposition parlementaire s'exprime, dîtes-le. Ou plutôt démissionnez et dénoncez le système démocratique.
Vifs applaudissements dans les rangs UPF

Reprenons, reprenons. Le CNS dépend donc de votre ministère,je vous l’octroie. Donc les tâches seront justes déplacées. D'accord. Donc on crée une nouvelle structure, qui engendre de nouvelles dépenses, juste comme çà, car monsieur de St Imberb souhaite imprimer sa marque. Le CNS ne sert à rien, puisque les missions sont déjà assurées par vos services, vous ne faîtes qu'ajouter des dépenses publiques en plus, peut être pour justifier nos taux d'imposition forts Applaudissements

Monsieur le ministre, je suis désolé de vous apprendre qu'un ministère n'est pas seulement, et loin de là, un organe politique. Il existe un organe administratif, composé par les fonctionnaires travaillant dans votre administration ministérielle. Ces derniers appliquant les décisions politiques, comme tout fonctionnaire, comme le feront ceux du CNS. Donc votre raisonnement sur l'utilité administrative du CNS tombe, et votre regard et votre leçon sur les services publics est ......caduque!! Applaudissements et claquement de pupitres dans les rangs UPF

Enfin, concernant le sport, je vous avoue ne pas être grand sportif, d'un coté, sauf votre respect, je pense que vous non plus.
Rires et applaudissements debout des députés UPF

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

Je m'inquiète de ne pas voir de mention concernant d'autres infracstructures sportives, notamment. Cela veut-il dire que la natation, le cyclisme, le hockey sur glace, le golf, le baseball et j'en passe n'auront pas d'aide du CNS ?

Et si l'on s'en réfère aux éléments exposés, un infrastructure sportive pour être reconnue en tant que telle doit être un énorme complexe. Qu'advient-il des infrastructures de quartier ?

[Marc de St Imberb]

Il ne s'agit pas d'une norme de reconnaissance, mais de construction.
De plus s'il fallait développer pour chaque IS une piscine, un vélodrome, un terrain de golf,... ces pratiques de sport seront aidées bien sûr par le CNS, par le biais de demandes faites par les fédérations sportives. Les infrastructures mentionnées plus haut permettent de pratiquer les sports les plus courants.

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

Il devrait être définie comme infrastructure sportive, toute infrastructure permettant la pratique d'un sport reconnu par le Comité Olympique (par exemple). Parce que ce projet va considérablement plomber les gymnases municipaux et autres petits stades, ne répondant pas à tous les critères demandés... au profit de grands complexes sportifs qui ne pourront pas être construits partout, vu la taille qu'ils requièrent...

[Marc de St Imberb]

Toute les infrastructures sportives déjà installées sont reconnus comme telles, les Infrastructures Sportives décrites dans ce texte ne sont que des normes de construction. De plus, personne n'a dit que tous les terrains devaient être centralisés au même endroit, il est possible d'en séparer suivant les contraines.

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

En application stricto sensu de ce texte, une piscine olympique ne fait pas partie des infrastructures sportives alors que vous conviendrez qu'elle sert à un sport qui est la natation, entre autres car plusieurs disciplines dérivées existent.

Je trouve également regrettable que ce projet instaure un monopôle étatique sur le sport, à l'heure où beauoup d'investisseurs étrangers seraient intéressé pour contribuer à la construction de complexes sportifs en Frôce. Pourquoi l'Etat se priverait-il de ses investisseurs ? Ce serait moins d'argent jeté par les fenêtres et moins de frais d'entretien pour le contribuable.

[Marc de St Imberb]

Le présent texte n'empêche en rien les investisseurs étrangers de participer d'une manière financière aux projets d'infrastructures sportives diverses, et le présent texte n'oblige en rien les IS privées de devenir propriétés de l'état. Il décrete uniquement que les infrastructures appartenant à l'Etat ou à diverses collectivités territoriales appartiendront désormais toutes au CNS.

[Jean-Baptiste Marshall]

Fin du débat.