Frôce - Archives V2

Le débat n'a pas été déclaré terminé lorsque notre collègue s'est exprimée.

L’horaire de clôture a été annoncée par M. le Président de l'Assemblée Nationale lors de sa première intervention sur ce texte. Je demande donc l'application du règlement de l'Assemblée Nationale, surtout au vu des propos tenus.

Je note que madame la ministre sortante et sortie n'a aucune compréhension vis-à-vis d'une nouvelle collègue!! Quelle ouverture d'esprit!!!!

M. Salinovitch, j’ai été la ministre d’un Premier ministre dont le parti était sorti premier aux précédentes élections législatives, là où vous venez lamentablement d’échouer, par conséquent, un peu de modestie ne vous ferait pas de mal. Je ne comprends pas vraiment votre entêtement à venir jusqu’ici me provoquer, alors que l’une de vos amis communistes a franchis la ligne jaune du règlement de l’Assemblée Nationale. Cette assemblée n'est pas un lieu propice pour accueillir des amateurs.

Si elle ne peut accueillir des amateurs, vous n'auriez jamais pu y entrer. Je ntoe vos leçons madame la nommée. Allez un peu vous confronter au Peuple madame la Noble, je n'ai aucune leon à recevoir d'une personne nommée, jamais élue!

Il est vrai que l'heure de fin était clairement indiquée et que le fait que les votes soient ouverts auraient du suffire à ce que chacun comprenne qu'il n'y a plus lieu de s'exprimer.

Cependant, l'erreur est humaine, notamment lorsqu'elle est commise par une personne qui débute au sein d'une institution aussi prestigieuse, il n'y aura donc aucune sanction officielle ce coup-ci, mais que chacun prenne conscience que mon successeur ne pourra éternellement faire preuve de clémence vis à vis de ce type de débordements.

Je remercie le président de notre assemblée pour sa clémence.
Toutefois j'aimerais ajouter quelque chose.
L'heure a bien été dépassée mais le débat n'a pas été officiellement clos et c'est cela qui m'a induit en erreur. Quand a madame l'ex ministre, si elle ne veux plus recevoir de remarques désobligeantes, elle n'a qu'à faire preuve d'un peu plus de respect en répondant aux questions que lui posent les représentants du peuple que nous sommes.